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jaimme
1/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Des plaisirs de la vie quotidienne, aggravés par une situation compliquée à gérer. Mais on sent une forte pression chez Brigitte, une fissure prête à se transformer en fracture.
L'humour est de retour. Grinçant. Mais aussi tendres (le collier de pâtes par exemple). J'ai trouvé une ou deux phrases qui auraient demandé un peu d'huile (d'olive je pense). Mais d'une façon générale on sent que chaque phrase a été ciselée, ce qui est quand même un exploit sur une telle ampleur de texte. |
nico84
2/10/2009
a aimé ce texte
Bien
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Pas si facile cette vie. Sa vie de femme est bien remplie mais sa vie de mère est un vrai gouffre. Qui se transformera peut être en crise, qui sait.
Ses beaux-enfants ne sont pas des réussites dans la manière de les décrire, tout n'est pas rose et la vie est bien avancée. Une éré mouvementée s'annonce, bravo encore ! |
LeopoldPartisan
2/10/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Amour gloire et beauté !
Plus j'avance moins j'ai d'empathie pour tous ces personnages qui comme l'écriture, est-ce voulu se fait de plus en plus superficielle. C'est les feux de l'amour et les gosses des autres. Quelque part tout cela me fait froid dans le dos :Personnellement Brigitte, moi je choisirai de me mettre la tête dans le four, avec un coctail (c'est vrai celà, ils sont toujours au resto ou/et en représentation.) de baribituriques volés dans le sacoche de Jean-Luc. Attention Brigitte, surtout ne pas couper l'électricité ni d'oublier de bien fermer la porte à clefs en les laissant dans la serrure, comme celà qu'en J.L. rentre ou Eliane, on s'éclate tous ensemble. Comme j'ai commencé, je dois finir, mais j'ai un peu de mal. Toutefois je respecte vraiment l'effort d'une histoire qui mériterait, de te servir de synopsis à un vrai roman. Ma critique c'est que ce côté, très survolé nuit vraiment à l'ensemble qui j'en suis sûr mériterait une vrai réécriture. Tu en as le canevas. |
Filipo
30/10/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Toujours bien écrit. On ressent effectivement les non dit et l'absence de communication sur certains points dans le couple Brigitte-Jean-Luc (l'annonce de la "stérilité" de Brigitte). L'histoire du "collier de pâtes" donne l'impression - choquante, c'est voulu - que l'épouse du chirurgien est plus un faire valoir lors de représentations publiques qu'une compagne adulée.
On se prend au jeu de la vie de cette femme, minutieusement retracée de félures en petites crises... lecture toujours agréable pour moi, émaillée de beaucoup d'humour. |
Anonyme
9/11/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Pour l'instant l'épisode le plus aboutit pour moi.
On s'en enfin qui est brigitte. L'humour est enfin absente te on rentre dans la profondeur des personnages. C'est un long je trouve depuis le début, mais c'est une bonne chose. |
monlokiana
15/9/2011
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Pas plus intéressant que le passage précédent. Beaucoup de noms. J’avoue que je commence déjà à m’y perdre. L’humour a disparu depuis le chapitre 4 pour laisser place à la vie et au quotidien de Brigitte. J’avoue que je commence un peu à m’ennuyer d’elle. C’est la femme genre « je fais tout » « j’encaisse tout » « je subis tout ». Je trouve qu’elle ne se bouge pas trop et ce caractère commence à rendre l’histoire inintéressante et pas trop emballante.
Tout de même, je cours encore lire la suite. |
pierre
30/6/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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l'humour et la légèreté de vie des premiers chapitres glisse doucement vers une atmosphère plus grave mais toujours avec quelques petites pointes d'ironie et le même ton ds le style. si ds les premiers chapitres on papillonne, avec les deux derniers ( le 5 et le 6) on s'installe . pour ma part je trouve cela assez réussi.
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carbona
7/8/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Toujours très bien.
La boulette d'Eliane, franchement, on a connu mieux dans l'histoire de la délicatesse. La réaction un peu cassante et expéditive de Jean-Luc au sujet des enfants me surprend. C'est une facette de son caractère à laquelle je ne m'attendais pas. "Comme cette année, il était encore aux dernières nouvelles inscrit en fac de droit, son père le suit pour réclamer des explications." < J'ai dû relire deux fois, mauvaise utilisation des vrigules. "Gérôme, à vingt-neuf ans révolus, cherche encore sa voie, et vraisemblablement encore pour longtemps si on veut mon avis". < répétition de "encore" J'ai compris qui sont Jean-Marc et Sarah. |