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florilange
13/10/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Jolie nouvelle, fort bien écrite, laissant planer l'incertitude sur cette "femme de bois". Et puis la fin est toute morale puisque ce Lucien qui la retape est en réinsertion et que, finalement, il touche le magot.
Personnellement, j'aurais dit "la belle ouvrage" plutôt que "le bel" mais c'est un détail. |
aldenor
13/10/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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L’idée est originale et écrite avec humour et recherche. La relation « amoureuse » est tout a fait convaincante.
J’ai aimé que la femme de bois garde constamment un vocabulaire raffiné tandis que Lucien au contraire utilise un langage plus "paysan". Mais l’unité de ton reste à vérifier : ainsi détonnent à mon sens « je te gratte, te soigne… » ou « depuis perpette » dans la bouche de la femme de bois. Et puis il y’a une richesse de détails sur le travail du bois et de belles trouvailles : « …j’en aurais presque le merisier qui rosirait sous le compliment. », « J’ai trôné face au lit, aussi raisiné que moi, dans une chambre glaciale où personne n’est jamais venu dormir. La promise s’était enfuie avant même la noce. » La chute est amusante et bien amenée. |
doianM
14/10/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Belle histoire, j'ai aimé.
Un vocabulaire bien adapté. Amusant également ce trait qui devient morale: un cadeau de noces négligé, passé de mode, remisé, abandonné...alors qu'il cache de l'or. |
Jagger
14/10/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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C'est tendre, simple beau et un peu émouvant, une boufée d'air frais.
Presque sensuel, comme l'est le contact de la peau avec le bois brut. Que dire, sinon que j'aime. Bravo et merci |
brabant
14/10/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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"nous sommes deux professionnels de la retape" Hé ! Hé ! Et tout le vocabulaire qui va avec... que je ne relèverai pas...
Ah ! Elle est pas mal cette "femme de bois", une tapineuse au grand coeur qui rend bien à son Lulu l'amour que celui-ci lui porte. Je ne m'y attendais pas à ce magot, comme quoi il est bon de faire de la retape ! Ce texte est bien construit, alerte, bien écrit, l'argot est mesuré, approprié, vivant, sans vulgarité. La personnalisation du buffet réusie. Un bois "rose" et "chaud" que le merisier ? Je n'en ai jamais douté ! Aujourd'hui moins que jamais ! |
Anonyme
18/10/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ah ! si tous les meubles pouvaient raconter leur histoire, il y en aurait des récits. En tout cas, celui-ci est vraiment réussi. Aucun des protagonistes n'est de "bois"... Enfin, si : une. Mais bon, elle une âme. Décidément, un auteur aussi à l'aise dans l'humour que dans le drame.
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widjet
18/10/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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J'aime déjà le fait que l'auteur ne cherche pas à nous surprendre avec une révélation finale un peu artificielle. L'identité de l'héroïne est annoncée d'entrée et c'est tant mieux.
On peut donc tranquillement et pleinement apprécié le vocabulaire savamment choisi, bon dosage entre le raffiné et le plus grivois. Le ressort comique s'en trouve rehaussé d'autant que les formules sont variées et souvent savoureuses. Cette femme de bois est coquine, aguicheuse et aguichante a souhait renforcant ainsi son humanisation (toujours grace à la personnalisation de ses images). J'ai pensé à une chanson de Brassens sur un thème voisin (l'histoire d'un arbre recueilli par un couple d'amoureux, oublié le titre merde!). Emoustillant, frais, sympathique. Et de surcroit plutôt bien écrit. Client, donc. W (auteur pas de bois) |
Anonyme
18/10/2010
a aimé ce texte
Bien
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C'est sympathique tout plein cette petite nouvelle.
Correctement écrit, la lecture est agréable, le ton léger, l'intrigue (si on peut la nommer ainsi) attendrissante, rien que du bon pour moi ici. Je regretterais juste une finition bâclée, la chute n'en est pas vraiment une, et surtout aurait gagnée à être un peu plus dévellopée ; oh, il ne fallait pas non plus en faire des tonnes, mais là c'est presque trop succint. Je reste sur ma faim, mais j'ai néanmoins apprécié. Merci et bonne continuation ! |
marogne
25/10/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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D’abord je dois reconnaître que j’ai lu avec plaisir cette petite histoire. Je ne l’ai pas trouvée trop redevoir de la catégorisassions « humour », mais bon, je pense que c’est parce que l’humour, ici, doit être justifié par le vocabulaire et la façon de parler attribué et à la poupée et à son sauveur, et là, je dois avouer y être tout à fait hermétique. C’est d’ailleurs presque le seul reproche (avec la fin) que je ferais à ce texte.
Ce style de « parlé » ne me semble en effet tout sauf prêter au sourire. Même si c’est un « parlé » qui existe, le parer d’un sourire me semblerait être presque une offense, et donc, si je le comprends dans des textes réalistes, certainement pas dans un texte « humoristique » où le seul élément humoristique est justement celui-ci. Et la fin me direz-vous ? et bien sans doute dommage d’encore une fois revenir à l’argent, comme si c’était la seule chose digne d’intérêt, comme si c’était la seule façon que l’on a de remercier, ou la seule raison d’être aimé. |
costic
25/10/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une histoire agréable. L’écriture est aussi soignée que la vieille armoire. Le langage croustillant de Lucien rend le texte plus vif. La fin très heureuse la fait ressembler à un conte. Un très bel exemple de recyclage.
