Ce texte s'est présenté sous différentes formes. En prose, d'un seul bloc, vertical. Je n'étais pas satisfaite. Sa lecture était fastidieuse. Il me fallait l'aérer. Je l'ai donc découpé, j'ai coupé ses branches pour en faire des strophes et des vers libres, avec un cœur refrain. "Les météores" est un cri, une douleur, une plaie.
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