"Les hirondelles sont parties.
Le brin d'herbe a froid sur les toits ;
Il pleut sur les touffes d'orties.
Bon bûcheron, coupe du bois."
V.H.

Un coup de fil… une dispute.

Il arrive que les choses de la vie nous fassent mal jusque dans le corps…
Accepter ce venin, l'expurger et attendre.

Je crains de sacrifier, une fois de plus, les rimes et la musique à mon thème principal, le blues des fins de dimanche… mais je n'arrive pas à 'tricher' avec les petits cris intérieurs qui me servent d'inspiration…

L'esprit a lui aussi ses saisons et l'hiver en est la plus morne. L'heure de l'hiver est celle où tout bascule et où chaque nuit devient une obscure menace. L'aube est cette lueur d'espoir qui nous sort de notre torpeur… J'ai vu l'aurore comme dans une lutte épique pour reconquérir le monde.

Qu'est-ce qu'une femme peut être pour un homme ? Texte écrit le 30 septembre 2011.

Si petit derrière la douleur.

… Suite au reportage photo de Yosuke Yamahata du 10 août 1945 à Nagasaki.

Ce poème fut composé très, très rapidement, en l'élan, et il se souhaite, et un sceau d'amour, et l'hommage à ma nièce qui n'est pas née le 24 août 2012. Aussi, peut-être, en toute humilité, prenant assise sur la petite expérience qui est mienne – car je ne puis exprimer que le ressenti qui est mien et lors, je n'aurais pas l'outrecuidance de parler pour d'autres – un chant d'amour pour toutes celles et ceux qui ne sont pas nés.

Écrire un poème de 355 lettres. Pourquoi ? Pourquoi pas ?

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Maintenant que j'ai grandi, c'est l'aube qui apporte mes poèmes.

Les fantômes de l'immeuble d'en face.

J'ai écrit ce texte le 23/01/2010, en un quart d'heure, presque sous la dictée, sous l'humeur chagrine du temps qui passe.

Bonjour,

Il s'agit là d'un poème qui appelle à vivre et à laisser vivre, à se libérer de différents carcans, tout autant qu'appelant à savourer les instants de quiétude et de simples beautés qui s'offrent.

D’après Marc Chagall, tableau du même nom.

Face à la mer, une nuit de songes.

"Un soir, j'ai assis la Beauté sur mes genoux – Et je l'ai trouvée amère – Et je l'ai injuriée."
A. Rimbaud (Prologue de Une saison en enfer)

Stakhanov de la gueule…