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cherbiacuespe
24/11/2021
a aimé ce texte
Bien ↓
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Une mini qui hésite entre épouvante et fantastique, pour finalement tomber dans le deuxième.
L'histoire est haletante, angoissante même, jusqu'à son terme ou presque. J'avoue que, jusqu'à sa conclusion, j'étais pantelant. La fin m'a laissé sur ma faim ! Mon premier réflexe fut de la juger abrupte et puis, en relisant une deuxième fois, pas du tout. Je suis plutôt gêné par le concept de cette issue et m'attendait à une révolte, une protestation de ce que l'on sentait venir depuis un moment. Du coup, même si c'est bien écrit, bien guidé par l'enchaînement d'une composition au millimètre, je ne me suis pas totalement laissé emporté par l'histoire. Une lecture très agréable malgré cette petite contestation. Cherbi Acuéspè En EL |
Marite
26/11/2021
a aimé ce texte
Bien
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Bien plaisante cette histoire fantastique et merveilleuse. L'écriture se fait oublier au profit de l'évolution du phénomène, ce qui, à mon sens, signifie qu'elle est fluide, naturelle et équilibrée. Je verrais très bien cette histoire dans un livre pour enfants avec même une suite après l'envol de l'entité bleue ... et le devenir de la pluie de fleurs bleues.
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Donaldo75
29/11/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai beaucoup aimé cette nouvelle fantastique. Je lui trouve de la poésie dans le style, du merveilleux comme on en lit assez peu sur Oniris, tout en restant simple d'accès pour le lecteur. Il n'y a nul besoin de connaitre d'avance un univers précis, du genre des références à d'autres auteurs morts depuis des années, pour rentrer dans l'histoire. La narration à la première personne du singulier provoque l'empathie du lecteur - du moins la mienne - et la progression du récit rend l'histoire prenant. J'en venais même à élaborer des hypothèses plus ou moins cartésiennes - on est quand même dans le fantastique donc pas trop de science à mettre dans la balance - pour décrasser mon cerveau. Et je me suis fourvoyé à plusieurs reprises - comme quoi, la nouvelle est réussie vis à vis de la promesse du genre - jusqu'à la fin que je trouve extrêmement poétique.
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Eskisse
21/12/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Une histoire prenante: la progression de l'apparition des phénomènes étranges est très bien distillée.
Le choix de la fleur rend le texte poétique. Je m'attendais cependant à une plus grande hésitation entre l'irrationnel et le rationnel à la fin. Il me semble que le surnaturel prévaut à la fin. |
Faolan
22/12/2021
a aimé ce texte
Bien
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De retour sur le site après de nombreuses années, ton texte est le premier que je lis et ce moment de lecture était plutôt agréable !
C'est sans doute un parti pris mais je trouve que l'histoire aurait méritée d'être un peu plus longue afin de faire durer le suspense. Merci ! |
papipoete
28/12/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour Angieblue
A lire ce récit, on est étonné, fasciné puis comme l'héroïne, l'on songe que cette fleur bleue était là, comme un piège tendu pour qui s'y laisserait prendre ! Puis, au fil du texte, les sentiments prennent cette teinte evanecente, pour monter aux cieux en toute paix. NB bien sûr que telle situation put animer notre sommeil, au point de ses réveiller pour vérifier...et continuer de rêver ! le passage où toute fleur pousse sur le corps de l'héroïne, est particulièrement angoissant, autant qu'apaisant l'est le final, un état de grâce fort bien amené ! j'ai passé un agréablement moment et... je vérifie si au milieu de mon carré d'herbe, ne pousse pas un coquelicot bleu... |
Anonyme
8/1/2022
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Bonjour Angieblue,
Une nouvelle bien courte et bien construite, situation initiale, apparition de l'élément perturbateur, montée de l'angoisse, apothéose sur la chute. J'aurais plusieurs remarques à faire sur les formulations employées. L'expression des sentiments sui boulversent la narratrice est maladroite. Vous énumérez des sentiments, mais sans obtenir d'effet sur le lecteur. De "mon cœur battait tellement fort..." jusqu'à "connaissance", me lecteur peut imaginer une suite d'actions, mais ne vit pas, ne vibre pas, ne ressent pas. A l'inverse, lorsque la narratrice décrit ses gestes par lesquels elle prend soin de sa plante, le lecteur ressent le lien entre femme et plante, puisque tous les lecteurs ont de ces gestes pour quelqu'un qui leur est cher, un proche, un animal de companie, une plante comme ici, ou même leur voiture ou je ne sais quoi d'autre. Le texte perd énormément de son impact par de nombreuses phrases superflues, comme le "qui avait quelque chose de magique" qui n'apporte rien puisque vous avez déjà parlé de fée, fascination, étrange. Autre exemple : "tout simplement en train de rêver". Le tout simplement est inutile, il ralenti la lecture, enleve de la pureté à l'élocution. Deuxième phrase du deuxième paragraphe : trop lourde, deux "qui". Je vous conseille de laisser reposer ce texte piis le reprendre avec un regard neuf, avec l'objectif d'enlever au moins 10% du nombre de mots. |
Anonyme
4/9/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
Le confinement, pénible souvenir, peut-être un peu plus « acceptable pour ceux et celles qui avaient un jardin. C’est le cas de notre narratrice qui sous la contrainte de l’oisiveté en redécouvre les plaisirs indicibles. Notamment une fleur surnaturelle d’un joli bleu et au parfum envoûtant. Elle décide de la cajoler et même de lui parler comme à une amie soudaine venue briser ce huis-clos forcé par ce virus à la con. On est en pleine féérie. Sauf que l’étrange plante se transforme en gyrophare la nuit et de surcroît se multiplie au matin éclot. Manne providentielle pour notre héroïne qui décide de faire de son quatre-heures ces petites fleurs au goût de pain d’épices. Addiction. La gourmande commence à se transformer en schtroumpfette végétale avant de s’évaporer en fine gaze bleutée dans l’éther matinal de mes yeux de lectrice ébahie. Je n’ai pas envie de comprendre le symbolisme de la fin pour rester sur cette impression globale de magie fantasmagorique. Quelle imagination ! Anna qui a envie d’un jardin |