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Marite
30/6/2012
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Je n'avais pas remarqué que la publication de ce roman avait commencé. En lisant le début de ce premier chapitre, ma foi, j'ai très envie de poursuivre et vais copier ces trois premiers chapitres afin de les lire à tête reposée et sans risque de coupure intempestive de la connexion.
Déjà dans cette première approche je trouve que l'écriture est agréable et la présentation en paragraphe aère le récit et permet de faire des pauses. A bientôt donc pour d'autres commentaires j'espère ... |
Anonyme
30/6/2012
a aimé ce texte
Bien
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Salut leon. Vivant moi-même au pays des bigorneaux, les vrais, je me devais de plonger dans ce roman onirien. Le décor est planté et ne serait-ce la lauze qu'on ne trouve pas par ici le reste tient la route... Je suis un peu inquiet par "Le homard m'a tué" qui me semble facile mais attendons la suite !
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Marite
30/6/2012
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Ce premier chapitre m’a intéressée. La description des personnages est bien rendue et beaucoup de détails permettent de visualiser les lieux et l’atmosphère. Cependant des lourdeurs dans certaines phrases sont vraiment gênantes. Elles gagneraient (les phrases) à être restructurées. L’usage des pronoms relatifs n’est pas très heureux dans bien des cas. J’en ai repris quelques-unes :
« Le suroît le poussait gentiment dans le dos, qui annonçait certainement le retour prochain de la pluie. » . - Le suroît le poussait gentiment dans le dos ce qui annonçait certainement le retour prochain de la pluie. (Il suffit de rajouter « ce » devant « qui » pour que ce soit plus fluide ) « Le jour de la Saint-Guy, qui tombe le quinze juin, était ainsi l'occasion d' une drôle de fête, où les garçons offraient une branche de houx à la fille qui avait leur préférence, et qui ne se pratiquait nulle part ailleurs, à sa connaissance. » - « Le quinze juin, jour de la Saint-Guy, était ainsi l'occasion d' une drôle de fête qui, à sa connaissance, ne se pratiquait nulle part ailleurs: les garçons offraient une branche de houx à la fille qui avait leur préférence. » (J’ai modifié la structure mais on doit pouvoir faire aussi autre chose.) « Celui qui fuyait l'autre vint tourner autour d'Abigaël, pour échapper à celui-là, tout en hurlant de sa voix pointue : …» - Celui qui fuyait , vint tourner autour d'Abigaël pour échapper à l’autre , tout en hurlant de sa voix pointue : … (idem que précédemment). Ce sont juste trois exemples mais il me semble que ce texte devrait être retravaillé dans son ensemble au niveau du style, du moins pour ce premier chapitre. Comme l’histoire de la bouteille m’intrigue je vais poursuivre la lecture des chapitres suivants. |
brabant
30/6/2012
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Bonjour Léon,
Tout comme Marite je prends le train en retard, pourtant je savais qu'il y avait un train, me voilà donc décidé à vous accompagner pour ce voyage type policier Fleuve Noir (collection que j'ai adorée) que vous nous proposez. Préambule concernant votre présentation : Le sujet de ce roman qui fleure bon le terroir me fait penser aux livres de Pierre Magnan qui vient de décéder le 2 mai 2012 (deux mois avant Robert Sabatier ! Décidément deux Grands nous quittent à peu près en même temps et à peu près au même âge : 89 et 88 ans ; la littérature de qualité ça conserve !). Je m'en vais donc aller voir si l'inspecteur Abigaël soutient la comparaison avec le commissaire Laviolette que j'ai suivi dans "Les courriers de la mort", de plus fabuleusement interprété par Victor Lanoux sur le petit écran. Je souhaite qu' "Abigaël" qui signifie "Source de joie. Ma joie est en Dieu. Mon père se réjouit." ne déçoive pas mon attente. Une première question cependant : "Abigaël" n'est-il pas un prénom féminin ? Bon, demain je commence le chapitre I... Là, c'était la quatrième de couverture ! |
brabant
30/7/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Léon,
Que voilà un premier chapitre qui me plaît ! Il résout aussi sec le problème du prénom (à mon avis la quatrième de couverture est à revoir), reste à savoir si l'Eglise et l'Etat Civil l'auraient accepté pour un garçon. L'atmosphère est bien campée, les personnages déterminés pour ceux qui seront sympathiques, au moins deux éléments de mystère déjà lancés. Le travail de documentation, localisation est solide, sérieux. Tout cela me paraît d'emblée jubilatoire, je m'engonce donc dans l'histoire, rhum et cannelle ! Merci ! Seul point sur lequel j'ai dû revenir : le demi de la Glaude. Il est de ses habitudes mais pas nécessaire pour la décoincer face à Abigaël. C'est-à-dire qu'elle n'a pas besoin de ça pour parler ni pour faire parler. |
LeopoldPartisan
12/7/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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C'est une histoire de bisounours qui m'a amené à cette lecture et je dois reconnaitre n'être en rien déçu. Voilà un premier chapitre bien torché et surtout un personnage bien campé. Cela me fait vraiment pensé à un polar paru chez Rivage noir que j'ai lu cet hivers et dont l'un des protagoniste était un inspecteur retraité revenant souvent dans la maison de ses parents non pas en bretagne mais en normandie. Ambiance réussie.
