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Anonyme
6/12/2014
a aimé ce texte
Bien ↓
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Ah, ben c'est bien mignon cette histoire, je trouve ! Comme quoi se torcher comme un malpropre et vandaliser un magasin, finalement, se révèle une bonne stratégie de vie...
Bon, le texte m'a fait sourire, c'est déjà ça. Je le trouve sympathique, léger, plutôt superficiel mais enfin c'est l'idée. J'ai bien aimé ma lecture, même si je trouve le narrateur assez archétypal dans le genre "sympa paumé". |
Bidis
11/12/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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L’écriture est agréable et le texte se lit sans ennui. Mais…
Je trouve l’histoire tirée par les cheveux. C’est dommage parce qu’il y avait de l’idée et même, je trouve la trouvaille du mannequin excellente. Mais, à mon avis, il eût été beaucoup plus juste, plus naturel et, par là, plus « lisible », que le personnage bourré trouve le mannequin un peu cassé dans la poubelle d’un magasin à l’enseigne de « Mademoiselle Lili », avec comme seul vêtement le soutien gorge hyper sexy mais souillé et un peu déchiré. La virée en cette étrange compagnie était suffisamment déjantée pour embarquer le lecteur dans un délire jubilatoire avec peut-être un passage plus long dans le bistrot avec d’autres soûlards et le mannequin au milieu. Par la suite, dessoûlé, le personnage repasserait devant la boutique et remarquerait la vendeuse pour une chute romanesque qui plaît toujours… Si, en plus, l’écriture avait été un chouia plus percutante, l’on aurait eu du coup, je crois, une nouvelle de très, très haut niveau. |
Asrya
4/11/2017
a aimé ce texte
Bien ↓
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Une nouvelle qui mêle histoire de vie, sentiments et humour ; plaisant.
Le thème est respecté, le soutien-gorge de Mademoiselle Lili est presque un personnage à lui seul, il est l'objet de ce texte ; à la fois évasion, à la fois rédemption. Une aventure plutôt saugrenue dont je ne m'étais jamais imaginé la possibilité. Pourtant, ce doit arriver. C'est bien traité, l'alcool, l'aliénation, la passion ; une suite "logique" qui dessine les méandres de la vie d'un homme. Sympa. J'ai particulièrement apprécié deux petites phrases : "mais il est des heures où tout arrive sans que les autres ne se posent de question" --> une image sympathique que j'ai trouvé d'une incroyable sincérité. "Demandez à Marie, la mère de Jésus, elle vous expliquera" --> celle-ci m'a bien fait rigolé. La chute est charmante, un peu de romantisme derrière cet acte fou ; l'heure des anges (douce sensibilité). Un peu de romantisme, mais aussi un peu de "lubricité". Que demandez de plus ? Peut-être que la fin est un peu "grosse", que l'acceptation de l'invitation à dîner est un peu précipité ; certains croient aux coups de foudre (pourquoi pas). J'ai passé un très bon moment à vous lire, vous et cette aventure sentimentale singulière, J'aurais plaisir à la relire à nouveau, Merci pour cette lecture, A bientôt. |
in-flight
12/1/2015
a aimé ce texte
Bien ↓
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J'ai tout de suite pensé à une nouvelle de Bukowski dans le recueil "au sud de nulle part"
Je trouve la fin un peu "rapide", j'aurais bien vu le délire avec le mannequin se poursuivre dans des situations rocambolesques. Je stoppe mon pénible périple pour m’allumer une trentième cigarette. J’ai du mal à l’allumer--> petite répétition, volontaire peut-être pour illustre l'ivresse du narrateur. Je m’approche d’une vitrine afin d’éviter un vent qui n’existe pas et surtout me cacher des passants qui se réduisent à des amoureux pressés de rentrer pour conclure et des clodos pressés pour ne pas crever.--> Je comprends l'idée que vous souhaitez nous faire passer mais la phrase semble un peu bancale. mange deux œufs au plats --> Des œufs après une murge, y'en a qui ont un foie de compèt'... EDIT: La nouvelle de Bukowki, c'est "L'amour pour $ 17,50 (Love for $17.50)". |
Robot
12/1/2015
a aimé ce texte
Bien
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Un texte sympathique. L'histoire de l'ivrogne qui pète les plombs est crédible mais la fin trop simpliste ne l'est pas. Une histoire amusante avec un grain de folie à laquelle il manque un achèvement en apothéose.
