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Anonyme
11/2/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
J'ai suivi le cours de la rivière tranquillou en pensant reconnaître le titre de la chanson sans trop de mal et là, virage à 180 degrés, et si c'est vraiment la vedette à laquelle je pense - j'ai deux, voire trois titres en tête - alors c'est finement joué. Le texte : rien à redire, c'est du bon travail. Du très bon. Les descriptions sont parfaites, les personnages de même. Je ne vois pas quoi d'autre à ajouter : j'ai aimé. Bonne chance pour le concours. |
Coline-Dé
17/2/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Si vous acceptiez de vous charger de la catéchèse, je suis sûre que les ado se presseraient à l'église au lieu de rester coincés devant leur ordinateur !
Bravo, bravo, j'ai adoré ce texte, l'assurance avec laquelle il nous prend par la main pour nous emmener là où on n'aurait jamais pensé aller, tout en douceur et en détours trompeurs... L'idée est excellente, finement traitée, l'héroïne plus vraie que nature et finalement cette version me parait plus crédible que la version officielle ! Et la phrase de chute est parfaite !!! |
Anonyme
17/2/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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"Tous les garçons et les filles de mon âge na na na na na na na na naaaaa..."
J'avais reconnu assez vite mais j'étais pas sûre, c'est bien sûr à "quand je pense dans ma tête aux filles et aux garçons de mon âge qui se promènent ensemble dans les rues" que j'ai eu la certitude. Ah et puis, y a aussi la poupée (qui ferme les yeux) quand on la couche, mais c'est histoire de dire, non ? C'est pas la même chanson. "(...) il a disparu par la fenêtre en s'envolant dans la nuit" : "L'aigle noir" de Barbara ? La rivière qui se laisse couler, j'ai l'impression qu'il y a une allusion mais je ne l'ai pas reconnue. Une jolie revisite, amère avec quand même une douceur à la fin. Et les deux dernières phrases, dans le contexte, je les trouve très drôles ! |
costic
19/2/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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J’ai bien aimé me balader dans la tête de cette gamine mutine et un peu rebelle. Son langage plus proche de l’oral exprime parfaitement des états émotifs adolescent.
Si l’ensemble est un brin caricatural on se laisse tout de même embarquer dans l’histoire. L’allusion au personnage semble évidente mais elle est traitée d’une façon originale, pour le moins contemporaine, intéressante. |
fergas
15/3/2014
a aimé ce texte
Bien
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Belle histoire. Elle me rappelle en fait plusieurs chansons et contes, sans compter certains passages de la Bible... Mais en définitive je n'ai pu choisir.
Le petit miracle final nous remplit un peu la bourse à bonheur, et on se sent mieux après avoir lu, ce qui veut dire que c'est une réussite. Attention toutefois à vous relire soigneusement: à la place de "On habite tout en bas de celle qui monte la plus moche bicoque de toutes." vous pourriez dire "Tout en bas de celle qui monte, on habite la plus moche bicoque de toutes." Bravo |
Anonyme
15/3/2014
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Bonjour Acratopege
Pour le personnage, je parie sur la narratrice de la fameuse chanson de Françoise Hardy. "Tous les garçons et les filles de mon âge" D'ailleurs vous n'hésitez pas à la citer. Le coup de génie c'est de rejouer avec le personnage le coup de "l'immaculée conception" (y a pas de sang) avec dans le rôle de Joseph un charpentier gay afin que la gamine, qui a l'évidence s'appelle Marie, reste vierge jusqu'à la fin de ses jours. Votre nouvelle respecte donc à la lettre les directives du concours. Mettre un personnage de chanson dans une situation inédite. Merci pour cette lecture sympa, fort bien torchée et qui ne manque pas d'originalité. Que demande le peuple ? Bravo Acratopege |
Bidis
15/3/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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J’ai adoré tout du long jusqu’à… Ce que j’aurais aimé, c’est que la gamine, elle soit revenue bourrée d’une fête de village et puis qu’elle rêve de l’ange blond si ça peut la consoler d'une expérience qu'elle n'a pas vu passer. J’ai eu beau me repasser en boucle le « Mais Madame, j’vous jure » de « La vie n’est pas un long fleuve tranquille » et donné une autre chute à ma lecture, ça n’a pas suffit. J’avais trop aimé ce texte, fallait pas qu’on trahisse comme ça cette petite héroïne que j’avais adoptée. Non mais !
Je mets un « bien » mais c’est à contre cœur. Alors qu’aux trois quart du texte j’en étais encore à un « très bien + » ou même davantage. Car l'écriture est formidable. Et ça se lit avec plaisir. Mais... Je sens que je vais être toute seule de mon avis, mais tant pis, je l'assume. Allons, j'ajoute un "+" pour l'écriture, c'était trop bien... |
Anonyme
15/3/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bienvenue dans la tête d'une adolescente de quinze ans !
