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placebo
6/8/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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j'ai eu un peu de mal avec les premiers paragraphes, croyant que c'était véritablement dans un stade. remplacer ''place'' par ''chaise'' changerait beaucoup je pense, mais la comparaison serait moins vraie.
manque une virgule sans doute après ''en arrivant'', peut être d'autres. ''Cindy, Élisa, Maïwen, même Sarah barrent le passage.'' le pluriel fait bizarre, peut être mettre un ''et'' avant même ? Lorisseau... ouah, j'ai l'impression de lire ''les quatre cents coups'' ou un folio jeunesse qui a bercé mon enfance ^^ les négations ne sont complètes qu'à certains moments, les plus graves (ou denses) : c'est voulu je pense ? par contre, ''Je peux même pas être sûr qu’elle a les yeux rouges. Je ne peux plus m’approcher d’elle'' ça détonne un peu. très épuré, plus encore que l'autre. la brièveté rend la relecture aisée, mais bon... est-ce que ''quelque chose'' s'est, par exemple, ''brisé'' en elle lors de sa première (?) fois ?... j'espère que l'auteur a réussi à trouver une suite intéressante, je lirai volontiers les chapitres suivants. bonne continuation, placebo |
brabant
15/8/2010
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour Maëlle,
Bon j'ai compris, ça fait du 15 ans et il y a de l'eau dans le gaz. Le garçon "comme d'hab" est le dernier à savoir ou comprendre pourquoi... Les autres chuchotent ou se marrent ou font les deux. Bien vu. Bien ! le rappel du poème et le petit jeu amoureux (jeu de mots) : "désir". Qu'a-t-il bien pu se passer dans cette chambre ? Bonne idée que d'ouvrir une piste. Je rappelle que Michel Sardou lui-même n'avait pas voulu : Tu voulais faire l'amour. Comment fait-on l'amour ? Tu n'avais pas seize ans. Je ne suis pas un géant... etc... Alors ? Qu'est-ce qui a pu ne pas se passer, que le benêt il a pas compris ? On est heureux de voir qu'une péripétie ? amoureuse ne coupe pas l'appétit d'un gamin de quinze ans. Bon, y a pas encore le feu à la maison. Ni au roman. (lol) |
Anonyme
15/8/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Difficile de commenter les bouts d'un "tout"... j'aime vraiment toujours bien, le ton, qui ne me fait pas douter un seul instant de l'univers qu'il décrit, des sentiments, cela fonctionne toujours à merveille pour moi...
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Perjoal
1/9/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime bien le ton mais l'ambiance me fait peur. J'espère ne pas deviner la fin, elle ne me plairait pas...
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Anonyme
28/11/2010
a aimé ce texte
Un peu
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C'est mieux déjà, il y a plus d'assurance.
L'expression "deci, delà", trop poétique, trop littéraire, m'a dérangée : ça ne colle pas avec le registre employé dans le reste du texte. "C’est elle qui a souligné « aimer », elle qui a écrit « désir », et moi qui ai demandé : - C’est différent ? Je savais qu’on ne parlait déjà plus du poème." Joli ... Une Colombe à tresse, ça me fait penser à un personnage de Malikfa Ferdjouhck dans "Enid". |
Anonyme
16/1/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Coup de cœur. J'ai lu les autres commentaires mais personnellement, je n'ai rencontré aucun problème à la lecture. C'est clair, précis, ca va droit au cœur. On se sent directement dans la peau du personnage (pourtant je suis une fille) et on a vraiment envie de le comprendre.
Le seul passage que j'ai trouvé délicat dans le sens était : "Je n’écoute pas ce que Joachim raconte. [...] je ne sais même pas pourquoi elle est partie." Un peu délicat dans le mélange du passé et du présent, souvenir et réalité, mais en faisant attention aux temps cela passe très bien, et cela correspond parfaitement à l'ambiance. D'ailleurs, j'apprécie beaucoup cette ambiance, crée aussi grâce à un style d'écriture assez particulier. J'aime beaucoup ! |
David
17/1/2011
a aimé ce texte
Bien
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Ultra rapide, mais assez fort, la "scène du ban" au début, entre les deux ados, celle des émois aussi, encadré comme un poème avec les deux points d'interrogation, l'un en suspend, l'autre assouvis, c'est pas mal... j'ai toujours pas compris le truc de l'image footballistique, qui se fait dribbler dans cette passe croisée...
