Et voilà, j'ai 46 ans et aujourd'hui je pleure.Je pleure mes vieilles larmes de petite fille.Et j'ai froid.
Le temps est l'aiguille qui suture les plaies du cœur.
Dîner aux heures de vie...
De la relativité du regard du narrateur.
Les brouillons des années obscures s'effacent quand on trouve les mots pour le dire.
Souvent, parfois, toujours...
L'envie d'être, l'envie de naître, et de n'être que désir contre cette envie.
Lancinante la musique rythme nos instants de solitude.
De glace ou de lave, le cœur s'embrase ou se cyanose, au gré des amours, au gré de la vie.
Tant de chiffres et pourtant il ne m'en faudrait qu'un à mes côtés mon double, mon reflet, celui que j'appelle "UN".
Pensées intérieures
Qu'il est difficile d'aimer quand on a perdu son cœur dans trop d'amour
Faire sombrer sa vie dans les vapeurs d'ambre
Glisser sur les petits aveux pour en faire des boucles de mots
Partir pour oublier, partir pour recommencer.
Parce que nous cherchons tous un peu d'amour pour recouvrir le livre de nos vies
Encore une image du soleil levant, une impression de déjà-vu... mais jusqu'à un certain point.
Le souffle d'un instant passé pour combler un présent qui s'absente trop souvent.
Nul n'est imparfait, j'aime à vivre au passé composé avec ses imperfections.
Des maux couchés par quelques mots.