Aujourd'hui c'est la fin du monde, dans cinq minutes tout sera fini. Je n’ai plus que ces cinq dernières minutes à raconter, mais finalement, ça ne change rien, c’est toujours la fin de l’histoire que l’on retient le mieux. Le début de l’histoire, l’évolution des personnages, tout ça n’intéresse pas le grand public. Si on veut faire une bonne histoire, il faut une fin sensationnelle, qui marque. J’ai donc de la chance dans mon malheur, ma fin fera une superbe histoire à sensation.
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