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David
22/10/2008
a aimé ce texte
Bien
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bonjour Manonce,
Un air cruel de banalité, l'identité, l'âge, le handicap peuvent interdire ce drôle d'enclos du "monde du travail", un étrange privilège alors que tous finissent, comme le poème, à la même enseigne. La rareté du vivant n'est pas facile à saisir, pas comme le constat de son gachis trop souvent. |
Anonyme
22/10/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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Un très bon poème je trouve. C'est simple, percutant et envisage un aspect de ce "travail": sonabsence.
Par contre ton texte aurait gagné, je pense, à être encore plus direct, plus percutant, plus accusateur. Bref, plus "rentre dedans"! mais c'est agréable quand même! |
Bidis
23/10/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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C’est un triste constat. Mais pas extrêmement poétique si ce ne sont les derniers vers, tristes, désespérés.
Il est vrai que ce thème du travail est dur à la poésie… |
Menvussa
25/10/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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Sujet d'actualité s'il en est ! On ne peut qu'être d'accord sur le fond mais à le réciter à voix haute, je trouve que ce texte manque de musique, trop froid, austère, rigide.
Avis très personnel. |
Anonyme
9/8/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Là, encore je trouve que le côté poétique n'est pas vraiment
présent. Il y a de l'intensité, exprimé par le fait que le sujet est traité de façon à interpeller, il ne laisse pas indifférent. Le développement risquerait d'être bien long, je dirai simplement que la Société a fabriqué bien trop d'exclus en tout genre. Saura-t-elle reprendre la situation en main, il faut le souhaiter, sinon, l'avenir pourrait être bien chaotique et engendrer des événements troublants et troublés. Dans l'ensemble une lecture intéressante. |