On éprouve de la honte à être heureux seul. (Albert Camus)
La musique me berce, puis m'emporte.
Court essai.
"Et les zouaves de bondir,Alors le clairon s'arrête, Sa dernière tâche est faite, Il achève de mourir."P. Déroulède.
Trilinguisme en brèche, prétention exemplaire. Vieilles pierres.
Inspiré d'un souvenir d'enfance.J'ai vu une fée se poser sur le dossier de ma chaise...Qui me croira ?
Et il dit « é-cri-tu-re ».
Un texte écrit lors d'un long exil.
Poésie urbaine. Une balade nocturne sur les boulevards extérieurs.
Tu bouges de la pensée, à penser que chaque geste peut t’être fatal...
Je ne sais rien dire sur ce texte. Il est mon regard sur notre humanité : triste et résigné, dans l'effort de nourrir malgré tout l'espoir.
Que viennent les mots du deuil pour le roc qui s'effrite.
Esquisse d'un instant...
Les seuls amours éternels sont ceux que la mort a fauchés avant même qu’ils n’éclosent.
Avril.
Qu’en ces larmes ondées le souvenir de moi irrigue ses mouchoirs !
De l’accessoire à la chose sûre.
« Je me souviens de toi, mon premier grand frisson, de nos corps enlacés sur la piste de danse.Tu étais lumineuse, une étoile du jour, la reine de mes désirs, centre de mes pensées. »