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Automnale
12/1/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour, Agueev ! Puisque votre texte est, dans le cadre du concours, le premier publié, c'était, me semble-t-il, encore plus intéressant de le découvrir. Je viens de le lire deux fois, et ne me suis pas du tout ennuyée... J'ai pensé, en souriant, que l'auteur était expert pour décrire les méfaits - ou agréments - de l'ivresse ! La description du soutien-gorge est plus brève ! J'ai aimé les deux images : celle des amoureux pressés de rentrer pour conclure, et celle des clodos pressés pour ne pas crever... L'appellation du "Passage de la Main-d'Or" m'a amusée et fait réfléchir ! J'ai moins apprécié l'évocation de "Marie, la mère de Jésus"... De même, les mots "torché" et "nichons" m'ont fait, à tort ou à raison, un peu sursauter... Pour ce qui concerne le jet de télévision, il s'agit plutôt du jet d'un "téléviseur" (c'est un petit détail). Et j'ai aimé la chute ! Je me demande même si le narrateur avouera un jour - peut-être lors de confidences sur l'oreiller ! -, à Mademoiselle Lili, la vérité...
J'ai l'impression que le plaisir que vous avez à écrire, ainsi que votre imagination, Agueev, sont communicatifs, ce qui fait que le lecteur passe, en vous lisant, un moment agréable. Merci. Automnale |
Acratopege
12/1/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bien rafraîchissant, votre petit conte de Noël à l'envers pour adultes. Le rythme endiablé du début m'a fait tout de suite penser à un scénario de film burlesque du temps du cinéma muet. Charlot, peut-être pas, mais enfin... Ensuite, ça se calme peut-être un peu trop. On se retrouve dans un récit plus classique, mais léger et bien écrit. La chute est adorablement romantique. J'ai particulièrement aimé le menu du petit-déjeuner: les œufs au plat ont-ils été choisis au hasard?
En bref, un agréable moment tout en sourire, et pan dans cible du concours. Merci. Une question quand même: cette "heure des anges", vus avez inventé l'expression? Rien trouvé sur la Toile à part un film sur padre Pio...! |
molitec
13/1/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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De la première partie du texte, se dégage une image claire de l’état dans lequel se trouvait le personnage principal, on comprend qu’il était ivre, que ça commençait à devenir une habitude ennuyante, et qu’il y’avait de la frustration, venant des conquêtes virtuelles et de la vacuité de ses soirées ; s’était suffisant pour que j’adhère à son délire qui va s’ensuivre, malgré son imprévisibilité et improbabilité.
J’ai apprécié également la description du personnage, de ses mouvements, de son parcours dans la rue. La phrase « L’ivresse m’éclaire comme une fusée de détresse » appuie joliment l’impression générale ressentie au début je trouve. Son geste impulsif et soudain, avait traduit ses frustrations antérieures en quelque chose de concret. Il y’en a de l’humour dans le texte, avec des phrases et des passages drôles, comme celui incitant à imaginer le personnage courir la nuit avec un mannequin sous le bras, puis tourner dans un passage qu’il connaissait, pour fuir, avec un air peu être sérieux et inquiet, s’était drôle. J’ai apprécié aussi la fin ; après avoir trouvé le soutien-gorge de Lilli durant cette nuit mémorable, il retrouvera enfin Lilly, le lendemain, en chair et en os. Merci pour cette belle lecture, au plaisir de vous relire. |
pieralun
13/1/2015
a aimé ce texte
Bien
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Une histoire qui ne surprend pas, mais une bonne écriture.
Aucune lassitude dans la lecture . Un très bon rendu de l'atmosphère glaciale, de la vision après une grosse consommation d'alcool. L'idée du mannequin est assez originale, et le soutien gorge flotte un peu à coté de cette histoire; cela n'a pas d'importance. Je ne suis pas un commentateur habituel de nouvelles, mais une lecture sympa. |
Lulu
13/1/2015
a aimé ce texte
Bien
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Je ne suis pas fan du style (je pense au registre familier), mais je le trouve bien adapté au narrateur qui a trop bu. D'ordinaire, je n'aime guère la narration au présent, mais là, je la trouve aussi bien adaptée au récit.
J'ai bien aimé le récit dans son ensemble, mais je suis un peu surprise par le fait que mademoiselle Lili accepte l'invitation de l'inconnu... C'est assez peu crédible. Ils se sont à peine dit bonjour... J'aime beaucoup le titre. Bonne continuation. |
Perle-Hingaud
14/1/2015
a aimé ce texte
Bien
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Premier texte lu, bonne pioche ! J’aime bien le rythme nerveux, la narration sur un mode détaché / humoristique de ce pied nickelé amoureux d’une fille en plastique… mais qui préferera la vraie, moins sculpurale peut-être, mais l’humain, on aura beau râler, y a que ça de vrai !
