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in-flight
22/6/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Un mélange de réel et de phantasmes. Je trouve la crémation imaginaire de Michel un peu excessive pour son simple statut de vendeur. Bon, j'ai toujours un petit problème avec les textes qui impliquent de force le lecteur: "vous ceci... Vous cela..." Ça créé souvent un style un peu forcé. Le début n'est pas assez subversif je trouve, ça manque un peu d'excès et d' exagération dans la narration. Et puis "déco rêve" c'est moyen. Il manque le "t" à "donnerai" dans le premier paragraphe. Un texte sympa mais dont je ne retiens pas grand chose. On sent toutefois un plaisir d'écriture, et c'est là le plus important. |
hersen
23/6/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Voilà, nous y sommes tout à fait. Acheter un sofa se transforme en prise de conscience.
L'auteur nous y amène très bien, d'une façon à la fois pleine d'humour mais aussi très réaliste. C'est excellent, complet, simple à lire pour une grande idée : en définitive, de quoi avons-nous besoin ? La couche putride de champignons qui recouvrirait le sofa dans trente ans. Délectable ! Bravo ! |
MariCe
10/7/2015
a aimé ce texte
Bien
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Un texte court qui mérite qu'on le regarde d'un peu plus près. Car même si la première lecture peut paraître déstabilisante, le thème est récurrent. On nous vend du rêve. On nous fabrique des besoins. Quitte à laisser de côté des besoins existentiels, comme celui, tout simple, de se ressourcer, auprès d'un grand chêne ou le cours d'une rivière.
Merci Alexa. |
AlexC
11/7/2015
a aimé ce texte
Pas
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Hello Alexa,
J’ai lu votre texte une deuxième fois, puis une troisième, mais je vous avoue que je ne comprends pas tout. Je résume. Je me suis investi complètement dans un projet, abandonnant pour cela mon emploi stable. Je vais à reculons dans un magasin de meubles aux prix exorbitants, alors que je suis plutôt pauvre, afin de donner corps à ce projet. Mais ce projet est si flou que je suis incapable de le décrire en quelques phrases et surtout si peu motivant que je déprime assez pour nourrir des désirs pyromanes. Du coup, je rêve de l’étincelle qui va redonner du sens à ma vie. Et en attendant, je n’ai toujours pas de canapé. Je ne saisi pas où vous voulez en venir, quelle est la chute de cette micro-nouvelle ? Les réflexions sont de “comptoir” comme vous le dites si bien, c’est-à-dire qu’elles ne sont pas développées. L’écriture est correcte, mais ne transcende ou surprend pas. Je ne comprends vraiment pas. Avec un sujet tel que celui-ci, et sans doute la volonté d’un traitement court pour mettre en exergue la vacuité qui “m’habite”, j’aurais voulu une écriture plus poétique. Un "lyrisme sanglant, prisme de mes tourments", si vous préférez. Mais bon, c'est mon point de vue. Des incohérences logiques : Un magasin de déco aux prix exorbitants mais à la déco de mauvais goût ? Il est interdit de s’affaler sur les canapés dans un magasin de meubles et déco ? Qu’est-ce que mes fantasmes lubriques (càd liés à mes désirs sexuels) viennent faire là dedans ? Et en quoi une riche bourgeoise se baladant sans me prêter attention est-elle une métaphore de ma mère qui me gorge d’amour ? Une question : Pourquoi Michel est emprunt de la même panique et de la même vacuité que moi, quand je le surprends tout au plus d'un bond ? Aurais-je trouver en lui mon âme sœur, quelqu'un partageant mes angoisses quotidiennes ? Est-ce là l'ouverture vers un deuxième chapitre ? Cela fait trois questions en fait ! Quelques coquilles : “ce projet dans lequel vous êtes fortement investi” "Mais vous n’êtres pas là vous discuter luminaire et mobilier commercial.” Répétition du mot affaler : “ce sofa infâme dans lequel vous venez de vous affaler, dépité.” Vous avez utilisé affalement trois lignes plus haut et vous utiliser affaler trois lignes plus bas... Tiens, ça me fait penser qu’un titre comme “L’affalement de mon être” pourrait convenir à une anecdote mélopoétique chez Ikéa. Sinon, Je tique : “Vous aimeriez être à courir dans une forêt des Landes…" Je jubile : “canapés et autres dispositifs d’affalement” “vous êtes à peu près pauvre” “le vendeur vous découpe du regard” En espérant ne pas vous avoir trop découragé et vous relire bientôt. Alex |
Anonyme
3/9/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un texte court dont le style me plait. J'aime ce personnage qui se perd dans ses pensées, imagine, reviens à la réalité. Certaine formulation sont juste parfaites, j'adore!!
Sur le fond, j'aurais préféré connaitre un peu mieux le projet dont il est question, il est présenté de manière si flou qu'on se retrouve un peu perdu. Est-ce seulement un prétexte au texte? Je trouve cette partie là maladroite, mais peut être volontaire? Au plaisir de vous relire bientôt Manon |
carbona
10/10/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Que représente ce projet ? Une vie pantouflarde, bien réglée, banale qui répond aux exigences de la société ? Un salon tout beau, tout neuf dans une maison toute belle, toute neuve ? C'est ce que j'imagine en pêchant les quelques indices que vous nous laissez. Mais alors il me manque des éléments pour me mettre à la place du personnage. On comprend d'emblée que ce projet le fait suer, il s'apprête à l'exécuter à contrecœur. Je pense qu'il y a beaucoup d'éléments qui sont évidents pour l'auteur mais qui manquent au lecteur pour bien saisir l'état d'esprit du personnage dans une étape de sa vie qui semble importante, déterminante, un virage j'imagine. J'aurais bien aimé pour cela avoir un brin plus de contexte et des éléments plus explicites sur ce qui le rebute dans le magasin et dans tout son projet. "Vous auriez dû le passer à méditer sur les règles du magasin, car il est interdit de s'affaler sur les produits à vendre, et le vendeur vous découpe du regard." < drôle Merci pour votre texte. |