Parfois je prends un couteau et je dessine des spirales sur mon front avant de descendre le long de mon visage et de me poser sur ma joue rouge, encore !…
Pour ceux qui ont la chance de connaître la joie simple, cette excitation, ce plaisir quotidien, « ordinaire », de substituer le plein au vide, la présence à l’absence.
Un matin, un peu de réel dans un instant-coin qui cherche sa voix pour se dire tel qu'il est et, si c'est pas possible, au plus proche de ce qu'il apparaît.