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Anonyme
23/3/2012
a aimé ce texte
Bien ↑
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Joli renversement ! Un conte de fées bellement revisité, c'est vrai que ça me fait plaisir de voir que cette pimbêche de Cendrillon, pour une fois, n'a pas le beau rôle...
Bon, mais même si tout est dans la tête, les verrues et le nez crochu n'ont pas disparu d'un coup de baguette magique, si ? Alors d'accord, c'est le conte de fées, mais les princes, tant qu'à faire, je pense qu'ils peuvent séduire des jeunes femmes spirituelles et aussi jolies, je serais étonnée qu'ils dussent se rabattre sur les laiderons même marrants. Peu importe, je ne vais pas bouder mon plaisir, j'ai trouvé l'histoire charmante. |
matcauth
28/3/2012
a aimé ce texte
Bien ↓
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bonjour,
C'est une histoire agréable, une idée originale. L'écriture m'a parue à la fois mature sur le fond et très scolaire sur la forme. Une forme qui manque un peu de travail, de subtilité, de finesse afin de rendre la lecture plus agréable. Je pense notamment à l'emploi de mots et expressions mal venus : "En plus de", "les deux jeunes", "parce qu'il faut le dire". Mature donc, le fond ne tombe pas dans les excès, dans la mièvrerie, l'auteur n'en fait pas des tonnes. Paradoxalement, le ton de l'histoire manque un peu de relief : dans ce genre de domaine littéraire, il faut à mon avis choisir et assumer à 100% si on veut se différencier : ici, le loufoque est bienvenu mais on sent que l'auteur n'ose pas exagérer le trait, rendant l'histoire un peu fade. Peut-être une histoire, bien trouvée, mais pas assez affinée. |
macaron
30/3/2012
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Un conte sympathique avec Cendrillon revisité. Une revanche utopique de la laideur sur la beauté, tout en humour et en couleur. Quelques maladresses dans l'écriture, des inversions pas très heureuses, mais l'ensemble se lit agréablement. Une bonne idée, bien traitée, avec le fond de naiveté et le classissisme qu'il lui sied.
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Palimpseste
8/4/2012
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Un jolie conte bien amusant. L'écriture me semble un peu scolaire, et je pencherais pour un auteur encore jeune (au moins dans son expression littéraire).
Quelques tournures un peu bizarre ("rien ne transpirait la beauté", les couleurs "stridentes" (???), elle niait "rondement" l'évidence, un désordre "colossal"...), c'est là que je verrais la marque d'un écrit de jeunesse. Et c'est pour ça que je m'arrête à "moyen", il y a de la marge pour progresser et le "+" est l'encourager. Pour finir, je suis surpris de lire "à essayer maintES parures", ça me fait penser à "la gente masculine". Alors j'apostrophe la Correction: on dit bien "maintes parures" ou "maint parures" pour "beaucoup de (...)" ? Bonne continuation ! |
Corbac
14/4/2012
a aimé ce texte
Bien ↑
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Texte rafraichissant dont j’ai apprécié la lecture. Des personnages réussis (la sorcière et le miroir), d’autres moins : le prince notamment, qui m’a paru trop influençable. Il y aurait de quoi aller plus loin, je pense l’auteur capable de pousser davantage sur le côté comique, mais bon, je note au ressenti, et j’ai passé un très bon moment…
Bon courage pour la suite. |
Mistinguette
21/4/2012
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Alpy
