Londres, un soir de juillet il y a des années.
Cette heure chargée de mystère, riche en œuvre de son irréalité.
Sur les traces d'un ancien amour.
Absurde et poésie.
Jours noirs dans les cimetières.
Le sujet est celui de l'horreur autant qu'elle peut être dite depuis l'abri.
Son monde à lui.
Pour ne pas sentir l’horrible fardeau du temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve. (Charles Baudelaire)
Premiers mots.
Le sacre du vent.
Le titre et le vers qui le reprend sont tirés du poème « Un adieu » de J.L.Borges. Ce vers inséré m'a servi de contrainte.
Complainte d'un transat (bleu et rose).
Des vagues, des impressions, des souvenirs…
Allégorie ou métaphore.
En confidence…