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Anonyme
27/8/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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C'est aussi pour cela que j'apprécie Oniris : j'y ai l'occasion de lire en dehors de mes habitudes et même de mes goûts. Ainsi, un texte comme celui-ci n'a a priori rien à voir avec mon univers fictionnel imprégné de tueurs, d'angoisse et de violence jubilante.
Mais j'ai parcouru cette histoire simple et douce comme on boit une citronnade légère. C'est frais, un peu sucré, ensuite on se sent plutôt bien (cela dit, je me verrais mal ne plus avoir que cela dans mon verre jusqu'à la fin de mes jours). J'ai bien aimé aussi la figure christique du vagabond qui donne à voir un menu miracle. Bon, l'intention n'est pas super discrète non plus, mais je trouve touchante cette idée de la divinité présente partout dans le quotidien. Je remercie donc Oniris pour la variété que j'y découvre jour après jour, comme ici avec ce joli texte, et l'auteur ou l'autrice qui m'a permis de quitter un instant ma peau de matérialiste convaincue ! |
plumette
17/9/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Ce texte m'a émue car la "figure " de Pauline est très touchante.
j'ai beaucoup apprécié l'adéquation entre l'écriture et l'époque, une écriture cependant simple, limpide comme cette jeune fille qui est "à la croisée des chemins " et dont le coeur empli de désir a trouvé qui aimer. Ce joli texte fait du bien dans notre période si tourmentée! j'aurai la curiosité de connaître la réaction de Mère Mathilde suite au départ de Pauline ( qui parait clandestin?) et je me suis demandé l'utilité de la phrase " elle sut qu'il était beau" à propos du mendiant. N'est-ce pas un surlignage un peu lourd ? Dans la narration, je n'avais pas compris que le voyage de Pauline s'était interrompu à Marlotte-sur-Loing, je la croyais partie sans véritable but, or il semble qu' elle sait exactement où elle va et dans quel but. Mais ces petits accrocs dans ma lecture n'enlève rien à la douceur de ce texte qui m'a fait du bien! |
Robot
17/9/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une recherche de l'absolu divin qui semble être refusé à Pauline du fait de la sévérité organique d'un ordre religieux qui ne la satisfait pas. On la suit dans ses doutes et son parcours, sorte de sainte Thérèse de Lisieux insatisfaite d'une condition dans laquelle elle n'a pas trouvé la satisfaction de son engagement religieux.
Je ne suis qu'un mécréant mais j'admire surtout dans cette nouvelle ce fond qui nous montre qu'ont peut être croyant et garder un libre arbitre. L'écriture décrit avec une justesse de style les états d'âme de l'héroïne. Tout finit bien, comme dans un conte de fée puisque les aspirations de Pauline trouve leur aboutissement. |
papipoete
17/9/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour Annick
On est dans les pas, dans l'ombre de Soeur Pauline, aimant Dieu par-dessus tout, avec la promesse de le servir sans rien attendre en retour. Elle n'est que bonté et veut la semer sans compter ; mais trouve dans le regard de ce mendiant, le sens de sa vie ; non point prier aux nues, mais venir en aide à ceux qui n'ont rien, comme nus... NB nul doute que ce cheminement à travers chapelles, couvents et presbytères, écarteront certains lecteurs que le monde chrétien abhorre ? Moi, qui fus baptisé et vécus auprès de gens pieux, Maman en particulier ( mais aucunement grenouille de bénitier ), me promène avec bonheur dans le dédale de cette destinée de religieuse, loin d'une Mère Supérieure acariâtre mais qu'un athée put faire également sans déplaisir ! Je songe à Albert Jacquard ou Coluche qui aimèrent tant leur prochain ! Je me suis vu aller vers l'autel, le jour de la communion, une fille en aube blanche et son cierge sur ma gauche, et moi au brassard blanc, tel un couple de fiancés allant devant le prêtre se marier... Un récit tout simple, avec son côté de mystère, quand le mendiant offre à Pauline, la médaille qu'elle avait perdue... aux airs de miracle. Un moment souvenir dans ce temps d'avant...aux effluves d'encens |
Corto
18/9/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Le titre, le thème, les premières lignes avaient tout pour me faire fuir cette nouvelle dont l'imprégnation religieuse est débordante.
Mais...racontée comme ici l'aventure humaine et spirituelle de Pauline a quelque chose de touchant. Située dans l'immédiat après Grande Guerre on y trouve une ambiance et des réalités de l'époque. Touchante aussi la force de vie qui habite Pauline, enflammée par sa foi, bloquée dans un environnement-carcan qui ne lui convient pas. Touchante enfin l'énergie désintéressée d'une jeune femme qui décide de prendre en main son destin, vraiment se chercher et réussir à se trouver. Le texte est prenant, bien construit, bien écrit. Rythmé par des événements quotidiens comme l'accueil dans les presbytères, la remise en état de chapelles, la marche, et bien sûr la foi omniprésente, ce texte dégage une force très intéressante. Bravo |
Malitorne
20/9/2021
a aimé ce texte
Bien
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Un texte reposant, facile à lire, rédigé d’une écriture simple à l’image du périple de cette femme pieuse. Il ne se passe pas grand-chose mais on suit quand même ses pas, histoire de voir où ils vont mener. La liberté dans l’amour de Dieu, soit, même si pour ma part il ne peut y avoir de vraie liberté quand on se soumet de quelque façon que ce soit à une autorité supérieure. Un esprit libre trace son chemin sans assistance aucune, avec son « je » pour seul bagage.
