Ceci n'est pas un hommage à Ettore Scola, quoique…

Lavis et aquarelle...

Que pouvons-nous faire, immobiles et transis ?

N’avez-vous jamais ressenti cette vive et fulgurante inclination pour un être ?
Celle qui irrémédiablement disparaît aussi vite qu’elle nous est apparue ?
Le cœur se joue parfois de nous et c’est ce que je vais vous conter :
Quand l’amour n’est que foudre, il ne reste que cendres.

Les rêves d'une jeune fille en fleur.

C'est d'un état intérieur qu'il s'agit d'abord, mais ne percevons-nous pas le monde extérieur au travers de notre interprétation des faits (individuelle, collective) ?
La "vacuité" est ici envisagée dans son acception taoïste ou zéniste : le vide, se défaire de toute interprétation pour percevoir la Réalité non voilée, mais vaste, indicible, au-dessus des contingences et vraie dispensatrice d'un espoir certain.

"Mais pour aimer les coqu'licots
Et n'aimer qu'ça… faut être idiot !"
Mouloudji

Ce texte date de mon service militaire, quand la relève du guet était de loin le meilleur moment pour celui qui ne s'était pas endormi…

Acrostiche sur une phrase de Charles Baudelaire.

Essai sur le thème du poète maudit. N'étant ni l'un, ni l'autre, il n'est pas sûr que ce soit une réussite. Mais je me suis bien amusé.

Poème.

Se laisser glisser vers l'imaginaire et faire une jolie découverte.

Le titre reprend l'ouvrage de Gaston Phoebus qui décrit les techniques de chasse au Moyen Âge.

"Tout argot est métaphore, et toute métaphore est poésie." (Gilbert Keith Chesterton)

À interpréter selon vos envies.

Un poème sur un autre. Culture du souvenir apaisé.

Ce poème veut décrire un tableau que je ne sais pas peindre et qui chercherait lui-même à montrer non pas des images mais une atmosphère, lourde et pénétrante.

Quelques images, quelques rimes…

Un cœur d'ébéniste ?

Quelques impressions.

Rien de tel qu'un jus d'agrumes pour réveiller un matin d'hiver pâle et frileux.