La noirceur est propice à la désespérance, Quant s’unissent à la nuit des abyssaux regrets, Fantômes du passé que l’ombre alors recense, Des souvenirs bannis dont rien ne nous distrait.
« L'amour, c'est des doigts qui se serrent Se croisent, se décroisent, se resserrent Entre deux mains qui désirent et espèrent Unies et jointes ne pourront se défaire »