|
|
xuanvincent
18/8/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
|
Après une lecture rapide, cette histoire m'a fait penser à un récit d'un autre âge, un peu à l'histoire du jeune Rastignac lors de son arrivée à Paris.
L'histoire - sentimentale - pour ce premier épisode m'a plu dans l''ensemble. Les dialogues m'ont plu moyennement. Détail : . "front populaire" : j'écrirais plutôt "Front populaire". |
Anonyme
18/8/2009
a aimé ce texte
Un peu
|
Bonjour Marogne. J'ai lu votre le premier chapitre mais j'avoue avec regret que je me suis un peu ennuyée. Cependant le sujet est intéressant et j'ai aimé la jolie description des calanques. Peut-être que le deuxième chapitre sera un peu plus animé avec la belle Sophie qu'il désire tant... J'ai noté "S'il te plaît" avec un point d'interrogation? ...pas d'exclamation... et "le plus infime détail pour leurs futures oeuvres"... Peut-être au pluriel, je pense qu'il s'imprime de plusieurs détails. Et aussi "Mais tout à une fin"...Ce début de phrase était-elle nécessaire? Ce ne sont que des petites suggestions qui m'ont interpellée. Mais votre récit est fluide et se lit facilement. Au prochain chapitre.
|
jaimme
19/8/2009
|
Un premier chapitre très mondain. Une belle écriture. Je vais lire la suite.
Quelques remarques anecdotiques. Mais puisque j'y suis: la lascivité (peu agréable à l'oreille) l'orient: l'Orient front populaire: Front populaire (voire parfois Front Populaire) convainquit (peu agréable): pu convaincre, par exemple |
Anonyme
19/8/2009
a aimé ce texte
Bien
|
J'aime bien, on se plonge facilement dans l'ambiance. Je vais essayer de trouver du temps pour lire la suite, je suis bien intrigué de ce qui va pouvoir se passer.
Mais j'ai accroché sur certains passages, qui ne m'ont pas semblé "naturels" ; je fais le difficile, et je ne serais sans doute pas capable d'en faire autant, mais dans les dialogues notamment il m'a semblé percevoir un manque de fluidité. J'ai bien aimé cependant la discussion sur l'art à la fin, où le peintre qui peint des toiles et qui, si j'ai bien compris, a fait fortune, est le seul à ne rien avoir à en faire des concepts et des discours. Le parallèle avec la littérature n'est pas loin d'ailleurs… |
Anonyme
20/8/2009
a aimé ce texte
Bien
|
J'adore l'entrée en matière ! Comme premier mot d'un roman "une jambe !", c'est assez saisissant et original.
Bon début en tout cas, écriture assez dense mais pas désagréable du tout. Je vais essayer de rattraper mon retard et de lire la suite pour mettre un commentaire un peu plus abouti un peu plus loin. |
Anonyme
21/8/2009
a aimé ce texte
Bien
|
Bonjour marogne
Tout d'abord, l'écriture est belle, le rythme en balancier, impression de partir en voyage, de s'embarquer pour une croisière avec un bon bouquin. Nostalgique, intéressant du fait du parallèle entre écriture et peinture, surtout que le peintre a des choses à dire et sait les transmettre. mais j'ai relevé des petites choses qui m'ont embêtée : "... l’argent leur permettait d’acheter dans les magasins de la place Masséna ou de la Croisette proche."... pas si proche de la place Massena la Croisette, même aujourd'hui pour y aller c'est une heure sans l'autoroute. Mais je conçois que ce ne pouvait être la Promenade des Anglais, vu qu'elle n'abrite que des bars, des hôtels et des restaurants. C'est juste le mot "proche" qui me gêne. J'ai un problème avec l'école des Beaux-Arts, il n'y en a pas à Nice. Donc il est monté à Paris ? Il y a des écoles à Nice, mais elles ne sont pas dénommées ainsi. Mais peut-être y avait-il une école des Beaux Arts à Nice en 1936 ? Quoi qu'il en soit, la suite du texte laisse penser qu'il est à l'école des Beaux-Arts à Nice, puisqu'il en profite pour aller partout sur la côte. J'aurais bien besoin d'un éclaircissement ici... "Des collines de Menton... aux calanques de Cassis... du Baou de Saint-Jeannet, dernier sursaut des montagnes, aux sables et aux palaces de Cannes, du village d’Èze..." J'ai été gênée ici aussi, parce que je me suis demandé ce que venaient faire les calanques de Cassis (Marseille) dans le paysage de l'arrière pays Niçois, ou ses environs. Quitte à les citer, logique, elles sont superbes, je les aurais placées en dernier dans cette liste, puisque très éloignées. Et est-ce que l’on peut voir vos toiles, demanda Sophie ? Juste un détail, le point d'interrogation, pour ma part, mal placé. Une lecture agréable, bien que je n'aie pas aimé l'entame du roman. Oui, c'est une boucle puisqu'on retrouve ladite Sophie, mais cette jambe en entrée en matière... comme le portrait qui suit. Désolée, mais j'ai plus vu dans ce portrait - du fait de la jambe et de la voix éraillée, et le rire "gras" accolé à vulgaire, même pour dire, "gras sans être vulgaire" - une fille légère plus qu'une femme avec laquelle un homme pourra construire sa vie. (avis très personnel, bien sûr... mais comme ça de prime abord, je pense à Sophie comme à une femme fatale, pas une femme-épouse. Je relis le début du roman et j'ajoute : Telle qu'est décrite cette jambe : une jambe qui semblait jaillir des hauts talons... (désolée d'insister mais c'est si important l'entrée en matière d'un roman...) dans quelle position est Maxime pour ne voir que cette jambe ? Je n'ai pas fait attention à la suite de la phrase, lors de ma première lecture, mais en lisant : une jambe qui semblait jaillir : j'ai immédiatement pensé : voiture. La fille sort de la voiture, c'est la première chose qu'on voit, dans ce cas. par contre : crépitaient dans l'entrée de la brasserie... à ce moment là ce qu'on perçoit d'une superbe femme entrant dans une pièce, c'est l'allure générale, le maintien, le chapeau, l'aisance. Les jambes, oui, bien sûr, mais après. (avis très personnel, je répète) Très bonne continuation. (à suivre) |
Anonyme
21/9/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Bonjour Marogne
Cela fait quelques temps que j'ai lu ton roman et que je me dis qu'un jour il faudrait que je le commente. Voilà c'est pour cette semaine... D'abord l'entrée commencer par une jambe c'est excellent accrocheur et tout visuel aussi, enfin moi j'ai aimé Tiens sur la forme je retrouve le reproche que j'ai fait récemment sur ta nouvelle (les subordonnées qui se suivent), je n'avais pas remarqué cela avant, et ici ca me gêne beaucoup moins. Par contre le Ps qu' m'a un peu heurtée. Sur le fond: J'aime beaucoup cette analyse de la motivation de ton héros pour "faire " artiste, avec ça on se doute un peu qu'il ne sera pas un grand. Cela s'oppose d'ailleurs à la vision d'Arnaud tout à la fin. Bien vu aussi l'apprentissage et bien esquissé le désespoir de l'apprenti. Oui dans ce cas le travail ne suffit pas il faut aussi du talent hélas. En fait il y a dans ce premier chapitre tous les éléments de l'intrigue qui sont réunis : le couple Sophie Arnaud et le désir, presque la jalousie de Maxime. Donc un texte que j'ai lu et relu avec plaisir. Merci Xrys |