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Mauron
21/11/2015
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Très beau texte, très bien narré, le point de vue d'une enfant devenue adulte depuis, ou pas d'ailleurs, le passé composé permet ce genre d'ambiguïté. Naïveté et fraîcheur. Rien à rajouter, c'est poignant et juste, précis et ni trop gentil ni trop cruel. La fin est à la fois elliptique, ouverte et très claire, tout y est suggéré en quelques mots. Bravo!
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Anthyme
5/12/2015
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Bon sang !
Ça ne sent ni la gnôle, ni la pisse … … mais le vrai. ________________________________ Pour ce qui me concerne, c’est un texte à découvrir … Je m’explique : La première lecture m’ouvre des portes … La deuxième des émotions … La troisième des sentiments … Il m’a fallu la quatrième pour atteindre des âmes … « Pas doué, le mec ! » doivent penser certains. … Peut-être … Peut-être … Mais faites moi la grâce de me croire, chère Alice … … à la cinquième lecture, votre texte me parlait québécois !!! ________________________________________ Rassurez-moi, je vous prie : où se situe l’action ? =================================== Ps le 5 décembre. Quel nunuche je fais : Il m’a fallu relire les dernières nouvelles d’Alice pour m’ouvrir les yeux sur ce qui maintenant s’impose : Alice ; la conteuse du Québec des femmes ! |
Myndie
4/12/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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Alice, vous l'aurez remarqué, étant plus une habituée de la poésie, je viens rarement commenter les nouvelles. Bien que je les lise. Mais là, comment aurais-je pu taire l'émotion que suscite votre texte?
Il y a deux choses qui m'emportent, m'enthousiasment ou me révoltent dans la vraie vie comme en littérature : les enfants et les animaux. Le bonheur qu'ils prodiguent et la souffrance qu'on leur inflige parfois. Voilà, tout est dit, en plus d'être magnifiquement écrit, votre texte est bouleversant. Et j'ajoute que je me délecte de ces expressions typiques qui me rappellent une amie québecquoise , comme "les bobettes" (ah j'adore!) Merci infiniment pour le plaisir de lectureque vous m'avez apporté myndie |
Pepito
4/12/2015
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Alice et délices,
Kriture : "vieilles bobettes Minnie" rien qu'avec ça, la lecture est amortie ;=) "Et puis elle a brusquement rabattu ses paupières sur les deux vertiges" tss, tss' vous avez pas besoin de ce genre de truc ;-( "parler j’étouffais" un ch'tite virgule entre les deux... peut-être... "Sa garde-robe à elle fermait complètement. Ça avait quelque chose d’effrayant," haha, géant le contre pied des films WD ! ;=) "des odeurs de maison" "L’avant, ça sent fort." sur le coup j'me suis dis oups ! c'est limite clarté... puis non, un bon texte, faut s'le mériter ! Excellent. "avec juste assez de nervosité. " mhhh, un peu haut pour une gamine, non ? Fond : on s'en moque c'est mimi, c'est émouvant sans un poil de sordide (une petite trouille au début > papa, chambre, p'tite fille, brrrr !) puis non. Que du mimi et c'est très bien ainsi. Bien sûr on a une maman morte (j'allais dire, on a "que" une maman morte) mais j'y suis habitué maintenant et je ne boude plus mon plaisir. Merci pour la lecture. Pepito PS : heu... la mère... c'était un cancer ? ;=) |
Pascal31
4/12/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai plongé dans cette nouvelle avec en fond sonore ce fort accent québécois qui ressort pour la première fois d'un de vos textes (du moins, ceux que j'ai lus). C'est un peu déroutant au début et ça apporte un côté sympathique immédiat (la gentillesse et la chaleur, c'est bien deux traits de caractère innés chez quasiment tous les québécois, non ?) . Du coup, le récit prend une tout autre tonalité, je trouve.
