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Anonyme
11/5/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Ayant reconnue l’auteure je ne me baserai que sur son texte. Nous repartons donc sur les aventures de Jenny pour nous éclairer sur la suite du « Village » en posant le décor. Jenny reprend l’officine de son papa. Elle nous dit qu’elle ne refera pas le chemin inverse. Intrigant. Jenny recherche sa sœur. La description du labo est bonne et cette histoire d’entremonde, entre rêve et réalité, cette dimension appelée « étoile verte ». Il manque un détail, la teneur de la maladie du fils de Madame Dodgson, histoire de densifier. Au dîner, Jenny entreprends ses parents sur la disparition de sa sœur et cet étrange collier qui semble être lié à la disparition de celle-ci dans une autre dimension. Jenny décide de prendre la potion et de passer dans l’étrange dimension qui débouche sur une inquiétante mythologie ancienne et marine avec ce Dieu-Pieuvre. Nous sommes en pleine fantasmagorie où l’on retrouve cet inquiétant apothicaire-crapaud. Jenny n’écoute que son courage et passe sous le tentacule pour tomber sur sa sœur disparue. Enceinte, implantée, presque résignée. Les description sont solides et inventives, j’ai toujours une certaine admiration pour les auteurs qui savent créer des mondes étranges. Jenny doit détruire une porte qui donne sur cette dimension épouvantable. Elle décide de jeter l’étrange collier dans le feu. Le récit s’arrête ici et nous laisse à nos interrogations. Le mystère reste entier… C’est bien. Très bien. Que demander de plus quand un auteur sait nous embarquer dans son imagination débordante… Anna en EL |
Vilmon
19/5/2022
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Un récit dans un monde imaginaire bien intéressant. Difficile de saisir les intention de l’apothicaire. Il enlève des femmes et offre des algues pour guérir. Je saisi mal la mention du monstre marin. Est-il important de le mentionner ? Est-il un élément qui ajoute une plus value au récit ? Je crois que la conclusion en italique pourrait être simplifier, avec de moins longue explication. À la manière d’un rapport d’enquête. J’aurais pensé que les retrouvailles des soeurs auraient été plus émotionnelle. Le temps presse, je comprends, mais je n’ai pas senti qu’elles étaient heureuse de se revoir enfin et soulagées d’être en vie. C’est bien, il y a de bons passages intrigants. Mais il y a quelques points faibles, à mon avis, qui peuvent améliorer ce récit en les modifiant un peu. Vilmon |
Donaldo75
20/5/2022
a aimé ce texte
Bien
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J'ai bien aimé le cheminement de ce récit; il est en phase avec ce que j'avais lu dans le premier extrait de ce journal et sa narration correspond à mon attendu de lecteur. Peut-être manque-t-il un peu de ce qui le rendrait plus terrifiant mais ce n'est pas forcément simple à réaliser dans un format de journal aussi ce bémol n'est pas très appuyé. Un autre bémol est l'enchainement de certains passages (dès le lendemain... quelques jours plus tard ... au bout d'une semaine...) qui font calendrier mais sont mériteraient un peu plus de matière, de développement pour en justifier le découpage; sinon, autant les accoler les uns aux autres pour densifier le récit.
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Anonyme
6/6/2022
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Je retrouve un peu d'atmosphère lovecraftienne dans votre nouvelle, notamment dans l'épilogue en italiques, mais beaucoup moins prégnante que lors du récit qui a précédé celui-ci. Pour être franche, j'ai eu le sentiment d'une suite poussive, laborieuse, comme si vous aviez conclu parce que vous vous y sentiez obligée, mais sans prendre de plaisir à l'écriture. Telle est mon impression à la lecture, sans vouloir bien sûr préjuger de votre état d'esprit au moment.
Impression qui découle en partie d'un sentiment de délayage. Il me semble que votre récit gagnerait en dynamisme à être raccourci. Par exemple, pourquoi préciser que Jenny, après son voyage étonnant, boit un verre et fume une cigarette ? Je trouve que ce détail, pour moi sans intérêt, casse la dynamique du texte. Déjà que. Ci-dessous quelques remarques en vrac. J'enroule, alors, machinalement, mon doigt dans les algues ramassées par terre Curieux réflexe pour quelqu'un au fait des dangers d'infection (ne serait-ce que par sa profession) et qui d'ailleurs s'empresse ensuite d'aller désinfecter sa plaie ! Je comprends ensuite que le but est que Jenny découvre les vertus curatives des algues, mais enfin pour moi cela sent l'artifice. C'est une femme d'une maigreur qui me fait penser à un arbre décharné. Formulation lourde à mon avis, surtout pour une notation en passant qui n'a aucune influence sur la suite. je repense à ma coupure, et quelle ne fut pas ma surprise, en retirant le pansement, de découvrir qu'il n'y avait plus aucune trace de cet incident. C'était miraculeux, les algues phosphorescentes avaient un pouvoir de guérison, et je comptais bien en explorer toute la magie. Pourquoi ce bref passage au passé alors que tout le journal de Jenny est rédigé au présent ? |
Anonyme
6/6/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Entre la lecture paisible de la méthode d’Émile Coué de la Châtaigneraie, et la bousculade de méninges de Lovecraft, je me suis assez facilement plongé dans votre récit, qui à mon grand regret c’est achevé trop vite…
D!wan |
papipoete
7/6/2022
a aimé ce texte
Bien
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bonjour Angie
Second et dernier extrait du journal... n'ayant pas lu le premier, il me sera difficile d'en faire un comparatif... Je lis à travers ce récit aux algues cannibales, des aventures que je ne voudrais pas découvrir avant de me coucher ! Je retrouve par moments, des images du Kraken de " pirates de caraïbes " qui tenaient tant en haleine, mes petits-enfants qui voulaient absolument suivre le capitaine Sparrow... Pas très fan de science-fiction, j'ai poursuivi ce récit fantastique à pas mesuré, et au moment de prendre mes gélules au dîner, j'aurai comme une appréhension... |
Angieblue
8/6/2022
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chVlu
8/6/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai passé un bon moment dans le monde selon, Jenny. J'y suis entré facilement, il a titillé mon imagination et je me suis facilement inventé un décor à partir des indications données par le texte. L'intrigue tient en haleine et donne envie de poursuivre patiemment la lecture.
Tout ceci me fait aimer beaucoup, mais des accros dans l'histoire m'ont interdit une évaluation supérieure. Elle décide de revenir sur injonction de son père pour reprendre l'officine mais à peine arrivée elle décide de reprendre une enquête sur la disparition de sa soeur ... Euh euh ! comment est ce possible que ce fait agite aussi peu Jenny, mais aussi les parents. Quelles horreurs a t'elle découvert sur l'apothicaires ? j'ai relu, re relu, re re re relu je suis un peu perdu je vois pas dans ce qui précède les mots qui correspondent à cette affirmation. Dans le cas de Lirazel le collier reste en réalité dans le cas de la martyre offerte aux dieux-démons de la mer le collier est avec elle dans le monde des étoiles vertes ... Enfin dans la lecture des envies de plus de développement sont nées, générant un peu frustration, mais je verserai ça au bénéfice du texte . Avoir envie de plus est un signe que le lecteur apprécie ce que l'auteur a produit |