Le chant du merle, le soir.
Ma muse dilettante en mode défitintinnabule et me file jusqu’à gerber le bluesses heures allongées nonchalantes au cadran…
Regards…
Après la pluie…
Fin d’un idéal.
Quand les liens se défont et que la liberté triomphe.
C’est un texte écrit dans le souvenir de la chanson « Alfonsina y el mar », chanson écrite dans le souvenir de la poétesse Alfonsina Storni.
Et s’ils étaient autre chose que des bouts de bois…
Passion ? Drame ?
Qu’on ait 5 ans, 10 ans, 30 ans, 60 ans ou même plus, quand on perd sa mère, une toute petite voix d’enfant chuchote en nous… « Dis, elle est où ma maman ? »
Une poésie libre…
Cité Teisseire. Années 70.
Mignardises 1.