J'adore cette façon d'écrire. Du début à la fin, j'ai aimé la lire. Au plaisir :) |
senglar
15/3/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Acratopège,
Curieuse idée que de marier Françoise Hardy et le mystère de l'Immaculée Conception et de faire du vieux Joseph une icône de la jeunesse gay. L'est venu mettre son petit Jésus dans la boîte à ouvrage le Saint Esprit ! A cette jeune demoiselle (à la beauté de laquelle vous ne rendez pas justice malgré la peinture et la statuaire soit dit en passant) de lui rendre la monnaie du juke box à l'occasion de ses prières près du tronc à l'église. Très précis en ce qui concerne ma chanson préférée récemment citée dans le topic de Pascal21 cependant vous prenez beaucoup de libertés avec le Nouveau Testament, mais comme l'Un comme l'autre nous demandez de prendre des vessies pour des lanternes on vous pardonnera. J'ai passé un excellent moment ! Alleluia :))) brabant |
pieralun
16/3/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour Acratopege,
Je commente rarement les nouvelles ( manque de temps ) mais le concours.... J'ai passé un bon moment en me laissant embarquer sans problème dans votre petite histoire. Je ne reviendrai pas sur la référence que vous avez choisie déjà relevée par l'ensemble des commentateurs. L'écriture spontanée, comme parlerait une ado, est réussie puisque elle nous prend dans l'histoire. J'émettrais une seule critique si vous me le permettez: je trouve le constat de l'enfant sur sa propre situation trop caricatural, trop négatif sans cesse. Le récit aurait gagné en crédibilité, en émotion, peut être en poésie également, si l'on avait senti chez l'enfant une forme de pudeur à décrire son dénuement affectif. Pour le reste, la chute à partir de l'arrivée de l'ange est excellente ( bonne idée vraiment) et bien traitée jusqu'à l'interrogation sur le prénom en fonction du sexe, et l'absence de réponse sur le sexe du garçon . |
Pepito
16/3/2014
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Bonjour Acratopège,
Forme : je vous soupçonne d'avoir "tusté" le langage sur votre entourage immédiat, cela fait très "vrai". Fond : l'anniversaire fait par les parents, pour avoir assisté au même en tant qu'invité parental, je confirme, c'est d'une tristesse à pleurer. Pour l'autocritique d'une gamine de 15 ans, j'ai beaucoup plus de doute ;=) L'arrivée de l'ange blond et sa prédiction d'avenir m'ont bien fait sourire. De bonnes trouvailles comme le charpentier gay et le prénom similaire pour vivre par procuration. Bien que là, se soit bien moins drôle... Merci pour cette délicieuse lecture. Pepito Edit : que je suis naze, en lisant Brabant je viens de m'apercevoir que j'ai raté l'immaculée conception. Toutes mes excuses, çà en devient meilleur encore ;=))) |
dowvid
17/3/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai bien aimé. Bien bâti, un langage que j'aime, bien écrit, vivant. Moi j'ai pensé plutôt à Bécaud à cause du titre et de la veste de cuir de mec.
Un heureux mélange ? Et pis la fin rigolote, avec l'archange qui prend son pied au détriment du pauvre Joseph qui devra assumer une paternité sans les plaisirs de la chose. Joyeux. Un gay ? Pourquoi pas ? Mais alors, la Marie, elle s'est dévergondée où pour faire les frères et soeurs du ti-jésus ? |
Ninjavert
6/4/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Ma première lecture du concours, et je dois reconnaître que ça commence plutôt bien !