Hormis cela, c'est encore une fois un texte émouvant et très bien écrit. Le tragique de la situation est atténué par cette vision qu'ont les enfants du monde qui les entoure : ils s'adaptent comme ils peuvent. Toute la première partie est donc traitée avec légèreté, insouciance, presque avec humour. La dure réalité - et du coup le côté poignant de la nouvelle - fait surface avec l'apparition de la tante Lucie. Elle voit ça avec ses yeux d'adulte. Elle en mesure toute la gravité. Et si le récit devient plus sombre, vous choisissez de conclure avec une jolie note d'espoir. Un espoir qui vient des enfants, bien sûr. Il n'y a qu'eux qui ont le courage de croire que demain sera forcément meilleur... Bravo et merci pour ce très beau texte, Alice. |
carbona
27/12/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour Alice,
Plus j'avance dans la lecture, plus je suis happée. Je reste cependant un peu déçue de la chute sans trop savoir pourquoi. Quelques remarques : - "Ça posait problème. Pas qu’on était des chochottes au point où la vue de deux bouteilles de fort sur la table de la cuisine, renouvelées avec une constance admirable, nous dérangeait ; à dire vrai, on ne remarquait pratiquement plus. " < cette phrase m'a titillée car j'attendais la contrepartie : pas que...mais -"Le réel problème, c’était que la chambre du père se trouvait à une porte de la nôtre, et que parfois d’un battant blanc à un autre la différence s’amoindrissait, et qu’à choisir, pour appuyer un coma, la porte la moins loin de la cuisine devenait plus pratique, enfants ou pas. " < à ma seconde lecture, je comprends mieux cette phrase. Le père s'endort dans le chambranle de la porte des enfants, pas clair lors de ma première lecture - "Le dos était pratiquement aussi large que mes jambes nourries aux boîtes de légumineuses étaient longues," < j'aurais arrêté la phrase à "légumineuses" - "et il y a une incapacité chronique à marcher sur son papa. Telle était l’équation de la situation," < je ne suis pas fan des termes employés "incapacité chronique" et "équation" qui ne collent pas à mon goût avec la poésie du récit - "Des bruits sourds se faisaient entendre de l’autre côté de la porte. On remuait le cachalot avec acharnement, comme si on le traînait dans le couloir. " < à partir de cette phrase votre texte est d'une beauté !! Un délice vraiment, plein d'émotions, de douceurs, de tendresse et de dureté aussi. -"et elle m’a cachée dans ses cheveux, plus longs que l’étaient ceux de maman, plus longs que n’importe quels cheveux qui m’avaient cachée dans ma vie, et je me suis mise à pleurer, en bobettes Minnie et pieds tout collants dans la garde-robe. " < beau, beau, beau ! - "Quand on m’appelait comme maman m’appelait, si je ne me dépêchais pas de parler j’étouffais. " < beau, sobre et beau - "Elle m’a déshabillée et m’a lavée de pied en cap, même les cheveux, parce qu’il y avait des mèches qui sentaient la vodka, papa avait dû respirer fort en me servant mes légumineuses. Elle m’a fait mettre une autre chemise de nuit, mes bottes et mon manteau, pour le voyage." < ce passage là est plein de tendresse également et ce juste avec quelques mots simples, c'est puissant ! - sel-poivre / gin-vodka < super - bobettes < j'adore ce petit mot - "J’ai dormi dans le grand lit avec Lucie. Sa garde-robe à elle fermait complètement. Ça avait quelque chose d’effrayant, alors elle l’a entrebâillée pour qu’elle ait une forme de but de terrain de soccer. " < tellement beau car tellement réaliste - "L’avant, ça sent fort. " < magnifique ! Eh bien bravo Alice, ce texte est magnifique. Il traite d'un sujet grave avec une douceur et une tendresse super bien dosées et surtout une justesse qui rend le tout très réaliste. Un petit bémol pour la fin sans avoir pour autant imaginé quoi que ce soit d'autre. Merci beaucoup pour cette lecture très forte ! Edit : ""Le dos était pratiquement aussi large que mes jambes nourries aux boîtes de légumineuses étaient longues," < j'aurais arrêté la phrase à "légumineuses" ", je relis mon commentaire et ne suis plus d'accord avec ma suggestion. Arrêter à "légumineuses" n'aurait pas de sens puisque les jambes sont longues et non larges. Je pense que ce qui m'a fait tiquer ici est une certaine lourdeur dans la formulation. |
widjet
5/12/2015
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Je suis doublement désolé.
