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Dian : Déserteur
 4 commentaires | 8095 caractères | 33 lectures | Lire cette nouvelle 

« Au pied de l'arbre dont on ne voit pas les cimes, je suis venue. » (Goémon)


jypel34 : Le grand bleu
 4 commentaires | 4154 caractères | 35 lectures | Lire cette nouvelle 

Comme il est difficile de créer !


Vilmon : Point de fuite
 5 commentaires | 13683 caractères | 34 lectures | Lire cette nouvelle 

Un récit hivernal.


kirrika : L'atelier du Père Noël
 5 commentaires | 17349 caractères | 32 lectures | Lire cette nouvelle 

Un frère et une sœur trouvent un igloo étrange en jouant ensemble et se voient dévoiler un secret qui va changer leur vision de Noël.


Dian : Psychotope
 7 commentaires | 7330 caractères | 54 lectures | Lire cette nouvelle 

Comme son titre l'indique, il s'agit d'un parcours environnemental épousant le processus aléatoire du rêve : on passe sans transition du connu à l'inconnu, et vice-versa.


Vilmon : Mon ange Emmylou
 9 commentaires | 8623 caractères | 49 lectures | Lire cette nouvelle 

Un récit d’un ton tendre et mélancolique, comme ces adorables enfants qui grandissent trop vite, comme l’amour inconditionnel pour ces adolescents qui nous exaspèrent par leur caractère, comme ces jeunes adultes qui quittent le nid, source de fierté et de soucis pour les parents. Vous n’apprécierez pas sa fin triste, son aspect vampirique de l’amour et tous ces bouts de berceuses entrecoupés de narration simple et descriptive.


Cornelius : La dame à l'hermine
 10 commentaires | 10692 caractères | 84 lectures | Lire cette nouvelle 


Jemabi : Désorient-express
 8 commentaires | 13446 caractères | 46 lectures | Lire cette nouvelle 

Quand le train-train quotidien se met à dérailler.


solinga : Écrire c'est accepter de perdre (leçon de rameaux)
 2 commentaires | 10260 caractères | 40 lectures | Lire cette nouvelle 

Banal après-midi où je me perdis dans un livre de peu de phrases, immense et vert. Un abandon dolent des choses. Le rêve est moins désarçonnant que le réel. Les deux, pourtant, ce jour, rêve et réel, m'ont ramenée à toi.


Rosaura : Le Marchand d'eau de Séville
 7 commentaires | 22875 caractères | 80 lectures | Lire cette nouvelle 

À Madrid, dans un café, un jeune homme est abordé par un inconnu qui lui confie son tourment au sujet d'un tableau de Velázquez.


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