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Ce texte, écrit il y a quelques mois, fait partie d'un recueil portant sur le songe, la réalité, et les sens qu'inspirent la nature et ses œuvres.

Texte qui date de mon année en poésie maternelle… enchaînement de moments d'enfance avec un petit coup de cymbale en guise de chute…

Ce poème est venu avec la vue d'une photographie lors d'un vide-grenier. J'ai eu l'impression que cette femme pouvait être Rose, de ma famille, dont les anciens disaient "elle est fantasque".

Ce qui s'accroche alors que l'oubli devrait faire son office…

"Le vide de la danse reste sur les dernières cendres."
Federico Garcia Lorca

Les mots, les pensées, les gestes de la nuit… tchou… tchou… tchou…

Écrit il y a dix ans.
Photographie de membres de ma famille lorsque j'avais une dizaine d'années. J'en ai cinquante-quatre. Cependant, mon père est toujours vivant.

À lire de préférence à midi six.

Un sourire autour de mes principaux traits de caractères…

En strophes.

Juste quelques mots en souvenir d'instants réellement vécus.

"Il se couchait derrière un brin d'herbe
Pour agrandir le ciel."

Noël Bureau

Dehors tout dodeline car ici tout marmonne.

Je n'avais jamais vu Venise, ma dernière impression en entrant dans la gare.

Une chose est une chose.

… Tout est dans le titre.

Que représente vraiment cet emblème du lointain ?

Qu'est-il advenu des larmes du crépuscule… Ont-elle abreuvé une rivière blanche ou posé nos ombres sur la nuit tandis qu'elles nous emportaient plus loin… là où le monde chante juste ?

Le temps ne cicatrise pas ce qu'il a cryogénisé.