Poème en monosyllabes.Nées-en-moins, se rencontreront quelques entorses, clandestines compagnes des longs cheminements.
Où commence et où finit la caricature ?
Prendre la Langue comme on prend la mer…
Nous ne produisons aucune beauté, nous la paraphrasons.
Librement inspiré de.
À tous les romantiques endurcis ayant passé quelques nuits debout. À tous les noctambules à venir qui poursuivront l'aventure.
C'est la vie.
Quand on n'a que l'amour.
Dessine-moi des crépuscules bleus.
À lire casqué.
Texte tiré d'un recueil futur à sa conception.
Paysage urbain, paysage intérieur.
Solitude enfantine.
Le graffiti comme expression publique.
Réchauffons la saison !
Réalité et poésie.
Lorsque celle qu'on aimait disparaît, de façon violente et absurde, le sentiment de perte est décuplé dans le deuil très particulier qu'il faut affronter. Ce deuil ouvre des moments presque irréels tellement la sensibilité est mise à rude épreuve…
Qui n'a jamais désiré transcender sa condition, être un Icare qui ne brûlerait pas ses ailes, ou un poète "semblable au prince des nuées".