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florilange
14/8/2010
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Ah! Je suis contente que ce ne soit pas terminé.
Il est bien, ce chapitre : de la difficulté de faire comprendre aux enfants pourquoi leurs parents se sont séparés. Et en même temps, que cette explication ne soit pas super limpide pour Simon, par rapport à Colombe... Je peux mettre "impec", au lieu des autres appréciations? |
brabant
18/8/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonsoir Maëlle,
Décidément on nous distille les personnages secondaires doucement et au fur et à mesure dans ce récit - formule pléonastique j'en suis conscient :) Voilà le père de Simon et on apprend le prénom de l'ex-madame Lorisseau. Le repas et le dialogue père/fils, leur complicité latente sont bien vus, sympas, décontractés, francs, sains, sans chichis. J'ai aimé. Le deuxième paragraphe n'est pas mal non plus, plausible et toujours sympa. Bon, ils ne sont pas très forts en cuisine ni l'un ni l'autre. J'aurais aimé que l'on typât davantage Ma et Gran Ma, fantômes évanescents (repléonasme). Il y a un passage que j'ai particulièrement aimé: "Tu sais... (IL Y A DES GENS QUI PARTENT PARCE QU'ILS AIMENT TROP. ILS ONT PEUR DE SE PERDRE EUX-MEMES.)" Cela ne veut tout simplement rien dire, mais cela veut aussi tout dire. D'ailleurs Simon l'a bien compris qui "dévisage" son père: "Qu'est-ce qu'il veut dire (?) L'idée de Colombe me quittant parce que... " Génial, ce passage est fabuleusement génial ! Et je suis sérieux. ps: dites-moi, cette famille ne se nourrit-elle que de yaourt et de bananes (1er et 2ème pg) ; éplucher "consciencieusement" une banane ? Pensez-vous qu'il faille s'appliquer pour éplucher une banane ? Il est vrai que le questionnement ci-avant peut donner lieu à une pleine épectase dialectique. (lol) |
David
31/1/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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"chandelle" comme pour "tenir la chandelle" ? D'un fils à son père, pour son divorce ou d'un père à son fils, pour sa Colombe... un chapitre très réussi avec un sens de l'absurde et de son utilité, pour cette râpe à céleri par exemple, comme si en la faisant fonctionner Simon parvenait à faire naitre ce dialogue avec son père.
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monlokiana
18/8/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Que dire. Après neuf chapitres, on finit par ne rien savoir. Une façon de garder le suspens ? Chacun son interprétation et ses hypothèses : moi je dis qu’elle est enceinte.
Mais bon, d’autre part, ce n’est pas si mal que ça se termine comme ça. Du suspens est né et ne mourra jamais, c’est comme ça que je prends cette fin. J’ai bien aimé ce roman, sa simplicité, sa délicatesse, sa légéreté. Je ne regrette pas de l’avoir lu. Je ne connais pas l’auteur Maelle, mais merci à elle. edit: Je viens de me rendre compte que le roman n'est pas encore fini. OK, j'y vais avec la partie suivante. C’est le premier roman Onirien que je lis. Et si j’allais jeter un coup d’œil sur les autres ? |
Anonyme
11/9/2011
a aimé ce texte
Bien
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J'aime bien cette relation père/fils ! Et tu en profites pour nous glisser quelques infos sur les personnages secondaires (victoire !).
Mais Simon devient un peu trop naïf à mon goût quand même... Il serait temps qu'il se rende compte ! |
carbona
15/12/2015
a aimé ce texte
Bien
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Sympa la relation père / fils. Voilà un fils qui va prendre soin de son père. L'adolescent qui apprend la raison de la séparation de ses parents, voilà un adolescent qui gagne en maturité mais MAIS son côté ultra naif avec "sa douce" ne colle pas, cette facette du personnage devient peu crédible.
"Le soir, dans mon lit, je repasse tout ce que j’ai pu faire et dire. Je ne vois pas. Je ne trouve pas comment j’aurais pu blesser Colombe." J'ai aimé quand il est fait mention du père qui ne percute pas que son fils a grandi et que ses goûts ont changé, ça fait sourire et c'est réaliste. Le récit s'étoffe dans ce sens-là mais l'intérêt pour la relation Colombine / Simon s'étiole. |
Donaldo75
26/11/2021
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Encore un chapitre anecdotique - ça fait deux de suite - où rien ne fait avancer l'histoire. Les dialogues n'apportent pas grand chose. Je suis déçu car j'ai l'impression que la narration perd en intensité.
J'attends la suite. |