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Flupke
10/11/2010
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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Bonjour Alvinabec,
Je termine la lecture et je m’exclame à voix basse « oh ! c’est chouette ! » (véridique) Vraiment adoré cette histoire, quasi symbiotique qui en est presque émouvante, la raison s'effondre et on se laisse emporter. Le language parlé est un plus dans cette histoire. Merci pour les mots nouveaux (inconnus pour moi).Style impec très agréable à lire Dans la catégorie des nouvelles « Objets inanimés, avez-vous donc une âme » j’ai bien envie de décerner un petit Lamartine d’argent ! Vraiment un très belle réussite, et une chouette manière de commencer la journée. Merci. Faire aussi bien avec un tel sujet, c'est un joli tour de force. Bravo ! Amicalement, Flupke |
victhis0
15/11/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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un brin narcissique, je ne peux que saluer cette nouvelle très proche de l'une que j'ai publié ici (concerto pour piano & fausses notes) : bien tourné, bien pensé, conçis et précis je ne trouve rien à redire à cette jolie idée bien traîtée.
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Anonyme
21/11/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Très jolie histoire racontée avec une gouaille réjouissante. J'ai adoré la sensualité du récit et les destins croisés de deux personnages qui s'enrichissent l'un l'autre. Bravo
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arnotikka
1/12/2010
a aimé ce texte
Bien
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C'est joli, bien écrit.
Mes gouts personnels demanderaient plus de spontanéité, moins de classicisme. Une voiture ne s'exprimerait pas de cette manière, avec tant de littérature. Histoire de goûts. |
styx
5/12/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai trouvé cette nouvelle bien écrite. Un vrai plaisir. Beaucoup de tendresse et d'émotion. Je n'en suis pas restée de bois ^^ (facile celle là)
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arnotikka
10/12/2010
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2ème lecture. Plus de temps. C'est très beau, très tuchant et rien à redire sur la forme non plus. Convaincu
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Coline-Dé
3/1/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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Belle histoire, bien menée, bien dosée, avec une personnification qui n'est pas niaise et un aspect moral qui n'est pas mièvre, un vocabulaire jouissif, bref, tout est bon dans ce petit conte.
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Pascal31
27/3/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Excellent !
Une petite nouvelle comme je les aime. Celle-ci est particulièrement bien écrite (avec des dialogues louchant agréablement chez Audiard), l'histoire est à la fois amusante et touchante. Ce parcours pas si commode d'une commode est joliment raconté. Et la fin est charmante... J'ai beaucoup aimé ! Bravo ! |
Anonyme
27/3/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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C'est adorable ! Je trouve cette histoire charmante et émouvante, avec sa tendre gouaille. Peut-être un poil trop d'élisions dans la manière de parler du brocanteur.
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mogendre
26/7/2011
a aimé ce texte
Bien
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L'idée de donner corps aux objets est difficile à exploiter. Ton récit est bien mené.
La trouvaille des pièces était-elle bien utile à la fin ? Il me semble que le texte se suffisait à lui-même sans cet ajout. Une petite réflexion : je me demande si la présence d'un autre personnage n'aurait pas allégée le monologue de Lucien ? Quoi qu'il en soit, bravo pour l'exercice présenté sous cette forme. |
monlokiana
27/7/2011
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Ca se lit d’un trait. J’aime bien quand on est simple dans le rythme et dans les mots aussi.
Encore une fois, comme dans « Le bénéfice de Rose », je n’ai pas senti le coté humour/détente de ce tête. Toutefois, j’ai bien aimé, l’idée est original dans un monde littéraire où tout (ou presque) a été déjà écrit… Le titre m’a cependant fait penser à une autre histoire totalement différente et même marrante. Bref, la fin fait sourire, avec la découverte du trésor. C’était pas mal… |
Anonyme
8/9/2011
a aimé ce texte
Bien
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Une histoire originale, amusante et tendre. J'ai beaucoup aimé la sensualité de cette femme de bois et souri à quelques occasions.
Merci ! |
Acratopege
16/2/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Cher Alvinabec,
Après avoir lu et commenté votre dernière nouvelle, je suis reparti en arrière jusqu'à celle-ci. J'ai critiqué style et rythme de la petite dernière, mais ici tout est parfait, avec des effluves san-antoniaises qui m'ont fait jubiler. D'un sujet un peu bateau, qu'un prof aurait pu nous proposer à l'école en composition française, vous avez ciselé un petit bijou. Bravo. (seule la chute des pièces d'or à la fin, que j'ai trouvée inutile pour nourrir cet amour contre-nature entre un humain et un être de pur bois, m'empêche de noter au maximum!) |
matcauth
6/3/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour,
je constate avec surprise que d'autres sont venus ici récemment. Cette histoire est jolie, c'est comme un conte, avec des phrases très poétiques, ou au vocabulaire bien trouvé, varié. Cette petite femme vit, je la vois, je ressens sa vie et l'imagine plus loin encore, je vois cette vie dans un coffre, ces années à attendre, il y a quelque chose qui s'opère. C'est donc réussi à mes yeux. Je ne sais pas si c'est son langage, à cette femme, ou le ton général du texte, un peu des deux je pense, mais en tout cas on plonge dans sa vie. Il y a aussi le décor, les odeurs qui nous viennent, celle de cette chambre froide ou il n'y eut jamais de mariée, l'odeur et l'ambiance de l'atelier ou vit cet homme en réinsertion. Bref, des endroits qui parlent, qui ont une identité réelle et facile à imaginer. L'ensemble s'emboîte bien et... voilà. |