Un, je n'ai pas lu ton précédent opus, moi qui d’ordinaire ne manque aucune de tes nouvelles ou presque (il faut dire que je passe désormais qu’en coup de vent et ne commente quasiment plus). Enfin, désolé une seconde fois, car pour moi ce sera un « non » affectueux, mais un non quand même sur ta dernière oeuvre. Le gros souci (toujours pour moi) est le langage (vocabulaire, expressions, tournures...) de la gamine : je n’y ai pas cru. Pire, ça m'a un peu agacé (mais les gamines sont parfois agaçantes, c'est vrai). Trop recherché parfois entre les « les yeux pastel », "l'incapacité chronique", "grand bien lui fasse", les « ses paupières sur les deux vertiges » ou excessivement tarabiscotés (ce qui nuit parfois à la compréhension ou la fluidité), j’ai trouvé cette fois que tu es tombée dans quelque chose de « surjoué » qui plombe tout le naturel de ton écriture (dans "Pitchoune" tu avais frôlé ce piège je crois). Et surtout, ça plombe mon émotion. Mais, c'est peut-être moi, je ne sais pas. Je ne dis pas que ce n'est pas crédible (il doit avoir des gosses de 10/12 ans qui parlent ainsi), mais moi, je n'ai pas pu (su) l'imaginer. Dès lors où je ne plonge pas avec le personnage principal, le reste, hélas (car tu fais toujours preuve d’habileté et ne tombez jamais dans le « terrorisme lacrymal »), passe à la trappe, l’empathie itou. Un récit gentillet (en dépit du ou des drames), une écriture trop bouffi (on sent, à tort ou à raison, que l'effort est trop voyant, le souci de faire mouche aussi, et ça donne l'effet contraire), un style qui se regarde un peu trop le nombril (alors que tu sais parfaitement sublimer la simplicité), bref, un texte bien en deçà de tes productions. Un rendez-vous manqué....pour mieux te retrouver dans le prochain. Bon week-end à toi W |
Automnale
5/12/2015
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Un père alcoolique, des enfants livrés à eux-mêmes, une maman partie dans un autre monde… Ce n’est pas bien réjouissant tout cela… Certes pas réjouissant, mais amplement suffisant pour en faire un tableau vivant, tendre, drôle, crédible et inoubliable. Alice possède un savoir-faire, en l’occurrence un savoir écrire, ô combien incomparable.
Avec Alice, c’est toujours la même chose : On prend son épuisette et, comme d’autres vont à la pêche à la crevette, nous partons à la pêche aux pépites. Et jamais nous ne revenons bredouilles. D’abord, nous allons à la pêche aux expressions. Ici : T’es safé… Bouteilles de fort - Ouache ! - Les parties de soccer - Les vieilles bobettes Minnie - S’est racrapotée - Mon cellulaire - Ma pauvre chatoune… Sans oublier ce « pis » pimentant, de façon irrésistible, l’ensemble de l’histoire. Mais où Alice va-t-elle chercher tout ce qu’elle nous raconte ? Y compris toutes ces choses bien vues, remarquablement senties : - Sur la table des gens, parfois, il y a le sel et le poivre, d’autres fois, il y a la vodka et le gin (les objets disent, en effet, beaucoup sur l’occupant des lieux). - Avoir un papa dont l’haleine peut vous désinfecter une coupure à partir de dix-huit heures et quart (génial). - Entrebâiller la porte d’une garde-robe pour lui donner une forme de but de terrain de soccer (adorable). - Un sourire tout en trous (hou lala, comme c’est mignon). Avec Alice - quel bonheur ! -, nous redevenons, l'espace d'un instant, des enfants. Fraîcheur et grâce engendrent spontanéité, gaieté, originalité, drôlerie : - L’abus de lait au chocolat, une bouteille de jus fraise-kiwi dans la vessie, des jambes nourries aux boîtes de légumineuses. - La définition d’un supposé handicap : Je suis pas handicapée ! Faut juste que je m’assois parce que je suis une fille. - L’affaire commencée (et quelle affaire !) depuis une nanoseconde ! - Le temps de destituer, à moitié sur le sol à moitié sur les pieds et les bobettes, les trois quarts de la bouteille de jus… - La tante Lucie pensant à un dégât des eaux ! - Pour la dignité, c’était trop tard, dit la petite fille. - Cette façon de parler : « - Sors ça à quelqu’un que ça intéresse ! ». L’ensemble serait incomplet si Alice ne nous offrait pas un bouquet aux fragrances d'intense émotion : - Le regard pastel de la tante Lucie découvrant la petite Riri (et Minnie), la flaque autour des