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Marite
9/7/2012
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Est-ce le dernier chapitre ?
Cet inspecteur est vraiment très fragile pour fondre en larmes et se réfugier dans les bras de Natacha. Mais, c'est peut-être l'abus d'alcool qui l'a rendu ainsi et puis aussi, il ne doit plus être très fier de lui et se sentir ridicule avec son obstination à chercher la vérité au sujet de ce meurtre. J' ai relu le dialogue avec le père Longrain et ne sait pas comment il a pu arriver à la conclusion qu'il était finalement très concerné par ce meurtre. |
brabant
30/7/2012
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour Léon,
Comme quoi le dicton qui veut que l'on voit la paille dans l'oeil de la voisine et du voisin... se vérifie. Finalement j'avais eu le nez fin en ce qui concerne le père Longrain (petit sourire d'autosatisfaction), il aurait fallu mieux induire ce personnage, de même induire des rapports avec Natacha (attirer et mettre la puce à l'oreille du lecteur ; oh ! très, très subtilement hein ! pas avec des gros sabots). Je trouve que la fin de ce polar est pas mal, sa résolution cohérente. Je comprends mieux l'attitude de Natacha notamment. Je crois qu'on peut en faire un bouquin très sympa... à condition de revoir certains aspects du caractère et du comportement d'Abigaël, et notamment son alcoolisme qui en font un être dégradant que sa quête de vérité n'arrive pas à racheter. Est-il possible de présenter ces excès de boisson d'une autre façon ? de lui inventer une/des lubies parallèle/s. J'ai conscience que c'est un des moteurs essentiels du roman. Quasiment un personnage : l'Alcool ! Bon AMHA le lecteur ne suivra jamais un être veule, il posera le bouquin avec un sentiment de frustration. A moins de vouloir écrire un bouquin hors normes ? Mais alors pourquoi ce bonheur final ? Peut-être une concession à l'empathie... Enfin ! Je le répète, ça n'est que mon avis, vous en faites ce que vous voulez. Lol. Et finalement... ça n'est peut-être pas du cochon... mais y a quand même une grande partie de bon dans le bigorneau ! J'ai apprécié la conclusion en forme de conversion : Vive Lui ! Bigorneau qui s'en dédit ! |
MissNeko
7/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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J ai beaucoup aimé votre roman que j ai dévoré en une soirée. Je le suis tout de même perdue dans les relations entre les personnages.
J ai passé un très bon moment. Merci beaucoup. Par contre je n aime pas trop la ponctuation ?! Ça fait un peu SMS |
bikass
4/1/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai tant aimé ce polar car il répond à mon éxigence personnelle sur les oeuvres policières:tout événement et tout personnage doit contribuer à la résolution du crime.Félicitations!J'éspère vous lire prochaînnement.
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cherbiacuespe
18/9/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Avec le chapitre précédent on avait la direction à suivre. C'est peut-être là que le bât blesse dans cette enquête. Oui, l'idée générale me semble bonne. Oui, dans l'ensemble, l'histoire est assez bien menée. Mais il me semble cependant que la fin est un peu expédiée.
Voici ma critique principale. Pour qu'un polar prenne aux tripes, il faut une fin en feu d'artifice. De la surprise, des questionnements, de la tripe et du cerveau. Au lieu de quoi le dernier chapitre ne vient que confirmer ce que le précédent sous-entend. Voici ce que je suggère très modestement : il aurait peut-être été judicieux de commencer par écrire la fin! Je m'explique. Écrire un roman est un exercice de longue haleine qui met l'endurance à rude épreuve. Plus on avance, plus on veut conclure et plus il est risqué de manquer la conclusion. Commencer par écrire la conclusion, à un moment où l'on est encore plein de ressource, enthousiaste (je parle d'écriture, bien sûr) c'est prendre quelques garanties pour ne pas la fourvoyer. Et cela n'oblige pas à la conserver telle quelle si finalement elle ne correspond plus à l'ensemble de l'écrit. Je salut Leon pour sa persévérance. Comme je le dis plus haut, s'atteler à un tel travail n'est pas chose aisée, loin s'en faut! Toute mon admiration. |
Donaldo75
25/10/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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La fin arrive très vite même si le chapitre précédent la laissait augurer. Elle est bien vue quelque part et ne détonne pas dans l'ensemble de cette narration. En fait, l'enquête sert de prétexte à l'exposition du personnage principal, cet Abigaïl perdu dans son pays de bigorneaux et qui ne sait pas décrocher de son ancien métier parce qu'il l'a façonné pour échapper à son passé. Son amour pour Natacha est un excellent fil directeur dans une histoire dont la multiplicité des personnages peut perdre le lecteur s'il lit l'ensemble - ce que j'ai fait - en mode feuilleton. C'est là que le bat blesse je pense mais cela ne m'empêche pas de beaucoup aimer ce roman parce que le style narratif est vraiment réussi et colle bien au décor, à l'intrigue, aux personnages.
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