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jpdominici
25/9/2013
a aimé ce texte
Bien
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La première impression est bonne. le style est souple et alerte, les mots et les expressions recherchés. De plus, ce que j'aime ce sont les images.On a vraiment l'impression d'y être.
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Lulu
1/6/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je suis enchantée par la lecture de ce premier chapitre. J'ai vraiment hâte de lire la suite... Je note "très bien" pour cet excellent début.
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vb
7/7/2016
a aimé ce texte
Bien
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Je dis bien aimer ce texte pour ne pas écrire que n'ai pas encore d'avis: j'attends la suite. J'ai cependant des commentaires de forme. Je suis d'avis qu'il est possible de réduire quelque peu la longueur du texte. Ce n'est peut-être pas nécessaire de le faire. L'auteur jugera.
Ma critique porte d'abord sur le premier paragraphe. 1) "étant enfant" peut être supprimé. D'habitude les adultes ne jouent pas de cette manière. 2) Il n'est pas clair que "remontant" se rapporte à la marche d'Abigael ou aux jeux auxquels il jouait enfant. L'ambiguité est levée si on scinde la phrase en deux: "Il remontait vers le nord". 3) Supprimer le "et" entre "nord" et "le bout" renforcerait la nostalgie que le texte semble vouloir inspirer. 4) On peut remplacer "C'était... Bretagne" par "Ce coin de terre rappelait la Bretagne". On éviterait alors un "être" de trop. Question: est-ce la Bretagne ou pas? Quelles autres régions entrent en question? La Terre de Feu, la Cornouaille, la Normandie? Pourquoi ne pas dire où l'histoire a lieu? "en plus venteux encore" n'est pas nécessaire. Qu'est-ce qui pourrait être plus venteux qu'une tempête? 5) "cette fois-ci" est une lapalissade: la Toussaint tombe chaque année un autre jour. 6) "certainement" et "prochain" peuvent être supprimés sans perte de sens. "qui annoncait... pluie" constitue une incise qui rend "l'effet contraire" de la phrase suivante peu clair. Supprimer cette incise rapprocherait "poussait gentiment" de "effet contraire" et clarifierait le sens. §2 1) « moult » : D'après Dupré 1972 ,,Il est (...) parfaitement ridicule d'écrire, en « style troubadour » : le chevalier eut moultes aventures``. (Je suis d'accord et remplacerait volontiers moult par « de nombreuses » 2) « le quinze juin » peut être remplacé par « au printemps », « en juin », « mi-juin » 3) « d'une drôle de fête » peut être remplacé par « d'une fête » pour éviter le double « de » 4) « à sa connaissance » peut se placer entre « qui » et « ne » 5) Les paragraphes 3 et 4 peuvent être fusionnés. §3 1) « jusqu'à ce qu'il quitte le village et son école, pour poursuivre ses études » interrompt le sujet et projette le lecteur hors de l'adolescence alors que la phrase suivante reprend le sujet. 2) « qu'il n'était pas né et n'avait pas été baptisé » : « qu'il n'était ni né et ni baptisé » est plus concis 3) J'aime bien la dernière phrase. §4 1) « visiblement » est inutile 2) « allez savoir pourquoi » peut être supprimé. Il y a toujours une raison à tout. Soit on l'explique, soit on ne dit rien. 3) « Il s'en saisit, pour constater qu'elle était cachetée à la cire rouge, et semblait contenir quelque chose, un ou des papiers, selon toute apparence. » « pour » n'a pas ici le sens de « dans le but de » et peut être supprimé. On peut faire deux phrases : « Il s'en saisit : elle était cachetée... » avec un ou deux points. « semblait » et « selon toute apparence » sont une redite. « selon toute apparence » peut être supprimé. 4) « Il ne put s'empêcher de sourire, cette fois » pourquoi pas remplacer par « Il sourit ». Je ne comprends pas « cette fois » : où était la première fois ? 5) « ou une liasse de bons du même trésor » : Je ne trouve cette remarque ni amusante ni pertinente. Le trésor de l'Ile au trésor n'a rien à voir avec le trésor de la Banque de France. 