Poème dédié à l’anonyme enfant, qui a fait sa cabane au cœur de chaque poète et de chaque lecteur de poésie, pour explorer l’enfance de l’art. À l’enfant roi qui trône au milieu de nous, au Royaume des tout petits et des pauvres, pour lesquels les mots sont des doudous qui consolent des peines, nourrissent les ventres affamés de grands larges.
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