|
|
jaimme
26/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Oh, c'est savoureux!! Plein d'humour, de remarques intelligences!!
Vivement la suite!! J'ai noté au fur et à mesure: "ils deviennent proprement indigestes.", parfaitement exact! Mais tellement bons! "...une femme réussir à monter une mayonnaise pendant ses menstrues.": détail ethnographique exact!!! Mais, moi, un homme, il m'est arrivé aussi de la rater... Alors? "Je chasse à regret l’idée perfide de lui réclamer du chorizo : qui sait, il partirait sûrement en Espagne sur le champ.": excellent!! "Comme à quarante ans,...": je n'aurais pas mis de virgule. Ratée la mayo? Moi je mets un jaune d'œuf... Chacun son truc! Quand on dit: "mais au fond ça n’est pas grave", c'est qu"en fait... "Mes rares tentatives sentent la sueur": c'est beau. "il pourrait utiliser son épouse comme enseigne lumineuse": oui!! "Pourvu qu’elle ne prenne pas une banane au dessert." re-oui! Si la suite est du même acabit, je vais me régaler (même avec l'haleine fétide!!) jaimme |
ANIMAL
26/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
|
J'aime beaucoup. L'ambiance générale, les réflexions intérieures, les descriptions, les souvenirs... Tout sonne juste autant sur le fond que sur la forme.
Jaimme a trouvé le mot juste : c'est savoureux :-) Merci de ce moment de lecture sourire aux lèvres. |
Eric-Paul
26/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Bienvenue à Brigitte et Jean-Luc,
en espérant que les correcteurs ne prennent un sadique plaisir à nous faire attendre les chapitres suivants. eric |
Anonyme
26/9/2009
a aimé ce texte
Bien
|
Très bon teaser.
Je trouve ça plein de spontanéité, les caractères dépeints jusque là sont tout simplement criants de réalisme... on a envie d'en savoir plus. J'apprécie le ton semi sarcastique semi heureux, on sent une sorte de "coté maternalo-sentimental-mais-dur" chez le narrateur qui pimente un peu l'histoire, et donne une touche familière (comme si on avait pas tous assisté à ce genre de soirée...) au récit. J'aime bien le fait que la narratrice soit en retrait, amicalement parlant, et en même temps qu'on la sente à l'écoute et détendue parmi ces gens qui ne sont pas ses amis à elle. Les chirurgiens... ça promet du plaisir, Sandra m'a fait rire... Bref, merci Nicole, j'attends la suite, donc, c'est bien tu as réussi à me caler sur un texte à suites (ce qui est loin d'être évident)... à bientôt. |
aldenor
26/9/2009
a aimé ce texte
Bien
|
Un roman qui s’annonce divertissant. J’aime le regard critique, inquisiteur, de la narratrice.
Mais l’écriture me semble moins maîtrisée que dans tes nouvelles. C’est une impression d’ensemble. Voici des exemples : Je trouve inutile « Je regarde » ma copine Isa : « Ma copine Isa brandit… ». Il va de soi que la narratrice la regarde. Elle peut toujours… il me restera toujours… (Le deuxième toujours est superflu). La ponctuation est défaillante dans : « Cette dernière étant seule habilitée à monter l’aïoli, et à recevoir les compliments du reste des convives : nous œuvrions sans gloire... » « Comme à 40 ans… » Il faudrait une virgule apres « comme » ou bien supprimer celle après « ans » : j’ai mis du temps à comprendre la phrase. Nota pour les non-meridionaux peu après la remarque pour ceux nés autre part que dans le midi de la France, c’est répétitif. |
nico84
2/10/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Beaucoup d'humour et de dynamisme. Du naturel, de la spontaniéité, ce qui donne de la vie à travers les dialgoques toujours pontués de pensées décalées et humoristiques.
Un angle de vue et des interprétations trés fines, un décor bien planté, je trouve que ce premier épisode réussit à merveille sa fonction : planter le décor. On comprends l'écriture, le fond, la forme. Bravo pour ce beau moment de lecture. |
LeopoldPartisan
2/10/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
Pas vraiment ma tasse de thé, ce petit côté actuel série TV n'est vraiment pas ce que j'ai l'habitude de lire, ni ce qui me fascine dans l'existence. Au moins cela à le mérite d'exister et puis je conçois vraiment bien tout le travail et l'investissement personnel que cela nécessite. A suivre.
|
Myriam
4/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Très très agréable lecture, tout ce que j'aime!
