« La nuit, La nuit aux gestes répétitifs, La blanche inquisition Coule son venin infinitif… »(auteur inconnu)
Une once d'empathie climatique, égotiste, née d'un soir d'été.
Cent penséess’écoulent comme autant de premières fois vécues depuis la chute. Chronique résiliente.
En rêves délicats.
… dont la tâche est de recenser les sources…
À Sempé.
Exorcisme pseudo-romantique par nuit d'insomnie.
« Il est d’étranges soirs où les fleurs ont une âme », Albert Samain
Description du poète à travers une anthologie cachée de la poésie.
En silence.
Chaud dedans, froid dehors.
Alors, impitoyable, le noir despote inexorablement descend, s'étale sans limite et de ses bluffs effrayants fige mon sang…
Bis repetita non placent.
Visions fugitives.