Veuf après soixante-trois de mariage, cet oncle a « tenu » un an avant de rejoindre son épouse.

À toutes celles, sincères, qui ont cru que l'amour n'avait pas de frontières et qui en ont payé le prix.

S'il n'est pas encore temps de traverser le fleuve, on peut en apercevoir l'autre rive, si peu que certains jours nos pas nous rapprochent de l'eau.

L'Eldorado au fond d'une bouteille. Merci à José de H.
Qui aime bien pastiche bien…

« Je vous parle d'un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître » chante Aznavour, et je voulais à travers l'épilogue de ce poème, en voyant en plein frimas les magasins grand ouverts, me souvenir de la chaleur du fourneau qui était si précieuse… Il ne suffisait pas d'appuyer sur un bouton ! Tu radotes, me dirait-on…

Un poème qui se veut plus amusant que sérieux, à la manière d'une chanson de Brassens, le talent en moins. Alors, oui, il y a un mot inventé, mais j'espère que vous m'accorderez cette licence poétique.

Et Dieu créa la femme…

Des alliances contre nature pour chasser l’« autre ».

À tout chasseur sa proie.

Il m'arrive d'avoir des "absences" pendant lesquelles mon cerveau s'évapore.

(Façon gérardine.)

Le désert gagne du terrain, il a chassé les habitants d’un village.

Concomitance entre ma première visite de Bruges et le décès de Léonard Cohen.

Une vision "d'avenir"…

Hors du temps.

Dans le cadre du "printemps des poètes", une évocation de l'Afrique…

Un café rêvé, d'une autre époque, avec ses vieilles affiches, son poste de TSF, sa serveuse farouche…

Jour après jour, d'année en année, ai-je donc tant changé ?

Notre destin sait mieux que nous-mêmes ce dont nous sommes faits.

Poésie d'amour.