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Anonyme
30/10/2009
a aimé ce texte
Pas
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bonjour alifanfaron
Ca part d'un bon sentiment mais c'est bien trop sucré pour moi. J'ai en outre un petit problème avec cette phrase : "Ce n’est que plus tard, alors qu’il (le grand-père) était mort depuis quelques années déjà, quand mon propre père devint grand-père - et plus encore quand je le devins à mon tour (père ou grand-père ?)... Bref, je n'arrive pas à situer la mort du grand-père. Ceci n'est qu'un détail, bien sûr. Il n'empêche que je ne me suis pas sentie d'empathie ni pour le héros, ni pour le grand-père. Une écriture un peu trop larmoyante, des images trop sentimentales et un discours un peu trop... pontifiant ? Bonne continuation. |
jaimme
31/10/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour à toi,
cette métaphore de la navigation... A quoi bon arriver à plus de quatre-vingt ans pour raconter une chose aussi simple? Car en fait oui il raconte en, imageant, c'est tout. Pas de vraie leçon d'expérience, pas de référence à sa propre vie. Juste: ne t'inquiète pas les tiens vont t'aider à repartir. L'idée est bonne, mais elle n'est pas assez riche. Et des expressions qui "collent" mal dans la bouche de ce vieil homme fier (toute blinde par exemple). L'expression: "C'est que je l'aimais beaucoup"; quand on aime "beaucoup" quelqu'un on en est pas amoureux, non? Et pour finir: "j’avais reçu la foi", dit ainsi cela fait trop penser en la foi religieuse, je ne pense pas que c'est ce que tu voulais dire, non? Bonne continuation. |
Anonyme
30/10/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour,
Bon, tout d'abord, je ne sais pas qui t'a fait croire qu'il y avait une médaille remise au rédacteur du titre le plus long, mais il s'est moqué de toi... et tu sais ce qu'on dit des mecs qui ont des grosses voitures, eh bien, le même bruit court à propos de ceux qui écrivent des titres à rallonge... bon, moi je te dis ça, c'est pour toi... Allez, j'arrête mes bêtises et j'en viens à ton texte : Voilà un récit à l'écriture honnête, rien de transcendant, mais pas de faute ou de maladresse énorme non plus. C'est un bon point. Il faudrait sans doute l'étoffer ou la singulariser un peu pour lui donner une épaisseur qui lui manque encore. La métaphore marine, exploitée sur toute la longueur du texte, a fini par me lasser, tu n'en sors pas, que ce soit le papy ou le narrateur, la mer est toujours présente, à la longue (et je suis pourtant méditerranéen) ça fatigue. J'ai noté un problème de cohérence chronologique : journée du narrateur avec son grand-père au retour des grandes vacances, donc a priori septembre mais à la fin : "on n'en a plus reparlé jusqu'à la rentrée de septembre... " donc y'a un petit problème. Ensuite, le portrait du grand-père me parait assez creux, maladroit, beaucoup de clichés, on n'apprend rien en fait de ce qui en fait un homme si exceptionnel. Donc assez superficiel (je me trompe peut-être mais j'ai l'impression que tu as eu du mal avec ce paragraphe, que tu ne savais pas comment "nourrir" le personnage du grand-père et que tu t'es donc replié sur une description physique - avec encore un recours à la métaphore marine...) On a du mal à croire que le narrateur soit lui-même grand-père au moment où il écrit ces lignes, enfin moi j'y ai pas cru, de même que la façon de parler du grand-père me parait très rock n'roll et donc pas crédible du tout ("à toute blinde ?") Ton narrateur a beau être jeune, et je veux bien qu'il soit très sensible, je n'ai rien contre, mais là, il fait un peu chiffe-molle quand même, je pense qu'il aurait gagné à être un peu plus mature, surtout qu'on peut penser que sa douleur l'a aguerri. On a un peu l'impression qu'il sort de la crèche (avec ton laïus sur la foi, y'a une certaine cohérence tu vas me dire...). Enfin, le discours du grand-père, la référence à la famille, aux amis, tout cela fait un peu bisounours à mon goût (et pour un milieu marin, on aurait pu s'attendre à plus de vécu, de souffrance). C'est finalement assez mièvre et la leçon de vie donne plus envie de sourire qu'autre chose, et pas forcément par gentillesse mais plutôt assez ironique le sourire si tu vois ce que je veux dire. En tout cas, je retiens l'écriture, solide, sans faute majeure ni problème de concordance de temps (ce qui est déjà très bien). Ensuite, encore plein de choses à construire, mais ça tombe bien, nous sommes tous là pour ça ! Bonne continuation et la prochaine fois, plus court le titre, ou ta réputation auprès de ces dames sera définitivement grillée ! |
wancyrs
31/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un proverbe Africain dit : " Un vieillard assis voit plus loin qu'un jeune homme debout "
Je te dirais Merci pour ce texte qui m'a ramené aux confins de ma culture, culture dont la lumière est le respect de l'aîné, respect de sa sagesse, car pour nous, les cheveux gris signifiaient "le vécu", par ricochet des leçons tirées de déboires, qui ensuite sont devenu sagesse. Je vais taire les quelques maladresses relevées ça et là dans la tournure des phrases, pour ne retenir que la leçon, et elle est belles celle-ci. Imagée à souhait et instructive. Merci. |
Garance
31/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai beaucoup aimé cette nouvelle qui pour moi se taille une belle place dans la catégorie "Sentimental/Romanesque".
