La musique apatride comme l'amour peut rendre pareil fou.

Un poème écrit au retour d'une promenade en campagne…

Scène souvent vécue aux urgences où je travaille, je me mets à la place de celui qu'on réanime, pendant ces longues minutes où il est entre la vie et la mort dans sa conscience "extra corporelle" de ce qu'on appelle la "near death experience".

« J’ai disloqué ce grand niais d’alexandrin. »
V.H.

Il a osé, moi pas…

Un petit poème pour illustrer cette petite trace d'espoir (ce poison de l'âme) à ceux qui sont victimes de leurs amours passées.

Petite fantaisie au bord de la mare.

Pictes : du nom latin « picti », « hommes peints »…

Un texte sur les derniers événements climatiques.

La fameuse horloge du temps… Est-on en avance ou en retard dans notre volonté de prendre conscience de ce que l'on est ou… sera ?

Sans ces nobles appas qu'est la Lune, l'astronomie en serait à des siècles en arrière. Son jeu de miroir judicieux est, j'ose le dire, une carotte pour faire avancer l'esprit curieux et subtil de l'homme.

Éducation sentimentale.

Moderato cantabile…

Noir.

À ma rivière, le Karoun.

Contre les trous de mémoire…

Je croyais voir la belle Cléopâtre,
Qui, nous dit-on,
Menait César, empereur d’Allemagne,
Par le licou…
V. Hugo. (Gastibelza.)
Je le crois bien, parce que je me promène dans les nuits… Ces guerriers-là ont un anneau dans le nez et c’est une main délicate qui tient le licol. Certains l’ignorent ? C’est sans doute qu’il fait encore un peu sombre…

Un de mes poèmes que je classe dans la catégorie "humoristique"… Écrit suite au départ en retraite d'un cantonnier de mon village…

Je suis infirmier, et ne peux m’empêcher lorsque je soigne des vieilles dames alitées de les imaginer jeunes et surprises d'être déjà si vieilles…