Amour aveugle.
Une lettre d'espoir sur vélin de miroirAux parfums de cerise.Une lettre d'automne.
La barque à Caron est percée...
Retour d'anesthésie...
À une princesse éplorée qui un soir fut ma muse.
« Quand je dis oui, c'est une façon de parler. » E. Ionesco
Le rêve... ultime échappée.
Matins industriels.
Comme jadis l’Indien des Plaines...
Et si on chantait Haïti à la manière d'un griot ?
À la rescousse du cœur, la rondeur d'un souvenir sépia.
Les lieux gardent les images du passé sur l'écran de nos souvenirs ; la nostalgie alors nous accompagne.
"Il vaut mieux rêver sa vie que la vivre..."
... Fraîcheur d'enfance.
Solitudes, encore...
Comme le titre l'indique, un hommage à des jours anciens sur lesquels parfois je me retourne encore.
Ce n'est qu'un regard dans un visage blanchi de poussière. Autour, rien d'autre que le chaos !
Et si le temps esquissait un pas de danse !!!Juste de temps de vous dire...
Une mèche dans le ciel reliée au soleil...
Cette poésie se rapporte à une mer, lointaine mais proche, peut-être idéalisée, mais elle se rapporte surtout à sa beauté.