Ah, cet homme...
Poème absurde aux sens cachés, hommage à Liberté de Paul Eluard de par sa structure et le "nom" récurrent.
Je n’irai jamais plus fouler les ambroisies…
Il laisse un goût amer dans votre bouche...
Un peu d'humour.
Pétrir doigts sur épaules.
Être poète pour vivre hors du temps.
Je suis loup... Mes dents ensemencent la chair des passants, non pas que je les haïsse mais les aime jusqu’à la destruction.
À un vieil ami, perdu de vue et retrouvé.
Standard.
Fantaisie, rêve… ?…
Crénom de sort,Fait de têtes à queue !!!
Je partirai peut-être un jour...
Un poème sur l'étrange joie de se sentir plusieurs.
Dessus, dessous, recto verso.
L'instable, le flancheur, le trouillard, l'éperdu, l'immonde, le merveilleux, l'amour engrenadé comme chair à canon.
Le titre dit tout… mal… mais tout !
Vanité II est, comme son nom l'indique, le second texte de la série des Vanités de la collection "Translucide".
"Ce que l'homme détruit à l'extérieur n'est que le reflet de son intérieur."
Qu'est-ce que "longtemps" pour une vie d'homme ? (Cicéron)