Le titre dans sa longueur m'a amusée et attirée aussi, car je ne lis pas toujours les nouvelles, faute de disponibilité. Bien sûr il y a des détails à revoir mais l'écriture est de qualité. Une nouvelle profonde par la sensibilité et la vérité de la relation grand-père/petit-fils décrite. Un premier chagrin d'amour peut causer une souffrance majeure dont il n'est pas facile de se relever. Si cette souffrance cicatrise mal, toutes les relations sentimentales futures peuvent en être affectées. Le grand-père n'est pas moralisateur, il ne revient pas sur l'histoire passée ( qu'on ne connaîtra pas dans le détail), il ne remue donc pas le couteau dans la plaie. Il replace son petit -fils dans l'acceptation du passé (afin qu'il ne salisse pas tout ce que ce souvenir avait de beau), dans le moment présent (le jeune homme n'est pas seul-il compte pour beaucoup-) et il l'encourage à regarder le futur avec un regard confiant. Ce grand-père est formidable, il a trouvé les mots justes, les mots qui donnent de la force, qui aident l'autre à se remettre dans le courant de l'énergie de vie...il a réussi ; preuve en est physiquement, concrètement parlant puisque les sens anesthésiés de son petit -fils se réveillent - N'est-il pas vrai que lors des chagrins tout devient insipide , la peau même est insensible. Oui, cette histoire est profonde, elle ne s'arrête pas à la surface d'une relation, elle ne se contente pas de décrire une douloureuse expérience de vie. Elle va beaucoup plus loin.... Félicitations ! |
Anonyme
31/10/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Une belle tranche de vie, un peu trop sentimentale peut-être (mais on est dans la catégorie faite pour ça après tout.) Cependant extrêmement agréable à lire.
Le titre m'a attirée ici, comme Garance, le détours en valait la peine même s'il reste des faiblesses au niveau de l'écriture. Une fluidité qui manque un peu peut-être. Un bon moment en tous cas. Bonne continuation à l'auteur. |
shanne
1/11/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
J'ai aimé cette balade avec ce grand père. De belles comparaisons: L'océan- le monde, nos premières tentatives de traversées-l'adolescence, notre retour sur le port avec nos larmes, notre tristesse-l'accueil de la famille et de nos amis Merci pour cette promenade |
Myriam
2/11/2009
a aimé ce texte
Bien
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A la relecture de ce texte, je dirais qu'il a les défauts de ses qualités. Je m'explique:
J'aime bien l'idée de la métaphore filée... les voyages, les bateaux, c'est déjà vu/lu, certes, mais touchant et en cohérence avec le personnage du grand-père, marin magnifique et généreux. Pour autant, cette comparaison étirée sur tout le texte m'a semblé lourde au bout d'un moment. Le style redondant y est aussi pour quelque chose. (style annoncé dès le titre d'ailleurs!) La leçon de vie: elle est jolie, mais quiconque vit un vrai chagrin d'amour sait que les mots et les images offrent un réconfort bien illusoire et éphémère... hélas. Le narrateur "aimait beaucoup" cette jeune fille...??? Euphémisme pudique ou maladresse? Pour finir, je dois dire que les larmes de ce jeune homme m'ont touchée, ainsi que son amour pour son grand-père. C'est cela je crois qui me restera de ce texte... et c'est pas mal!! Merci de cette lecture! |
widjet
3/11/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Plutot sympathique en soi d'utiliser la mer, la nature comme métaphore pour raconter les choses de la vie à son neveu, ce "jeune moussaillon de l'existence". Je soupçonne un peu de vécu chez l'auteur, mais peut-être que je me gourre.
Hélas, de la bouche de ce sage philosophe marin, j'aurai aimé un ton plus rugueux (à la Kersauson par exemple qui derrière son côté rustaud cache une vraie sensibilité), bref moins de sensiblerie dans le traitement (là aussi un peu plus d'humour n'aurait pas nuit). Il y avait largement moyen, je pense. C'est également trop verbeux (alors que tu as eu la bonne idée de laisser le silence s'installer au début du récit, après la première tirade du grand père. Tu aurais du renouveler cette pause pour d'une part changer le rythme, puis laisser le lecteur s'impregner de l'ambiance créee, et s'identifier car forcément la rupture amoureuse parle à tout le monde, t'as pas été stratégique là mon pote ! ;))) Sinon, je me demandais si l'utilisation du présent n'aurait pas été préférable et plus vivace émotionnellement ? Sais pas... Petite chose que j'ai remarqué : le grand père essuie les larmes de son fiston...mais le gamin l'avait déjà fait un peu avant (voir plus haut). Imparfait, mais sincère. Voilà pour moi. W PS : allez je vais être insolent (mais tu peux m'envoyer bouler, pas de souci) et te proposer un autre titre plus sobre : "Promenade sur le port". |
florilange
16/11/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Ce texte est gentil & pétri de bons sentiments. Le gamin qui accepte de bonne grâce la leçon de vie de l'aïeul. On sait comme les jeunes savent tout & se moquent des conseils qu'on peut leur donner...
Le style est correct mais parfois 1 peu lourd. Les références à la mer sont bienvenues au début, ennuyeuses à la fin. Surtout qu'elles s'appuient sur peu de choses, puisqu'on ne sait rien de la véritable expérience du grand-père. Mais au total, 1 lecture pas désagréable. Florilange. |
caillouq
14/7/2010
a aimé ce texte
Pas ↑
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Oups, une erreur de copié/collé qui m'a fait mettre ici le commentaire de "Insomnie". Corrigeons notre erreur.
Celle-là, j'aime moins. Beaucoup beaucoup moins. Toujours cette histoire de trop bons sentiments et de littérature que je n'arrive décidément pas à trouver compatibles... Un peu de mauvaiseté, par pitié. (ou alors, la lecture sous-jacente de la chute, c'est que le narrateur a poussé son grand-père dans l'eau, d'où un sentiment libératoire extrême qui lui a fait découvrir Dieu ?!) Bon, je ne vais pas continuer à ne pas noter juste parce que l'écriture est correcte ... |