Ce texte traite du langage, des mots qui ne permettent pas de tout dire et du corps qui permet une connexion mystérieuse entre les êtres, qui se situe au-delà de ce que l’on peut formuler par des mots.
Il est dit qu'elle porte les mots du poète, mais peut-être bien que c'est le poète qui la porte ou qui la portait et que maintenant, à force de n'être plus que très peu tenue, elle tombe. Peut-être.
Prendre encore le temps de rêver en regardant danser les nuages alors qu'ils restent le plus souvent si désespérément immobiles "ces beaux, ces merveilleux nuages"…