Bravo pour ce conte original qui m’a souvent fait sourire. Je le trouve bien construit et très bien pensé. La belle Cendrillon en prend pour son grade et c’est vraiment jubilatoire. L’écriture fait parfois penser à une écriture enfantine et certaines tournures sont bizarres mais je sais que le français n’est pas ta langue maternelle, c’est donc tout à fait pardonnable. J’imagine que pour un étranger (Espagnol, en ce qui te concerne) la langue française doit être un vrai casse-tête, déjà que pour ceux qui la parlent depuis l’enfance ce n’est pas toujours évident. Quelques exemples : «… chaussures aux couleurs toujours stridentes » L’adjectif « strident » n’est jamais employé (à ma connaissance) pour les couleurs. Ce sont plutôt la musique, les sons qui sont stridents. Pour les vêtements ou les couleurs on dirait qu’ils sont « criards » ou encore « tape à l’œil »… « Parce qu’il faut le dire, la mégère n’acceptait ni sa laideur ni ses défauts dignement. Bien au contraire, elle niait rondement l’évidence et son ire se déchaînait inéluctablement sur le messager. » Dans ces deux lignes on trouve 3 adverbes en « ment », c’est beaucoup trop. Ça alourdi le texte ! J’en t’en parle d’autant plus facilement que c’est un défaut que j’avais avant de connaitre Oniris - à mes débuts d’écrivaillon. Depuis, j’ai appris à en remplacer certains et à supprimer les autres (Merci Flupke !). Car, au bout du compte, ces fichus adverbes sont bien souvent inutiles. Pour illustrer mon propos : « Parce qu’il faut le dire, la mégère n’acceptait dignement ni sa laideur ni ses défauts. Bien au contraire, elle niait l’évidence et son ire se déchaînait de façon inéluctable sur le messager. » Ce n’est qu’un exemple hein ! Va faire un tour sur la « Chronique destinée aux auteurs s’estimant débutant », tu y trouveras les conseils de Togna. C’est dans le forum : « Style – Ecriture » en haut. Je me souviens qu’il y a un passage sur les adverbes en « ment » et plein d’autres conseils précieux… Au « Chaudron qui fume vert » Ici, de la manière dont c’est écrit, c’est la fumée qui est verte. Est-ce ce que tu as voulu dire ? Si c’est le chaudron qui est vert, il faut mettre : « Au chaudron vert qui fume » « Ses promenades dans le village devinrent plus fréquentes et avant peu elle établit des rapports cordiaux avec certains des habitants. » le « avant peu » de cette phrase sonne mal à mon oreille. Peut-être : « assez vite » ou « rapidement » (Pour le coup je te suggère un adverbe en « ment » :-)) « …sous le conseil avisé de son miroir. » On dit plutôt : « SUR le conseil avisé de son miroir » et même : « SUR LES conseils avisés de son miroir » car en l’occurrence ici le miroir donne plusieurs conseils. En ce qui concerne le titre, je ne le trouve pas très original et du coup pas très accrocheur, alors que l’histoire vaut le détour. Un truc comme « Le miroir philosophe » ou « Le miroir magique diplomate » alpaguerait plus le client :-) « Maîtresse, ce chapeau est digne de la reine d’Angleterre. » Cette phrase m’a fait éclater de rire. J’ai beaucoup aimé les dialogues, je les ai trouvés vivants, énergiques. Surtout ceux entre le prince et la sorcière. Sinon, au sujet des pantoufles de cendrillon, il se pourrait qu’à l’origine elles étaient non pas en VERRE mais en VAIR… Extrait Wiki : La composition des pantoufles de Cendrillon a fait l'objet d'un débat récurrent en Europe francophone depuis le XIXe siècle. Selon les retranscriptions et versions de l'histoire, les pantoufles sont successivement de verre, ou de vair (fourrure d'écureuil gris). C'est la vague de rationalisme du XIXe siècle qui incite Honoré de Balzac à affirmer que la pantoufle doit se comprendre en vair, et non en verre, au motif qu'il ne peut exister de pantoufles en verre… En résumé une très bonne histoire qui, à mon avis, à juste besoin d’être un peu peaufinée au niveau de la forme. Un grand MERCI pour cette lecture. Au plaisir de te lire à nouveau ! |
SetsunaSoul13
11/6/2012
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Un petit conte 'charmant', on sourit gentiment .
J'ai bien aimé la magie opérée; ce petit coup de ''confiance en soi" encore plus efficace que toute baguette magique et autres artefacs! Un récit sympathique, courage pour la suite! |
alpy
21/6/2012
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