6) « le sac à dos qui ne le quittait jamais » peut être remplacé par « son sac ». Si le sac ne le quite jamais le lecteur s'en rendra compte plus tard par lui même. 7) « bien décidé à examiner son contenu de retour à la maison, ce soir-là ». Pourquoi « bien », pourquoi reporter l'examen à ce soir ? Ce n'est pas clair 8) « C'est à ce moment précis qu'il entendit les cris perçants de deux enfants, qui se rapprochaient de lui, lancés dans une folle course-poursuite. » plus court sans « c'est » : « Il entendit... » ou « Deux enfants poussèrent... ». « folle » n'est pas nécessaire. Cette phrase s'intégrerait mieux dans le paragraphe suivant. §5 « pour échapper à celui-là » n'est pas nécessaire. On fuit pour échapper à l'autre. Le lecteur le sait. §7 1) « Et ils disparurent aussi vite qu'ils étaient apparus, en direction du village, tandis que le bonhomme les observait, perplexe. » Si on veut rendre un effet de disparition rapide, il ne faut pas ajouter « en direction du village, tandis que le bonhomme les observait, perplexe » qui ralentit l'action. Je trouve que le mot « bonhomme » ne va pas bien avec Abigael. Ce n'est pas un vieillard passif. 2) « déjà » n'est pas nécessaire. Il n'y a pas de raison pour laquelle Abigael ne voit pas le temps passer. 3) « de sa connaissance » est inutile. On ne peut pas haïr quelqu'un qu'on ne connaît pas. 4) Je trouve la phrase « Il est… adoucir… » assez lourde. On pourrait remplacer par « Il est des blessures qui ne se referment pas. » §8 1) « Il quitta la plage, pour gagner la lande qui entourait Mélile, qu'il rejoignit par la rue du Bout du monde. » Ambiguïté : « qu' » se rapporte à « plage » ou à « Mélile ». On peut scinder la phrase : « Il quitta la plage, gagna la lande, rejoignit Mélile. » Le nom de la rue n'est pas nécessaire. 2) « Cent mètres » précision inutile. 3) « d'une manière mélodieuse » peut être supprimé. 4) « trois » n'est pas nécessaire. On le saura plus tard. 4) « passablement » se réfère à « imbibés » et pas à « moroses ». Pourquoi pas mettre « morose » entre « clients » et « qui ». 5) Je supprimerais la fin du paragraphe à partir de « Méritaient » L'excursion en Chine écarte le lecteur du propos principal et rompt l'ambiance bretonne et nostalgique. Évidemment il faut dire quel type de flic est Abigael mais pourquoi pas plus tard ? §9 « imperceptiblement » Si c'est imperceptible on ne l'entend pas. Supprimer ! §10 1) « quand l'autre » Qui ? Plus clair serait « le troisième client » 2) « qu'il avait toujours été » peut être supprimé. Le lecteur a compris. §11 1) « brun et » peut être supprimé. 2) « comme il aimait » peut être supprimé. Elle « connaît ses habitude ». 3) « passées à élucider, ou à ne pas élucider, d'ailleurs, » peut être remplacé par « passées à élucider ou pas » 4) « crapuleux, et autant de crimes passionnels. » n'est pas informatif §12 « La vieille, qui aimait bien Abigaël, se planta devant lui, un demi à la main, celui qu'elle s'offrait toujours en fin de journée, afin de l'encourager à parler. » La phrase est ambiguë. « afin de l'encourager à parler » se rapporte à « planta » et pas à « offrait » §13 1) « en effet » peut être supprimé. 2) La phrase « Tout comme lui, apparemment, elle ne supportait pas l'injustice, ni la violence. » est un peu lourde. Je supprimerais « apparemment » qui est en contradiction avec les termes absolus « injustice » et « violence ». §14 1) « Évidemment » ne prend son sens qu'à la fin de la phrase. « simple question d'alcoolémie » pourquoi ne pas dire « il a trop bu » 2) « onze heures ». J'avais oublié l'heure. Peut-être faut-il dire que c'est la nuit, qu'il fait noir. |
MissNeko
6/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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J au été intrigué par le titre ( j adore le mot bigorneau!!) et je ne suis pas déçue. Le début de votre roman me donne envie de continuer !
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cherbiacuespe
24/8/2019
a aimé ce texte
Bien
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Bon! On va voir la suite. Cette introduction ne met pas forcément l'eau à la bouche mais elle est nécessaire et ma foi très bien faite.
Pas grand chose à dire, donc, pour l'instant. J'attaque le deuxième chapitre. |
Donaldo75
15/9/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Eh bien, je me suis lancé dans la lecture de ce roman car il me semblait faire partie des écrits à avoir lu sur Oniris. Je ne suis pas déçu. Cette introduction est très bien écrite, raconte le personnage et place le contexte de cette région. Je trouve que pour commencer une histoire policière - si j'en crois le résumé du roman - c'est une excellente entrée en la matière à qui sait prendre le temps - et aujourd'hui, j'ai décider de m'en donner - de rentrer dans le paysage derrière les mots, de tâter de la réalité de ce terrain à venir.
J'ai hâte de lire la suite, quand ma tasse de thé vert à la menthe sera prête. |