Apolo est un bel homme, le regard brillant. […] Paola pétille. Elle déambule, fluide, et caresse le monde du regard. […] Un jour, Apolo rencontre Paola. Ils dansent.
Comment démêler le vrai du faux ? Sait-on jamais ce qui se cache à l'intérieur des coquilles de noix, des confessionnaux et de nos petites boîtes crâniennes ?
Ma conviction d'écrivaine la plus folle : je gérerais ma vie dix fois mieux si je recevais le droit de traiter les gens comme des personnages en chantier.
De six heures à sept heures du matin j'enjambe une fenêtre de papier blanc, je sors et je rentre […] après avoir exercé le droit élémentaire de toute personne vivant sur cette terre : disparaître sans rendre compte de sa disparition.