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Marite
6/7/2012
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bon, là je trouve que ça s' étire un peu en longueur et finalement, pas grand chose de nouveau, à part que notre inspecteur semble aimer être aux fourneaux (je me serais bien invitée) et que Natacha est "tombée" un peu trop vite à mon sens dans le piège tendu par Abigaël. Reste maintenant à savoir de quelle façon elle a été mêlée au meurtre.
Notre inspecteur a été trop pressé, trop sûr de lui. Pourtant il semblait avancer avec finesse dans ses contacts mais là, il s'est planté. Il a trop misé sur l'effet de la goutte du père Longrain. Tout le monde ne réagit pas de la même façon à l' alcool. Comment va-t-il renouer avec Natacha ? Car je pense qu'il en aura besoin dans la suite de son enquête. |
brabant
30/7/2012
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour Léon,
Généralement c'est la vérité qui sort du flacon, ici il semble bien que ce soit la muflerie ! Ce que j'aime : la préparation, le mitonnage et la délectation des plats, le festoiement. On trouve cela dans les aventures de Nicolas Le Floch de Jean-François Parot (des chefs-d'oeuvre, un régal d'érudition) où l'auteur ressuscite la cuisine du XVIIIè, produits, ingrédients et vins, etc... sous Louis XV puis Louis XVI. C'est bien ici aussi de procéder en parallèle, de nommer tout cela. Mais, même si c'est voulu de votre part, il y a exagération sur les quantités, et caricature sur la façon de les absorber. La demi-bouteille de goutte en plus du reste c'est le coma éthylique, voire davantage, avec de plus ce qui a été ingurgité le matin. Abigaël comme je le craignais vire à l'individu antipathique, voire très antipathique, sans tact et sans nuance, que ne justifie en rien sa quête de vérité. Est-il par ailleurs directement concerné ? Il jette au visage de Natacha la mort de son propre fils, je crains que, à cause de ce comportement absurde, le lecteur ne finisse par le lâcher. "A nos femmes, à nos chevaux et à ceux qui les montent !", odieux dans la bouche d'un joli coeur, a-t-il de plus servi dans la cavalerie etc..., ce qui ne justifierait rien en outre. Comment racheter une scène aussi embarrassante que celle que l'on vient de lire ? Pour ma part je place ce triste sire en cellule de dégrisement ! Sans Ferré ni Nougaro ! Allez ! Avec Gainsbar ! |
Anonyme
7/7/2012
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Bonjour leon. Hors les petits plats préparés par l'inspecteur Abi..., pas grand chose à se mettre sous la dent au cours de cet épisode si ce n'est que le lecteur découvre qu'en plus d'être plus ou moins alcolo, plutôt plus que moins d'ailleurs, notre "poulet" à la retraite fait preuve d'un cruel manque de tact et d'une rare vulgarité.
J'avoue avoir été quelque peu "désarçonné" par l'expression : – À nos femmes, à nos chevaux, et à ceux qui les montent ! N'étant pas un perdreau de l'année, je connais cette littérature de corps de garde mais je trouve cette expression plus que déplacée dans cette scène de soit disant séduction... Je vais donc laisser l'inpecteur Abigaël poursuivre son enquête à sa manière en lui souhaitant bonne route... |
MissNeko
6/10/2016
a aimé ce texte
Bien
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Comment va t il rattraper son coup l inspecteur Abi ? C est mal
Parti avec la belle Natacha. Il veut soûler tout le monde aussi. Peut être un peu trop pour être crédible |
cherbiacuespe
14/9/2019
a aimé ce texte
Pas
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Le premier paragraphe met l'eau à la bouche. J'avais oublié jusqu'ici mon estomac et ma gourmandise.
La suite me laisse un peu sur ma faim. Il n'y va pas de main morte, l'ami policier! Et sans nuance. C'est ce qui me chagrine un peu parce que, me semble-t-il, tout amoureux de la justice et de la vérité, il me semble qu'il pourrait être un peu plus fin dans son approche avec celle qu'il aime. Se froisser de la sorte n'amène rien pour son enquête ni pour son avenir sentimental. Du coup je suis mal à l'aise avec ce chapitre que je trouve mal réalisé malgré un début culinaire en fanfare. J'admets cependant que le chapitre suivant peut l'éclairer et vais, de ce pas plein d'espoir, lire la suite. |
Donaldo75
24/10/2021
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A ce stade, je ne suis pas persuadé que ce chapitre amène grand chose à l'intrigue, juste le fait qu'Abigaël est un gros lourdaud maladroit avec les femmes et en particulier avec Natacha. Le début du chapitre avec la description de la préparation du repas n'amène pas beaucoup à mon avis mais je pense que d'autres lecteurs apprécieront ce style narratif où les détails rendent la scène plus vivante.
Je suis un peu déçu parce que l'histoire n'avance pas sur ce coup et que c'est bien dommage même en mode feuilleton. |