Les années passent et ne semblent pas avoir prise sur lui.

"In memoriam Hominem". Agonie cubiste...
Un homme marche en s'aidant d'une canne au long cours d'une route de campagne en faux-plat, sur fond tourmenté de moulins des Flandres, entre dénégation, révolte et abandon. Marcher journellement est la condition de sa survie. Le Mal et ses légions l'assaillent en tourbillonnant.
À Henri Michaux, Stephen King et aux... "faucheux", les opilions et les tipules, annonciateurs d'apocalypse.

Recherche d'identité.

Mes deux loups...

Un petit être magique...

[L'auteur de ce texte est Isfranco (qui nous l'a gentiment offert lors de son départ d'Oniris)]

...

L'absence...

De la nature irraisonnée.

Avant que la Parque ne te coiffe au poteau...

J’aimerais retrouver les premiers mots, ceux de la pré-humanité, de la pureté à l'état sauvage ; remonter les mots les uns après les autres, mot à mot, d’aval en amont jusqu’à la création du monde.

Lover dose.

Écrit après une journée de dessin, étonnée moi-même par ce qui se dégageait d'un de mes croquis.

Token to me.

Les vers sont perpétuellement livres, écrits comme l’oiseau hors cage
Qui volte-face gaiement de main en branche, délivrés des barreaux
de l'écriture.

Canicule.

Poème sur la conscience collective.

Deux ombres venues de nulle part avancent...

Un brin de vie.

Je me suis égaré, ivre dans le port.
Derrière un gros nuage,
Le soleil s’est caché.