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Anonyme
13/3/2009
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"Il y en a d'autres, mais celles-là sont les miennes et il m'appartient donc de te les partager" je ne comprends pas trop : si ce sont tes portes, et qu'elles sont tiennes, tu ne les partages pas or tu dis "il m'appartient donc de TE les partager". Soit : elles étaient à moi et il t'appartient de seulement exiger les partager avec moi.
C'est ça ? "Mais je savais devoir me tenir à ma place et ne pas déranger ses structures intimes car j'y laissais des traces, étant un étranger." car j'y aurais laissé des traces ? Court, bien écrit, dans le genre phrases caressantes, hypnotiques, un peu comme le serpent dans Robin des bois de Walt Disney (mes références sont ce qu'elles sont...) Bah, rien que pour le plaisir de ton écriture, je te suivrai, mais j'en veux plus... Là, je reste sur ma faim. |
marimay
18/3/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Nobello,
Oui je te lis toujours. Oui ta bio-autographie m'intéresse. L'autre est semblable et pourtant différent. Tu lui partages tes portes, elle te partage les siennes. Ensemble vous vous complétez et votre "nous" devient plus grand : "J'ai reçu de ta part bien des enseignements". Par ta Graine de nous deux, tu nous montres le chemin des étoiles. |
Menvussa
18/3/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une introduction en forme de poésie. on entre dans ce "roman" comme dans un musée ou une fête foraine, selon ses goûts. On y entre par gourmandise et il n'est pas besoin d'avoir faim.
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Maëlle
6/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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il y a une jolie musique, en tout cas.
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Pat
13/4/2009
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Pour discuter et approfondir vos points de vue sur ce texte, merci de le faire ici
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nico84
16/4/2009
a aimé ce texte
Bien
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J'aime surtout le début. L'écriture est un partage, une offrande de l'auteur et tu le dis d'une trés belle manière. C'est dans ces moments là, ces textes trés beaux et tellements naturels, sincéres que se l'on dit.
"J'aurais voulu l'écrire". Mais il n'y a toi qui pouvait avec ta sensibilité et ton écriture de cette façon là. Bravo Nobello. |
horizons
4/6/2009
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Nous revoici avec cette voix venue d'ailleurs qui ns dessine des images merveilleuses. Ce que j'avais pris pour un préambule est en fait un refrain poétique qui revient entre chaque chapitre.
Ces tournures sont un peu hermétiques pour moi, mais elles sont cousues d' interrogations métaphysiques (d'où le titre général du roman?)qui ns forcent à réfléchir un peu sur ns-même. Au plaisir. H |
Anonyme
7/8/2009
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Je ne suis pas fan de ces apartés qui ne laissent pas le lecteur tranquille et ça le force un peu, je trouve. Tu nous invites en coulisses mais pour ma part c'est la pièce qui est intéressante.
La suite, sans doute. |
jaimme
7/8/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Mon opinion. Pour ce qu'elle vaut.
Quand on écrit on n'entraîne pas l'autre. Il se retrouve. Ou pas. Et, effectivement, il faut que l'autre nous aime pour qu'il se laisse enseigner. Ou disons, voyager. Ou nous enseigne. Belle musique. Merci. |
Donaldo75
17/12/2021
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La première phrase m'a fait marrer. J'espère que les portes supposées ouvrir seront nettement moins chargées en termes d'architecture stylistique, mieux raconter. Ceci dit, ce très court chapitre ressemble curieusement au préambule en matière d'écriture et ne m'a pas plus fait rêver. Je ne vais pas m'embarquer dans un commentaire plus long que le chapitre mais juste résumer que la tentative de résonner poétique tombe à plat dans ma lecture. Ceci étant dit, c'est toujours aussi bien écrit, à l'instar de ces tableaux du dix-neuvième siècle qui sont bien dessinés.
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