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Anonyme
24/4/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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Vraiment amusant ! J'ai apprécié cette balade douce-amère, mêlant le trivial, le poétique, l'auto-dérision.
Ceci, en revanche, cette démonstration : "- Oh, ce n’est qu’un trucage, (...) la suite des événements." alourdit inutilement le propos à mon avis. Je ne pense pas qu'il y ait besoin d'une mise en abyme supplémentaire. |
placebo
14/5/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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huhu c'est pas mal.
J'aime bien l'écriture (en même temps, ou bien elle me rappelle la mienne, ou toutes se ressemblent sur oniris), avec un mélange de douceur, de cynisme et d'optimisme :) La fin fait penser à une pièce de théâtre quand, on ne sait parfois pour quelle raison, tout le monde se retrouve dans l'avant-dernière scène. Ici, le lien est le narrateur, alors la philo, le carnet, la mort ont rendez-vous. J'aime bien, définitivement, les fleurs, l'introduction avec la critique cinématographique, les palindromes qui ont un sens, le fait qu'il cède à la folie extatique de cueillette des fleurs après ce sentiment de saccage… Définitivement, j'aurais pu l'écrire, mais je pense que j'aurais moins bien réussi (sur la forme, qui est super, et sur la cohérence du fond malgré la diversité d'idées) En fait, ça me fait penser à une sorte de rêve, peut-être semblable à certains films comme Matrix : le monde se crée, s'alimente, se justifie de lui-même (j'avais loupé le premier passage sur le carnet caché dans le corsage). Et j'aime beaucoup. Du coup je mets la note que je me donne habituellement en légèrement améliorée :) *auto-ironise…* ^^ Bonne continuation. placebo ah oui, écrire tout ça sur un carnet 8*12… il a du le finir avec ce seul événement ^^ ah non, ça pourrait tenir sur une quinzaine de recto-veso en fait… j'ai rien dit :p |
Maëlle
9/5/2011
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Divagation amusante et agréable à lire. On ne sait pas trop où ça va ni comment on en arrive là, mais les images sont bien rendue et certaines amusantes.
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toc-art
14/5/2011
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Commentaire modéré
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chronicroqueuse
14/5/2011
a aimé ce texte
Un peu
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D'errances en divagations, le lecteur ne sait pas trop où le conduit ce texte...et en perd le fil. Une écriture qui mériterait d'être resserrée.
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Charivari
14/5/2011
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Désolé, je n'ai pas trop accroché. Je trouve cela plutôt bien écrit, mais j'ai l'impression que ça passe du coq à l'âne, sur des questions triviales et sans grand intérêt. Du coup, ça a beau être court, je me suis ennuyé. Ce qui pourrait être de l'humour, c'est juste du désuet, ce qui pourrait devenir profond reste superficiel. Tant pis, d'autres apprécieront.
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toc-art
14/5/2011
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Bonjour aldenor,
je ne suis pas allé au bout de ma lecture et j'en suis désolé, mais j'ai été arrêté par cette phrase : "Forcément d’ailleurs, puisque si elle ne m’aurait pas échappé et serait arrivée intacte jusqu'à mon bureau, elle aurait été fausse." L'erreur est manifeste (l'emploi incorrect du conditionnel passé au lieu du plus-que-parfait après "si") et pour moi rédhibitoire, au risque de passer pour un psychorigide des règles du français. On est quand même sur un site à vocation littéraire et l'amateurisme n'autorise pas, selon moi, des erreurs aussi grossières. L'écriture, ce n'est pas seulement une idée ou une imagination, c'est aussi une langue au service de cette inventivité. Là, je trouve que cette incorrection (qui s'entend à l'oreille. J'aurais été plus indulgent pour une mauvaise concordance des temps moins visible et audible, si je puis dire) décrédibilise votre propos. En tout cas, elle a stoppé net mon envie de poursuivre ma lecture et m'a empêché de savourer un texte qui, je vous en fais volontiers le crédit, a sans doute bien d'autres qualités. bonne continuation. |
widjet
14/5/2011
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Je dois avouer que les derniers textes d'aldenor, bah, me laissent un peu perplexe.