Les portraits ironiques, l'ambiance vivante et agitée d'une réunion d'amis, et surtout, ce point de vue lucide, plein d'humour et vaguement désenchanté. Une narratrice comme je les apprécie! J'ai adoré: "Dieu existe et il m'aime"!! ...et "Le flot continu de sa conversation m’est un écran de fumée derrière lequel abriter discrètement mes silences." ... et aussi les réminiscences émouvantes, autour de cet objet si quotidien, le mortier à aïoli. Et le meilleur, c'est qu'il y a plein d'autres chapitres!!! J'y cours!!! |
Anonyme
5/10/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Bonjour NICOLE
En premier lieu, juste un détail : le mortier : inox, fonte, marbre (les meilleurs, les plus anciens) bois d'olivier aussi ; mais terre cuite, j'ai un doute. Ca casserait sous les coups du pilon et il y aurait aussi, le goût. J'ai un autre doute affreux : déjà monter une mayo avec un fouet à mains demande de l'endurance mais avec un pilon... Je demande à voir. Ces considérations dépassées et oubliées, j'aime. Le ton, évidemment, on sent le recul du narrateur, il préside bien loin au-dessus de la table, caméra sur l'épaule et réflexions douces amères en bandoulière. Très bon, très juste. J'aime vraiment. Je ne sais pas pourquoi (enfin, si je sais, mais ça me regarde...) la phrase sur l'acceptation de ses travers (difficulté à se rapprocher ou a nouer de longues relations amicales etc) passe mal. Je me dis que Brigitte est encore trop jeune pour accepter ce genre de travers et laisser filer. Je crois que même à 40 ans, on a envie de plaire et donc de croire que ses travers (quels qu'ils soient) on peut les changer, les adoucir ou les améliorer. Mais laisser glisser, je ne sais pas, ça me gêne un peu... Il me semble, mais évidemment ce n'est pas une certitude, que pour arriver à s'accepter et à se supporter telle que l'on est, il faut passer un autre cap. Enfin, je n'affirme rien, je m'interroge c'est tout, vu que cette phrase m'a interpellée. Quoi qu'il en soit, j'ai de nombreuses affinités avec l'héroïne et donc aucune difficulté à m'imaginer à sa place. Cette entrée en matière langoustinienne est délicieuse et donne envie de passer au plat suivant, mayonnaise en pot... ou pas. |
Ariumette
6/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
|
J’ai vraiment bien aime cette entrée en matière spontanée. On va direct dans les pensées de Brigitte. Des pensées pleines d’humour et de private jokes ! On découvre bien la Brigitte intérieure qui est bien plus rigolote et originale qu’elle ne l’est dans son apparence de gentille femme mariée à un beau parti ! (heu… j’ai lu le roman en entier avant de commenter mais je vais tenter de commenter chaque parties indépendamment).
Un bon premier chapitre donc qui donnerait complètement envie de lire le reste si on ne terminait pas sur un point final… Je dis ca mais j’ai du mal a voir comment vous auriez pu tourner ça autrement… Peut-être en appelant ce chapitre prologue… À part ça j’ai note 3 piccoli détails (ce n’est que mon humble avis)… Par 2 fois en parlant de la mayonnaise, vous interpellez le lecteur non méridional. Même si ça a le mérite de rendre plus vivant le récit, je trouve que ça dénote un peu trop la présence de l’auteur derrière le narrateur (ici Brigitte). Ainsi Brigitte en pensant/racontant son histoire (peut-être seulement a elle-même d’ailleurs) aurait-elle vraiment donne ses précisions qui lui paraissent naturelle puisqu’elle vient du midi ! « le mortier coincé entre les cuisses et le pilon à la main. - Petites, arrêtez de parler sans arrêt, vous me faites de l’air. » Ici je trouve que le point après main n’introduit pas très bien la notion de souvenir du dialogue suivant. Peut-être avec des points de suspension ou 2 points… « C’est seulement qu’à certains détails, je sais que ce sont les amis de Jean-Luc avant d’être les miens. » Ici je trouve la tournure de phrase maladroite avec la répétition des « que ». Voilà pour ce chapitre ! |
Garance
7/10/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Premier chapitre intéressant.
J'adore l'aïoli mais je ne trouve pas ce plat indigeste...sympa l'idée de l'aïoli pour accompagner la lecture...mais je consommerai avec modération chapitre par chapitre. La description des personnages est amenée de façon dynamique par Brigitte qui nous livre en même temps ses pensées. La phrase : "Pour ceux qui seraient nés autre part..." m'a gênée. Je pense qu'elle nous éloigne de l'histoire, des personnages, en nous ramenant trop directement à notre position de lecteur. J'ai particulièrement apprécié l'explication de l'attachement à l'objet (mortier/pilon) et j'ai compris pourquoi Brigitte ne voulait pas que sa soeur confectionne la mayonnaise - je m'embarquais dans des suppositions erronées. J'ai souri lorsque tu dis : "Pourvu qu'elle ne prenne pas de banane au dessert !" Voilà, je ne me suis pas ennuyée dans cette cuisine...et je reprendrai ma lecture dès que possible. |
Selenim
8/10/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
|
Oui, une entame rafraichissante, avec un style très actuel, très Gavaldesque.
