Après lecture d'un sonnet sur Venise, j'ai ressenti l'envie d'y répondre par le quinzain suivant quelque peu "sensuel" écrit après un très court séjour dans la Sérénissime...
En pensant à cette citation de Gustavo Adolfo Bécquer : "Tant qu'il y aura des yeux reflétant les yeux qui les regardent ; tant qu'une lèvre répondra en soupirant à la lèvre qui soupire ; tant que deux âmes pourront se confondre dans un baiser, il y aura de la poésie !"
Poème sur Paradis éphémère, caché. Où ça ? Au fond de l'océan, dans les entrailles de la Terre, au fond de notre coeur... Pour chacun c'est différent. À vous de l'imaginer.