J'ai énormément apprécié le ton employé par la petite Marie dont tu parles. A mes yeux c'était un élément essentiel dans la mesure où une énorme partie de l'affect qu'on développe pour elle passe par là (bien plus que par ses misères de petite Cosette qui ne m'ont pas vraiment tiré les larmes). Mais c'est également ce ton qui donne à l'histoire ce vernis sympathique, attendrissant, et qui permet à cette histoire qui n'a rien de drôle de faire sourire et se sentir bien. Un gros plus au ton employé donc. Sur la crédibilité du personnage (Marie), j'émet une réserve comme l'a fait Pepito. Elle est bien mignonne, notre rebelle déscolarisée-rebelle-mais-pas-trop, un peu trop peut être. C'est vrai quoi, c'est au final une petite glandeuse qui passe son temps à zoner en écoutant son walkman (à l'époque du Christ, c'était forcément un walkman, pas un lecteur MP3) et fumant des clopes au lieu de chercher du boulot, mais jamais on ne se surprend à lui faire le moindre reproche. Un joli tour de force, à croire que comme l'Ange qui va lui rendre visite, on est déjà sous le charme. Et effectivement, sa lucidité et son recul sur la situation sont assez peu plausibles. Personnage moyennement crédible à mes yeux donc, mais tellement attachant qu'on s'en fout complètement. La fin est très originale, mais comme Bidis elle me laisse un arrière goût de "trop loin du reste" pour me séduire totalement. J'étais bien à zoner dans les rues de troud'plouc-les-oies avec la petite Marie, dans ce quotidien misérable mais réaliste et concret. L'intervention du tout puissant et de ses sbires -si loin de Bethlehem- m'a fait trébucher et finir la nouvelle dans le fossé. Rien de grave, elle colle globalement bien à l'ensemble et comme les autres, j'ai aimé le charpentier gay (le chômeur introduit plus haut par son père, si je puis dire), c'était mignon, tendre, et plein d'humour, mais... ... mais je ne sais pas. Trop inattendu, peut être. Défaut pour le coup tout à fait subjectif. L'écriture est délicieuse, simple et parfaitement adaptée au récit. Je me suis senti comme Marie, une rivière qui se laissait couler d'un bout à l'autre du récit tellement c'était facile et rafraîchissant. Bon y a une ou deux phrases qui m'ont parues moins judicieuses (le "croix de bois croix de fer", par exemple. Il n'a rien fait de mal, le pauvre, mais je l'ai trouvé trop archétypal (si si) pour vraiment coller. Marie aurait eu 9 ans, pourquoi pas. A 15, j'y crois moins. Concernant le concours, ma foi, ça me va. Comme Fergas j'ai eu un moment d'hésitation entre plusieurs chansons (je te soupçonne d'ailleurs d'avoir fait exprès de laisser traîner plein de fausses pistes, salopard) mais c'est bien sur la lancinante balade de la petite Françoise que mon avis s'est arrêté. (A tort ou à raison, mais c'est mon choix et je l'assume). La situation est pour le moins inédite, et j'ai pris un vrai plaisir à lire cette histoire. Je valide donc doublement et te souhaite bonne chance :) Encore merci pour la promenade ! Ninj' |
Anonyme
19/3/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un peu Cosette la Marie, mais un langage d'ado qui lui colle comme un gant à la peau.
L'aventure m'a embarquée dès la première ligne : "avoir quinze ans, je peux vous dire que c'est tout sauf drôle.", pour cette vérité dont on ne guérit jamais tout à fait. La chute finale est marrante. Je ne m'y attendais pas du tout, même si je subodorais une possible histoire avec le charpentier-chômeur prévu par le père. Finalement je me suis laissée conquérir par l'ange blond tombé du ciel,qui, en plus du "joli colis" va certainement laisser à la pauvre Marie des regrets éternels (ben, oui, elle l'air tellement agréablement surprise de cette "première" fois, qu'elle va redemander les mêmes le restant de ses jours, non ? :-). Ce ne sera pas le pauvre Joseph, charpentier gay de son état qui pourra, heu... qui pourra... voyez bien ce que je veux dire, non ? Un bon moment passé à vous lire. Merci Cat |
boutros
25/3/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je me suis plongé avec délice dans ce portrait en "je" qui glisse peu à peu vers le merveilleux. Cela ressemble aux débuts d'une vaste épopée: que va-t-il se passer une fois l'enfant né et que la jeune fille, après examen des docteurs les plus fiables, s'avère aussi vierge que la Madone?
Une histoire aux horizons infinis! |
aldenor
28/3/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un portrait très cohérent. Fouillé, psychologiquement. Riche en observations. Le ton morne est uniforme, bien maintenu.
Jusqu’au tournant sur lequel je tique un peu : « Alors tout ce que j'ai dit c'est plus vraiment vrai. ». Mais oui, justement ! Non seulement ce que j’ai dit, mais comment je l’ai dit. Quelqu’un qui prend la plume pour nous annoncer sa béatitude, n’a pas ce ton-là. Après ça, la fin allégorique est étonnante et forte, mais il me reste un gout de chiqué. |
Robot
7/4/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai adoré la fin en pastiche de l'histoire sainte mais sans avoir reconnu la célèbre chanson qui vous a inspiré. Pourtant, que de souvenir de soirée avec les garçons et les filles de mon âge - à l'époque -. J'ai apprécié l'écriture fluide et l'humour instillé peu à peu dans ce récit développé avec une sorte de délicatesse qui m'a tenu jusqu'au bout. Et quel beau final...
J'ai adoré cette phrase aussi : Y a que deux rues dans le village, une à plat et une qui monte. On habite tout en bas de celle qui monte. On visualise ce village en quelques mots. |
Anonyme
13/4/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai beaucoup aimé ce country blues qui s'épanouit sur une maculée conception pleine d'humour. Cela vous a un petit côté "Conte du chat perché" du 21 éme avec "devinez qui ?" dans le rôle du loup. Les références cachés aux hits des années soixante sont judicieusement distillées. Une lecture plus que distrayante, complice et maligne qui devrait contribuer à faire les belle pages d'une certaine revue...
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