Toujours cet esprit créatif qui divague et erre dans des réflexions existentielles et originales, cette volonté affirmée et unique de voir et d'analyser les choses dans un angle inédit, décalé à la manière d'un solidane. Mais là, c'est un peu trop chaotique dans le traitement, trop disparate et (en tout cas c'est la sensation que j'ai) délibérément et - pour moi - excessivement personnel. La grande différence que je perçois est qu'avant, j'avais l'impression que cette douce folie était (d'un point de vue maîtrise littéraire) plus canalisée, plus construite (j'allais dire plus "réfléchie").... et partagée. Malgré les idées farfelues, les passages loufoques, le lecteur que je suis arrivait a suivre et mieux que ça, je me sentais accueilli et invité à participer à ce délire. Et du point de vue de la forme, c'était abouti, rigoureux. Mais depuis les dernières parutions et dans ce texte là encore, les divagations me semblent moins maitrisées, les ruptures de ton sont plus fréquentes et surtout plus brutales (dans "Market Tekram" on passe des fleurs aux olives puis d'un calepin et d'une mort annoncée et ça fait comme des "blocs" totalement décorrelés les uns des autres sans la "glue" qui les maintient). Toutes ces "cessions" me semblent mal accompagnées, il leur manque une transition (même légère), un "liant" (qui peut-être discret voire subtil, mais qui doit être là quand même, je pense) afin de chasser cette désagréable sensation de lire plusieurs textes (trop) différents. Ce nouveau procédé adopté par l'auteur me désarçonne et ma lecture s'en trouve un peu trop dispersée et au final, je ne sais pas vraiment qualifier le texte parcouru. Mais peut-être est cela qu'on appelle un texte inclassable ? Sans doute (surement) que cela est volontaire, même souhaité par l'auteur désireux de s'orienter vers quelque chose qui ne flirte pas encore avec le surréalisme, mais devient de plus en plus abstrait. Une nouvelle direction que je respecte, mais qui personnellement ne me correspond pas (en tout cas pas dans ce traitement). J'ai trouvé l'écriture aussi moins rigoureuse (rendant les scènes finalement assez peu visuelles) mais une fois encore et peut-être que c'est ce que je regrette le plus a savoir cette impression (peut-être fausse mais c'est un ressenti) de "non-partage", l'auteur - en ne me facilitant pas la lecture - me boutant hors de son univers. Moi, je milite pour le retour de l'auteur de "La course d'autobus", "Dieux-pourritures", "729 et 271", "Le champion" et autres réussites ! W |
Lariviere
15/5/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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Il y avait longtemps que je n'avais pas lu de l'"Aldenor"...
Je suis content de ma lecture. Non seulement parce que je trouve l'écriture toujours aussi riche et maitrisée mais surtout parce que j'aime cette façon d'écrire qui laisse aller, divaguer les choses et les gens, sans qu'il y ait une véritable trame, une trame palpable, rigide, toujours trop caricaturale, superficielle et fausse... Ici, la narration et les faits sont tellement élastiques qu'ils en paraissent libres (à mon avis, il n'en est rien) et vides de sens : tout se ressemblent et tout se rejoints. Tout prend la même valeur. Ils n'y a pas de hiérarchisation entre les choses : cyclamens, cinéma, calepin, pensées, passé, présent, postérité, personnages... et en réalité, tout cela est fait pour insister sur l'aspect philosophique de la vie ; là où tous se rejoint et où tous se ressemblent... Cyclamens, pensées de l'écrivain et vie des hommes, tout simplement... Il y a dans ce texte, une certaine forme de poésie sincère, une belle maitrise (toujours) de l'écriture, de la profondeur évidente, un peu d'absurde souriant et d'auto-dérision, un zeste d'existentialisme et un parfum de mélancolie paisible qui se dégage doucement de ces bouquets de cyclamens. Merci Aldenor ! |
Anonyme
15/5/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai beaucoup aimé ma lecture.