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Anonyme
6/3/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je trouve que c'est un petit peu mieux. J'aime bien l'intrigue de savoir la suite, de voir ce qu'il s'est passé. Ca ressemble à la réalité car on dit que tout le monde se moquent de lui et en réalité, dans chaque classe, il y a toujours quelqu'un de qui se moquer même si là c'est pour une chose spécial. J'ai fort bien aimé, je trouve que c'est facile et agréable à lire.
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monlokiana
18/8/2011
a aimé ce texte
Bien ↓
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C’est un peu mieux que le premier chapitre. On sent plus les personnages, les émotions, ce qui se passe.
Le « français-parlé » revient mais je le comprends mieux dans cette deuxième partie que dans la première… Petite remarque : Je peux même pas être sur qu’elle a les yeux rouges. Je ne peux plus m’approcher d’elle. » Je ne comprends pas pourquoi l’auteur a omis le premier « ne » et pas le dans la deuxième phrase. Ce serait : « Je peux plus m’approcher d’elle. » Comme dans le premier chapitre, c’est toujours la même écriture fluide, rythmé, même si je me suis un peu ennuyée de sa conversation avec son ami. L’envie de connaître la suite est toujours en moi. N’est-ce pas le plus important ? |
Anonyme
11/9/2011
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Un deuxième chapitre qui nous laisse sur notre faim (haha, pas comme le narrateur!). Le changement d'attitude est un peu brusque, mais bon, c'est vrai qu'avec un bon pote, on peut provisoirement mettre ses problèmes entre parenthèse. A ta place, j'aurais seulement fait correspondre le changement d'humeur au changemen de style : tu le laisses très haché, comme au début, et c'est dommage puisque la correspondance s'effiloche !
Je ne tiens plus, je vais au chapitre 3! |
carbona
5/12/2015
a aimé ce texte
Bien
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"Un jour en arrivant Colombe s’est installée à côté de Maïwen. Première mi-temps. Où est l’arbitre, qui a sifflé la faute, est-ce que quelqu’un a filmé, je veux voir le ralenti. Colombe à longueur de jour maintenant me tourne le dos. " < est-on vraiment dans les gradins d'un match ?
Les scènes s'enchaînent sans préavis dans ce chapitre : le stade, la salle de classe, le déjeuner et le flash-back déjà présent au premier chapitre. Je ne m'y retrouve pas trop mal, sauf le doute pour le stade de foot dont il est fait allusion que très rapidement. J'aime toujours ici le ton vivace et léger. En relisant je crois que nous ne sommes pas sur un stade de foot mais bien en classe, l'allusion à l'arbitre sert juste à montrer que le narrateur veut savoir comment ce changement de place s'est instauré. En ce qui concerne l'écriture, je pense qu'ajouter les marques de négation dans les passages narratifs serait un plus même si le narrateur a 15 ans. ex : Je peux même pas être sûr qu’elle a les yeux rouges. < je ne peux Dans les dialogues l'absence de négation n'est pas gênante. Prête pour la suite ! |
MissNeko
7/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Le roman m'intéresse toujours autant.
Une intrigue comlenc à poindre. À suivre |
Donaldo75
12/11/2021
a aimé ce texte
Bien
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C'est toujours du brut - ce qui va bien avec le rugby par ailleurs mais je passe sur ce coup - et la narration sonne juste alors que je reviens seulement maintenant sur cette nouvelle et que je devrais normalement avoir du mal à m'accrocher; c'est donc bon signe, celui que mon cerveau a enregistré ce style dans ses favoris et a décidé de l'adopter facilement à la lecture même après avoir délaissé la nouvelle pendant plusieurs semaines. J'ai presque hâte de savoir ce qui va suivre, de voir le pitch dramatique prendre une forme plus tangible, de me poser la question du pourquoi et du comment alors que le style est déjà prenant comme des polaroids placés ça et là sur la table.
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