Il s'agit d'un texte sur un problème qui, hélas, revient chaque hiver : celui des gens de la rue sans domicile subissant les méfaits du froid et de la solitude. J'ai essayé de ne pas tomber dans le pathos larmoyant en employant un langage simple.
« Je dis toujours la vérité : pas toute, parce que toute la dire, on n'y arrive pas… Les mots y manquent… C'est même par cet impossible que la vérité tient au réel. » (Jacques Lacan) À Margot, toujours si petite… le temps s’est figé.