Le deuxième paragraphe m’a rappelé « Paris by night » de Benabar, du coup, hop, j’ai le sourire. Le passage dans le café avec le mannequin sous le bras est drôle ! J’aurais préféré que le patron soit à jeun, histoire d’appuyer l’aspect décalé du texte. Le soutien-gorge comme protège-oreilles… va falloir m’expliquer. Votre narrateur a vraiment une toute toute petite tête ! (ou alors... un soutien-gorge qui se dégrafe devant ? comment ça, je chipote ? ^^) « En un flash la soirée de la veille défile comme un mauvais film » : j’enlèverais «comme un mauvais film », inutile. « mange deux œufs au plat avec des toasts » : par contre, ça, c’est bien, ça donne de la véracité au narrateur. En conclusion, un texte bien sympathique, merci ! |
Anonyme
15/1/2015
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Salut Agueev
En sélection, je me suis régalé de cette bluette au second degré, cool, imaginative et... bibinatoire. Je viens d'en reprendre une soupière Outre l'histoire, j'apprécie vivement le style du narrateur. |
Neojamin
15/1/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
L'histoire est bien écrite, absurde à souhait tout en gardant un semblant de réalisme. On pourrait y croire... J'ai bien aimé cette allégorie de la recherche d'une femme parfaite...et j'ai donc été déçu... Ça se termine trop bien pour moi et j'aurais de loin préféré que Mme Lili n'existe pas, que le héros s'accable dans son chez lui et s'invente une vie avec cette poupée, la surnommant Lili, l'aimant de tout son être...Mais bon, c'est une question de point de vue! J'ai trouvé que la fin manquait d'états d'âme alors que c'était ce que je préférais dans la première partie. J'ai beaucoup aimé le titre, le ton général de la nouvelle et cette phrase : "C’est là que je vois face à moi, au bout du canapé le mannequin, les nichons à l’air, les bas tombés sur les chevilles, elle est grotesque, indécente, comme un reflet de moi-même." Bonne chance! |
aldenor
16/1/2015
a aimé ce texte
Bien
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L’état d’ivresse, la scène devant la vitrine, le coup de foudre avec le mannequin, le coup de folie de la télé, toute cette première partie m’a beaucoup plu. Surréaliste.
Ensuite dans le bistro, le mannequin qui passe inaperçu dans l’ivresse générale, le soutien protège-oreille, c’est drôle, bien pensé. Mais la fin, triomphante, me déçoit. Vous sortez le héros de son état d’ébriété et de son embarras subséquent. Du coup vous perdez le moteur du rire. L’écriture est efficace. Quelques remarques : « Une jolie mannequin » : mannequin est masculin. Pas de raison d’abréger « 5 min » pour cinq minutes. « ...elle porte un soutien-gorge incroyablement sexy. Je ne saurais dire pourquoi... » : Tel quel, ça signifierait : je ne sais pourquoi elle le porte et non je ne sais pourquoi il me parait sexy, qui est probablement votre intention. « Un éclair traverse mon esprit, ce n’est pas l’heure des génies… ». Il me semble manquer une transition. « Demandez à Marie, la mère de Jésus, elle vous expliquera. », pas compris le gag. |
Coline-Dé
18/1/2015
a aimé ce texte
Bien
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C'est léger, drôle, bien campé, les descriptions d'après murge criantes de vérité, et le petit côté surréaliste me plaît beaucoup.
