Des impressions de Rome au cours d'une écriture immédiate...

Petite expression d'un mal fréquent dans le monde de l'entreprise, école...

Une épine dans le cœur.

Méli-mélo.

Poème extrait de l'album "Le dormeur du hall", poèmes sociaux et histoires d'amour ratées dans leurs paysages sonores.

Trois Marie, trois destins, trois femmes dans l'histoire, émouvantes... Antoinette, Curie et Marie "tout court", la mère de Jésus.
Vingt lignes pour chacune d'entre elles, et pas de verbe pour Marie car c'est Jésus qui portait le verbe...

Un poème un peu "space", je vous l'accorde, qui raconte la naissance du Daï.

Tout le symbole d'une ancre.

Extrait d'Initiation au crépuscule, une des parties d'un recueil intitulé (jusqu'à meilleure idée) "Dans l'effeuillage des souffles".

Du temps juste perdu de vue.

Je suis...

Je marche dans la ville qui semble ne vivre... que pour elle-même !

Lorsque le temps s'écoule sans qu'on l'ait vu passer et que date à venir est déjà dépassée, on écrit des vers libres pour se faire pardonner.

Inondation, un monde personnel se perd.

Contemplation lunaire.

Le travail n'est pas une charge, mais le moyen pour l'homme, depuis la nuit des temps, de se socialiser, de s'insérer, de trouver une place dans le monde et de donner un cadre, sinon un sens, à sa vie. Depuis la nuit des temps...

Jouer c'est le travail des enfants, le quotidien des files jouxte le nôtre, tandis que des soldats soldatent...

[L'auteur de ce texte est Isfranco (qui nous l'a gentiment offert lors de son départ d'Oniris)]

Variations sur les saisons et la mémoire.

La traite des êtres humains : rien de nouveau sous le soleil.

Exclu du travail.