On ne peut vivre dans le doute, il nous faut une "vérité", une conception de la vie, une construction mentale que nous serons, un jour ou l'autre, amenés à revoir...
Comme l'écrivait en son temps Louis Aragon : "La souffrance enfante les songes Comme une ruche ses abeilles L’homme crie où son fer le ronge Et sa plaie engendre un soleil Plus beau que les anciens mensonges".
Ta cravate est-elle une laisse que tu revêts en signe de soumission, un objet de conformisme, un symbole de respect pour autrui, un jeu avec autrui sur l'apparence, ou autre chose encore ? La question ne mérite-t-elle pas que tu te la poses ?
Ou les vieux jours de Sherlock. Un sonnet qui, jusqu'à sa chute, va son chemin en zigzag. Des zigzags, comme l'écrivait Alphonse Allais, comme seule la carpe en trace…
Tout est relié, hommes, plantes, animaux, minéraux. Tout participe de la même vie qui s'écoule en toutes choses, témoin cette sensation que l'on éprouve parfois de ne faire qu'un avec l'univers, et que ce dernier est en nous et non pas au dehors.