Le style est entrainant, rythmé, les histoires s'entremêlent de manière très poétique. J'ai aimé l'amorce, l'explication sur le porté des fleurs, le parallèle avec l'échiquier. On ne m'a pas vraiment raconté quelque chose, on m'a raconté tant de choses, et d'une bien jolie manière dans ce récit. |
Douve
15/5/2011
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Je n'ai pas vraiment compris l'intérêt de ce texte.
L'écriture est très correcte, le ton léger ; la lecture plutôt fluide, et c'est tant mieux. Cependant, je n'ai pas réellement perçu de fil conducteur et cela m'a gênée. Tout ceci reste très anecdotique, on sourit quelque fois, mais je n'ai jamais ri, ni été franchement captivée. Plutôt sceptique donc face à ce texte inclassable. |
Anonyme
16/5/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Une rédaction quasi-parfaite. J'aimerais tant écrire comme ça !
Puis une histoire riche, pas si frivole qu'on ne pourrait le penser au premier abord. Ainsi cette réflexion "Habituellement, j’accumule des pensées ... elle aurait été fausse." est tout à fait pertinente et rejoint mes propres impressions. Le passage aussi sur la mort "Plus je vieillis plus elle rajeunit. Devient moins répulsive. À l’inverse de moi." est franchement bien trouvée. Enfin la façon de mettre en scène ton cadavre avec l'intervention de plusieurs personnages est plutôt cocasse. Dommage pour ce passage final "Oh, ce n’est qu’un trucage ...etc " qui casse le rythme et m'apparait superflu. Un texte que j'ai pris beaucoup de plaisir à lire. |
Selenim
25/5/2011
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Un texte que je qualifierais d'errant.
L'auteur avance dans son texte sans savoir où il va, il nous met devant un récit Matriochka. C'est agréable à la lecture, car l'écriture est maitrisée, mais l'impression de patchwork s'affirme à mesure que l'on s'approche du final. Ce qui me gène, c'est le sentiment de cassure entre ces différentes parties. Le fil rouge est si tenu qu'on le devine avec peine. Dans chaque partie distinctes, l'auteur semble vouloir suivre une piste, une réflexion, peut-être inscrite lors d'une promenade dans une oliveraie. Si chaque aspect de l'histoire est intéressant, j'ai des doutes sur leur promiscuité. Au final, je garde une lecture agréable mais aucune phrase, image ou réflexion ne me reste en à l'esprit. Comme dans un bouquet de fleurs sauvages : toutes différentes, aucune de s'affirme ni ne s'impose. Selenim |
Bidis
30/3/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je ne pouvais qu’apprécier le délicieux surréalisme de ce texte.
Petite remarque : - « les essayages me provoquant des ballonnements. » : Les participes présents me semblent toujours très lourds. Mais les remplacer par les relatifs « qui » n’est pas tellement plus heureux ; depuis, pour ma part, j’opte pour deux propositions principales : « J’achète trop larges mes pantalons : les essayages me provoquent des ballonnements. » Je trouve cela plus léger. Je me ferai la même réflexion quand je rencontrerai « … en appuyant sur « écrire » et hochant la tête » et « ...à des jeunes filles cachant des poèmes » Alors que Google m’a appris que « Fata Morgana veut dire mirage » (j’adore apprendre des expressions nouvelles) pour le père Khalifeh, mon détour par le Net n’a servi qu’à m’enfoncer davantage dans la nuit de mon incompréhension. Je retrouverai ce Khalifeh à la fin du texte d’où il ressort qu’il est sans doute sorti de l’imagination de l’auteur. Texte jubilatoire que j’apprécie, je l’ai dit. |