Les personnages sont bien brossés, les dialogues sont légers, l'humour oscille entre le bon et l'oubliable. J'ai surtout apprécié les petites réflexions, qui sans être des trésors d'originalité sont d'une justesse idoine. Le rythme est bien gérer, surtout pour un début de roman. Je vais d'un clic poursuivre les aventures de Brigitte. Selenim |
calouet
9/10/2009
a aimé ce texte
Bien
|
Évidemment, c'est délicat de commenter après juste une partie lue, mais je tente le coup (waaooo quel courage!)... J'aime beaucoup le ton léger de l'ensemble, mais si on imagine déjà que le fond ne le sera sans doute pas, léger...
La première partie, mayo/aïoli, est de loin, à mon sens, plus convaincante que la seconde, où j'ai remarqué deux trucs qui me chiffonnent un peu : Le flot continu de sa conversation m’est un écran de fumée derrière lequel abriter discrètement mes silences. le "m'est" suivi du "mes" est correct, mais lourd. J'aurais bien vu un possessif de moins dans cette phrase. elle s’est fait une nouvelle fois injecter du Botox dans les lèvres. Là c'est plus pour info, n'étant pas un pro de ce type de pratiques : je croyais que le bottox c'était pour ôter les rides, et que dans les lèvres, on bourrait plutôt au silicone?... Allez je m'arrête là pour cette première lecture, j'ai vraiment apprécié l'humour pince sans rire, ça démarre bien! |
Filipo
30/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
|
J'aime beaucoup cette entrée en matière, finesse de l'observation, justesse de ton, légèreté de l'écriture (très très agréable à lire). Un savant mélange de réflexions personnelle et de vacheries douces-amères sur la vie, ses travers, ses bonheurs...
|
Anonyme
9/11/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
|
C'est vif, c'est drôle, il y a de bons moments de vie...
Je vais derechef lire la suite, en espérant qu'elle tiendra promesse. Un petit défaut: les paroles sont parfois trop mélangées, on se perd un peu... |
monlokiana
14/9/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Bien aimé le début de ce roman. L'écriture est fluide, j'ai adoré la partie où la narratrice ne veut pas que Isa fasse la mayonnaise de peur qu'elle réussisse. Les femmes alors!
Belle entrée en matière, beau début. ça donne envie de lire la suite. Les personnages sont bien présentés, bien peints. Je cours lire la suite... |
Palimpseste
15/9/2011
|
J'aime beaucoup !
Quelques petits chipotages : - "Dieu existe et Il m'aime" (avec majuscule à "Il") - le pilon pour la mayo, ça me laisse dubitatif. Je crois qu'on utilise le bol pour mettre l'ail en purée, mais pas pour monter la mayo (en tout cas pas avec le pilon). - Les notes au lecteur non-méridional, qui pourraient être insérées dans le texte d'une façon plus fluide et moins "interpellatives". Je lirai la suite dès que livrée :-) |
pierre
30/6/2012
|
Commentaire modéré
|
carbona
6/8/2015
a aimé ce texte
Bien
|
Une bonne impression pour ce premier chapitre.
Une écriture agréable. Des personnages et des liens qui se dessinent. Un démarrage un peu longuet sur la mayonnaise puis vient la présentation d'autres personnages dont Sandra qui m'émoustillent davantage. Je n'aime pas : les adresses au lecteur "Pour ceux qui seraient nés autre part que dans le midi de la France...", ça me sort du texte et "(Petit nota à l’usage des non-Méridionaux..." J'ai souri : "faire sortir les femmes qui ont leurs règles pour réussir la mayonnaise" "Son mari est chirurgien esthétique, comme le mien, sauf que lui il pourrait utiliser son épouse comme enseigne lumineuse pour son florissant cabinet. " J'ai ri : "Je chasse à regret l’idée perfide de lui réclamer du chorizo : qui sait, il partirait sûrement en Espagne sur le champ." |
cherbiacuespe
16/4/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Un petit tacle aux méridionaux qui pensent et prétendre tout inventer : en Charentes, Limousin et Creuse, et même en Bretagne ou en Bourgogne, une femme qui a ses règle ne PEUT PAS préparer une mayonnaise. Oui, ça marche aussi ailleurs, ce n'est pas typique aux méridionaux. Voilà pour le seul truc qui m'a fatigué.
Le reste m'a beaucoup fait rire, surtout la fin et la synthétique Sandra. C'est bien écrit, virevoltant, nerveux. Pas le temps de s'ennuyer, chaque phase vaut son pesant de cacahuètes. Un bon premier chapitre qui incite à poursuivre. |