|
|
xuanvincent
18/8/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
|
(Après une rapide lecture, voici quelques impressions.)
Après Paris, l'action se déplace sur la Côte d'Azur, sur une période de deux ans, durant laquelle le couple se voit séparé par la guerre. L'importance de l'écriture épistolaire dans cet épisode a retenu mon attention. Peut-être qu'une narration aurait pu être ajoutée entre les lettres ? Le fait que le jeune homme puisse ainsi laisser aussi longtemps seule sa compagne, sans paraître vraiment s'en émouvoir, alors qu'elle lui parle de jeunes hommes qui manifestement ne la laisse pas indifférente, m'a un peu étonnée. Détail : . 'l"occupation" : j'écrirais plutôt "l'Occupation" . "dans le sud" : j'écrirais de même "Sud" avec une majuscule . "un italien" : pareillement, j'écrirais "Italien" avec la majuscule |
jaimme
19/8/2009
|
Toujours cet aspect mondain, et donc trop froid qui me dérange. J'ai du mal à entrer dans l'histoire, pour l'instant.
une remarque: Comment, dans le chapitre précédent, Sophie a-t-elle pu reconnaître l'accent de Nice si elle n'est jamais venue dans le Sud? |
Anonyme
20/8/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Je rentre de mieux en mieux dans l'ambiance. Je commence à cerner les personnages, Sophie terriblement mondaine quoiqu'il se passe mais tout de même très attachée à Arnaud, Albert réfugié dans la folie de peindre et Maxime, je ne sais pas trop, je suppose que la suite m'éclairera…
Je m'attache un petit peu, c'est bon signe, j'avais du mal avant avec les romans sur Oniris. J'ai relevé quelques maladresses dans les lettres, des répétitions notamment, mais je suppose que c'est volontaire, puisque ce sont les personnages qui parlent. |
Anonyme
20/8/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Bonjour Marogne. Et bien, malheureusement, j'ai toujours du mal à rentrer dans ce récit qui n'arrive pas à me captiver. J'en suis désolée. Il y a pas mal de répétitions, un peu trop peut-être, mais l'auteur l'a peut-être voulu ainsi ?
- "Plongent dans la mer," "surplombant la mer" "Nous réveiller le matin ensemble" "reprendre une vie normale, ensemble", normale simplement peut-être... et d'autres.On peut sortir, on peut boire : peut-être : on peut sortir, boire..."ça pourrait t'aider à te distraire" : peut-être : ça pourrait te distraire..."Ses traits d'esprit" ? Bonne continuation. |
Anonyme
21/8/2009
a aimé ce texte
Bien
|
bonjour marogne
Alors oui, pas mal de répétitions dans les lettres. Quelques majuscules manquantes : dans le Sud, dans le Midi, la Côte Je regrette que l'effondrement du casino sur la Promenade soit ainsi survolé. Il y avait matière à dire et décrire. Peut-être dans le prochain chapitre ? "On dirait que les jeunes filles ont oublié qu’elles pouvaient être belles dans leurs jupes légères" : un peu gênée par cette phrase d'Arnaud, bien que je ne connaisse pas encore grand chose du couple, mais bon, ils s'aiment, ils sont séparés, alors je pense que Arnaud aurait pu trouver autre chose pour exprimer ce sentiment de tristesse et de tensions que "belles dans leurs jupes légères" (A la place de Sophie, ça me donnerait envie de rentrer dare-dare...) Un petit doute : que tu ai(e)s recommencé à vivre Entre la lettre du 31 août et du 22 décembre, l'inquiétude de Sophie, à mon sens, devrait être un peu plus marquée... il me manque ici quelque chose, d'autant qu'elle commence la lettre du 22 décembre par un "je me demande bien pourquoi je continue à t’écrire malgré les six mois de silence..." Le "je me demande bien pourquoi" est un peu trop décontracté, presqu'indifférent, ou juste amical. La question que je me pose après cette lecture c'est : ils s'aiment vraiment ces deux là ? Et comme j'ai Maxime en arrière plan, je me demande... enfin voilà, c'est surtout du ressenti, ne connaissant pas la suite de l'histoire. J'aime toujours l'ambiance, un peu frivole, très contrastée entre l'Histoire et l'histoire. |
NICOLE
29/8/2009
|
Pour une femme sans nouvelles de l'homme qu'elle aime depuis deux mois, je la trouve assez stoique cette Sophie. Bien sùr, c'est une femme légére, mais de là à rester à Vence alors que son amour à manifestement disparu....en plus en se félicitant d'avoir rencontré un bel italien, et revue une vieille connaissance qui "la dévore toujours des yeux"! Franchement là, j'ai du mal à y croire.
Par contre, j'aime bien la description qui est faite de l'arriére pays niçois, et je vais continuer à lire. |
Anonyme
23/9/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
|
Bonjour Marogne
Je suis très partagée à la lecture de ce chapitre. Les lettres ne suffisent pas pour me faire une idée de ce qui se passe. j'aurais bien aimé avoir quelques pistes. Je vois bien Sophie en femme futile fatale et oublieuse mais ses lettres sont quand même un peu courtes (celle d'Arnaud aussi d'ailleurs). " Il peint la plupart du temps la Côte d’Azur, sur la base des croquis qu’il avait faits avec Maxime. Toujours aussi amoureux, je crois bien, et même s’il essaye de me le cacher. Il ne peut se passer une semaine sans, que d’une façon ou d’une autre, il ne t’évoque dans la conversation… " Dans cette phrase là je n'ai pas compris si c'était Maxime ou Albert qui était amoureux... Sinon entre les deux dernières lettre, là vraiment il manque toutes les interrogations et toutes les démarches que Sophie ne devrait pas manquer d'avoir faites. A moins qu'elle ne se soucie plus d'Arnaud mais dans ce cas pourquoi la dernière lettre. Au final. J'aime bien l'atmosphère superficielle qui est développée mais j'aurais préféré un chapitre plus développé. Là j'ai l'impression de rater des épisodes. Merci Xrys |