Bien sûr, il y a quelques broutilles pas très crédibles, mais dans le mouvement du texte, on ne fait pas la fine bouche ! ( le coup du protège-oreilles, j'adore !) Dommage que le soutif soit rouge et noir, ça fait tout de suite Pigalle et ça détruit un peu la poésie de ce coup de folie, je trouve... |
VinceB
22/1/2015
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Agueev,
J'avoue avoir eu un peu de mal à rentrer dans l'histoire. Un style trop sage au regard de l'état du narrateur et quelques tournures m'ont freinés au début, - "me permettent d'appréhender sereinement les piqûres du gel qui attaquent mes extrémités" => long, lourd et improbable réflexion dans un cerveau imbibé, je suggère plus lapidaire et éthylique dans le genre "Euh...même pas froid, moi !" - "et prévois de rentrer tôt", est-ce bien sûr que c'est le genre de la maison ? - "histoire de ne pas laisser une trop mauvaise image", là aussi, il paraît très improbable que cela soit sa préoccupation dans l'état qu'il prétend être en fin de soirée... je pense qu'il y avait là plutôt l'occasion d'illustrer sa perte de contrôle plutôt que l'inverse. - "les taxis ne s'arrêtent pas en constatant ma démarche hésitante", trop sage et alourdi par "en constatant", c'est le moment d'y aller sans hésiter "je fais de grands signes mais les taxis veulent pas s'arrêter...!" Une syntaxe dégradée par l'alcool serait cohérente. Puis le rythme enlevé du récit et l'humour de la situation font leur effet et j'ai pris plaisir jusqu'à la fin du texte. La fin un peu téléphonée, manque de vraisemblance car trop courte. Le thème du concours est exploité en filigrane mais est bien là. Merci pour ce texte drôle et léger. |
Anonyme
23/1/2015
a aimé ce texte
Bien
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Vraiment sympa cette histoire. En premier lieu j'ai apprécié une écriture propre qui ne s'encombre pas de fioritures, agréable à parcourir. Le scénario est quant à lui réellement amusant et le thème du concours logiquement placé. Un soutien-gorge sur un manequin, ça coule de source. La fin vire un peu à la bluette mais rien de choquant au vu du ton général.
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Janam
30/1/2015
a aimé ce texte
Un peu
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J'ai beaucoup aimé l'idée du mannequin, mais je trouve l'ensemble un peu décousu. Ce night trip hésite à rester dans un style "vulgaire" (m'enfiler, bourré, torché, nichons), puis penche à un moment vers le burlesque (son soutif pour m'en faire un protège oreilles). Loin de moi l'idée de bouder ces genres, mais j'aurais préféré un engagement plus franc d'un côté ou d'un autre, et ce manque de constance m'est apparu – c'est personnel bien sûr – comme un manque d'unité.
J'ai aussi regretté quelques imperfections ou maladresses : des répétitions de mots pas nécessaires comme "allumer" ou "pressés, mais peut-être est-ce volontaire ; des "il y a" ou "il y ait" qui auraient pu être évités ; une expression toute faite et quand même bien usée jusqu'à la corde : "Il est complètement à l'ouest" ; d'autres que j'ai mal comprises dans le contexte comme "chaque éclat de lumière s'agrandit façon loupes" ou "il y a quelques degrés d'écart". Enfin, j'aurais plutôt parlé de conquêtes potentielles que virtuelles et j'aurais écrit "un" mannequin. J'ai trouvé la fin plus laborieuse et moins captivante que le début, comme si l'on cherchait sans succès une issue à cette histoire qui avait pourtant bien commencé. |
Anonyme
28/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Tout d'abord, bonjour ! J'ai beaucoup aimé votre nouvelle, légère, assez comique dans le genre "mec bourré qui fait n'importe quoi". C'est assez déjantée, il n'y a aucun doute, mais j'ai bien aimé. Durant quelques minutes j'étais avec le personnage, aussi folle que lui. C'était plaisant ! Enfin bref, j'ai apprécié de lire ce texte, la chute est mal, on ne s'attends pas forcément à ce que l'homme qui a passé la nuit avec un mannequin rencontre finalement la vraie mademoiselle Lili.
Donc voilà, bonne continuation ! |
carbona
11/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Agueev,
J'ai beaucoup aimé votre texte, qui m'a donné pas mal de sourires. Mais quelle nuit de folie, ils sont tous bourrés ma parole ! J'adore vraiment tout le déroulement : la soirée avec les potes au bar, le coup de folie de casser la vitrine, embarquer Lily dans un autre bar (extra !), j'imagine la scène, c'est très drôle et les autres qui la prennent pour une salope, non mais !, le retour à la maison. Je suis moins emballée par la fin, je crois que l'histoire me suffisait en s'arrêtant là. J'ai trouvé en trop le "coup de foudre" avec la vendeuse. J'aime beaucoup votre écriture, très fluide, un rythme vif et rapide, un registre de langue bien dosé. Un style qui me plaît beaucoup. conquêtes virtuelles < l'emploi de virtuelles ne me paraît pas erroné mais ne m'a pas semblé le plus approprié (je suis habituée à le voir associé à des relations à distances, or là les filles sont quand-même présentes) Une enseigne rose, genre écriture à la main, limite infantile < pareil, infantile ne me semble pas le plus approprié, il m'a fait tiquer Merci beaucoup pour ce texte ! |