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hersen
15/1/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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j'adhère à fond, j'adhère à tout.
C'est plein d'esprit, c'est drôle, c'est érudit. Et c'est super bien écrit. Se plonger dans le monde des insectes, quelle idée géniale. Et installer le bousier comme scribe. Allez, je vais en vouloir d'autres, des histoires comme ça. Plein d'autres. Au boulot l'auteur. Merci merci |
carbona
15/1/2016
a aimé ce texte
Pas ↑
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Bonjour,
Je ne suis pas emballée par ce texte dont je n'ai pas trouvé le sujet passionnant ou peut-être est-ce également dû au style employé un peu trop peaufiné, aux allures scientifiques. Désolée, Carbona |
Donaldo75
20/1/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Au début, ce texte est marrant, par sa situation son vocabulaire riche, ses termes de zoologie, et son décalage dans le rouge. Puis, l'ennui vient de la surcharge syntaxique, du trop plein de vocable, d'une écriture dédiée à l'auteur qui veut se faire mousser dans un déluge de mots. On perd alors le fil de la narration. La fin ne sauve rien, bien au contraire. Trop de style tue le style. Dommage, il y avait de l'idée. Merci pour la lecture. |
vendularge
5/2/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Tout cela me paraît être une métaphore des rencontres amoureuses chez nous les humains où la rigidité toute masculine tend indéfiniment vers quelque étoile filante..la même fougue, la même suspicion et bientôt le même ennui...bon nous n'avons pas tous un scarabée biographe mais nous sommes aussi entourés de personnages ombreux qui du fond de leur "obscur" nous mate pour mieux sourire de nos désillusions. C'est vrai que l'écriture est très soignée, c'est à dire qu'elle paraît extrêmement travaillée, plusieurs fois revue et corrigée. Ce n'est pas gênant me concernant même si la fantaisie de l'histoire se serait largement accommodée de mailles un peu plus larges. La chute ne me comble pas vraiment Merci du partage |
Pepito
6/2/2016
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Hé, ho ! nyctalope toi même, d'abord ! Non, mais ?!!
Sacrée Alvinabec, on s'est pas déplacé pour rien ! Forme : là, quand même, j'imagine le boulot et c'est pas rien... Du haut vol (oups !) dans le vocabulaire, pas moyen de prendre un mot à contre pied, félicitations ! Juste la virgulation en panne par moments : "Elle avait le thorax sentimental…" yééééh ! ;=) "dans son carnet de bord à l’encre noire." vice versa plutôt, non ? "fait le même (virgoule) comme une rupture" "en eux-mêmes (virgoule) si ce n’est" "comme un "je t’aime moi non plus’ définitif"... que c'est bô ! (psssit, j'ai adoré le clin d'oeil, un grand merci ;=) !! "le repos diurne, chacun dans son coin (virgoule) devint douloureux " et hmmm, kekecé ké douloureux ? "D’aucuns le pensaient, dont le bousier scribouillard était." rien que pour le malaxage en bouche, celle là vaut 10 ! ;=) "Les amants sentaient la précarité les envahir." marrant, pour un phasme, je voyais ce coté là, au contraire, disons... plutôt perpétuel. ;=) "paralysie à bas bruit " et parapluie... quand on commence, dur de s’arrêter... ;=) Fond : J'ai imaginé le "plaisir d'écrire" et je me suis marré par contagion. "même si le sujet ne fait pas preuve d'originalité outrancière...*" l’écriture jouissive (oups !) valait largement le déplacement. Sans parler de la chute, qui a pour moi et quelques récipiendaires de mes photos de vacances, une saveur toute particulière. Ha, j'oubliai : ben alors, je trouve que la catégorie, ben là elle est mal choisie, je voyais plutôt ce texte en sentimental/romaneeeeesque, même que d'abooooord..." ;=)))) Au grand plaisir de vous relire ! Pepito * fallait bien que je la replace celle_là ! ;=) |
Walid
7/2/2016
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Bon, l'utilisation de mots complexe rend la nouvelle moins accessible et moins fluide à la lecture.
Mais la concept reste poignant, il en faudrait plus des comme ça. Le manque de chute rend le texte moins intéressant. Mais,bonne continuation!! :) |
Coline-Dé
9/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Tout d'abord, je n'ai pas aimé, soûlée par le vocabulaire hyper recherché ( et pourtant, j'aime ça !)
Puis j'ai relu... et là, j'ai été frappée par l'intelligence de ce texte, par ses métaphores, par l'humour qu'il recèle: Il y avait matière à versification. Elle avait le thorax sentimental… une invention humaine baptisée selfie où s’admirer à plusieurs. Après avoir fustigé ma paresse intellectuelle, j'ai rendu les armes : Bra-vo ! Je pense que je le relirai : il m'offre matière à réflexion pour un bon moment . La transposition à l'humain est délectable . |
Perle-Hingaud
10/2/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour alvinabec,
Autant vous le dire tout de suite, j'ai moins aimé ce texte-ci que le précédent (enfin, celui des deux femmes au café). Il me manque de l'humain, il n'y a pas à tortiller... :) J'aime le vocabulaire et l'humour, l'intelligence du texte, les trouvailles en feu d'artifice. Le style donc, est très chouette. (haha) Sur le fond, pour ma part, je n'ai pas apprécié l'irruption du selfie dans cet univers animalier. A vous relire bientôt ! |
alvinabec
10/2/2016
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