pieds… - Tante Lucie cachant l’enfant dans ses cheveux, plus longs que ne l’étaient ceux de la maman, plus longs que n’importe quels cheveux… - Cette façon de penser : Quand on m’appelle comme maman m’appelait, si je ne me dépêche pas toute de suite j’étouffe… - Cette façon de consoler : Pleure pas tite Riri… - Lucie qui a les mêmes yeux pastel que sa sœur, la maman de Riri… Eh bien, moi, je trouve tout cela époustouflant… Epoustouflant pour un auteur de vingt printemps… Epoustouflant d’intelligence, d’humour et de tendresse. A ce point charmée, je suis bien incapable de trouver la moindre éventuelle imperfection. Je n’ai d’ailleurs même pas envie de la chercher. Une fois de plus, je suis admirative. Une fois de plus, je trouve à Alice un incroyable talent de nouvelliste. Et, une fois de plus, je vais être obligée de noter « passionnément ». Et même que, là, je vais diriger, compte tenu du si joli prénom donné à la maman de Riri, la flèche vers le haut. Ma petite Alice, je vous félicite… Chaleureusement, est-ce utile de le préciser ! |
Solal
5/12/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Alice.
Alors pour commencer, chapeau, tout simplement. Concernant votre écriture, je n'est pas grand chose à vous dire. Une petite musique nous murmure à l'oreille. Elle vous est propre, vous la tenez. L'histoire à présent. L'humanité, l'alcool et ses conséquences. On tient un sujet important là, entre attrait et rejet. Ca commence dans la joie et ça finit souvent dans l'horreur. Et ben avec vous, rien de tout ça, on partage un vision originale, proche de l'attendrissement et du sourire. Votre narratrice, avec sa vision enfantine, nous amène vers un univers où l'ivrogne n'est pas qu'un horrible bonhomme irritable et sale. Là il se transforme en cétacé gargouillant mais pas méchant. C'est agréable de lire une histoire qui éclaire le tragique d'une lueur inconnue. Merci. |
nemson
5/12/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bien quoi...il serait malvenu de chipoter alors que tout est là: Un angle d'attaque démonstratif balayant tout pathétisme, une bonne écriture de bonnes idées....un ptit bémol sur les dialogues qui frisent le trop écrit parfois, ce qui enraye un peu la spontanéité.
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vendularge
6/12/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour,
Ce qui me touche le plus dans ce texte très bien écrit, c'est l'absence de pathos et c'est exactement ça qui fait naître l'émotion. Il n'y a pas de grand discours sur la peur, le désarroi ou même la détresse du malade alcoolique. Un enfant n'intellectualise pas une situation, il la vit très exactement comme elle se déroule. Un grand bravo |
Alice
9/12/2015
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Coline-Dé
9/12/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Non seulement c'est tendre, non seulement c'est superbement écrit, avec la petite pointe d'humour qui empêche la gorge de gratter, mais, en plus, il y a dans cette histoire un petit mot qui m'a replongée dans la mienne, d'histoire : chatoune, et après j'ai eu du mal à lire...
Voilà un commentaire qui ne va te servir à rien, Alice, mais je m'en fiche parce que tu n'as pas besoin ! J'ai juste envie de te dire merci ! |
Mare
12/12/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Toujours cette délicatesse dans le ton, dans le traitement. On ne peut qu'être admiratif et se laisser porter là où l'auteur nous emmène. Mais là, ce que j'aime le plus c'est la façon dont vous avez su trouver le bon vocabulaire, les bonnes tournures pour nous faire entrer dans la tête de l'enfant. Cela apporte une touche de drôlerie qui rend la gravité du propos supportable. Une partie de vous doit toujours être en enfance, et c'est magique!
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Anonyme
16/3/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Le style est très intéressant. De manière générale, j'aime énormément l'écriture du langage parlé, et ici c'est très réussi. Les dialogues sont vivants, réalistes et pas du tout prosaïques. Juste ce qu'il faut pour créer la magie d'une discussion d'enfants.
Le fond est grave, mais la tante vient comme dans un conte de fée. Y aurait-il un mariage à la fin ? |