Petite réserve sur la rencontre du vagabond idéalisé, sorte de voyageur romantique, tant l’on sait que c’est une condition tristement subie. Mais dans l’ensemble je le répète le texte reste plaisant, une certaine sérénité s’en dégage. |
Donaldo75
20/9/2021
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Annick,
Je dois dire que ce type de sujet n'est pas ma tasse de thé au peyotl mais l'écriture est de qualité et il y a une réelle tonalité dans ce texte. En lisant cette nouvelle, j'ai eu l'impression de regarder un film de Robert Bresson, du genre en noir et blanc avec une économie de mouvement et de la voix-off laconique. Il y a dans cette narration une forme d'appel à la spiritualité, de ce qui rend noble la sobriété et l'abandon des considérations matérielles, comme le montrent les ordres religieux les plus stricts, du moins dans ce qu'ils veulent bien nous laisser voir. Je dirais, en conclusion, que plus que le thème, c'est la manière de l'exposer qui m'a rendu le texte agréable, parce que cette écriture et ce mode narratif posent bien le sujet, le rendent incarné. |
placebo
20/9/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Pour le coup c'est un sujet que j'aime bien, je me démarque d'autres commentateurs :)
Ça me rappelle plein de choses, ma grand-mère qui a été élevée par les sœurs, une biographie de St François d'Assise par Julien Green, un film sur Sœur sourire qui avait aussi du mal avec la hiérarchie, ou encore un article récent sur les religieuses qui "voyageaient" au moyen-âge en "vivant" le récit de pèlerinage écrit par d'autres https://www.courrierinternational.com/article/immersion-pelerinages-virtuels-au-moyen-age Style simple et pur comme Pauline. La rencontre avec le mendiant pourrait presque laisser entendre qu'elle a croisé Dieu. Bonne continuation, placebo |
Pepito
20/9/2021
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Bonsoir Annick !
Ben dis donc, je suis méchamment à la bourre. ^^ Bon, tu me connais, le sujet et surtout, son traitement, n'est pas ma tasse de thé. Je suis assez d'accord avec la cheffe de la secte locale et je trouve que cette brave Pauline frise le fanatisme. Pas de soucis sur l'écriture, la forme roule sans problème. Deux petites questions : - Comment une fille de l'AP passée directe dans les ordres connait autant de lieux et de gens dans le coin ? - Comment imaginer que, si elle n'était pas intervenue, les gens du village allait fêter la communion dans une église en vrac et cradingue ? Sur ce, ce n'est pas plus incohérent que ce qui est écrit dans le best-seller célébré par la communauté décrite. ^^ Merci pour la lecture ! Pepito |
Annick
21/9/2021
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Louis
23/9/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Pauline vit sa foi comme une passion. Elle a trouvé dans le divin un substitut aux parents qu’elle n’a pas connus ; en Dieu, elle a trouvé le Père éternel, le père idéalisé, le père aimant, jamais absent pour l’éternité, toujours présent dans la vie de chaque jour, de chaque instant : « Pupille de la Nation, elle n’avait jamais connu la douceur d’un foyer. Aussi, s’était-elle tournée très tôt vers Dieu… »
Face à l’absence de toux ceux trop tôt disparus : « Seul Dieu lui semblait un appui solide et éternel sur lequel elle pouvait compter » Pourtant, le substitut à la famille au sein de l’ordre des carmélites, dans lequel elle est entrée, n’a pas « la douceur d’un foyer ». La «mère supérieure » du couvent des Grands Carmes, Mère Mathilde, est « une femme austère et sans cœur ». Austère, elle ne favorise pas la vie, rejette tout plaisir et toute joie de vivre, favorisant la contemplation plutôt que l’action, pratiquant un rigorisme strict : « Mère Mathilde faisait partie de ces femmes qui s’épanouissaient dans le devoir et la reconnaissance », alors que Pauline est plus active que contemplative, opposant au triste et sévère devoir la passion pour le divin, l’élan exubérant, spontané, et plein de ferveur. Pauline obéit à ses « désirs », quand Mathilde obéit à la raison, « Tout en elle était réfléchi, mesuré. Ses prières étaient raisonnables tandis que celles de Pauline s’exprimaient toujours dans le désir » Sœur Pauline décide donc de quitter le couvent des carmélites, dans une volonté d’éviter de se « dessécher », sous la « férule » de Mathilde ; résolue est-elle à ne pas s’étioler, ne pas dépérir et perdre sa vitalité, ne pas laisser se tarir tous les élans passionnés de son cœur dans une foi appauvrie, inerte et sans ampleur. Elle décide de suivre sa route, le chemin initiatique qui la mènera vers elle-même : « Elle décida de partir à pied vers sa destination, comme on entreprend un pèlerinage, un cheminement intérieur, avant tout. » Il lui faut d’abord se libérer du sentiment de culpabilité qui l’envahit. Quitter son ordre monastique lui apparaît une faute, une infidélité comme si elle avait commis, par son départ, un grave péché : « Pourtant, parfois, la petite sœur se sentait si coupable qu’il lui semblait porter tous les péchés du monde ». Elle tente par des mortifications de « briser cette partie d’elle-même qui se rebellait contre l’ordre établi ». Elle trouvera une issue pourtant à ce conflit intérieur qui s’instaure en elle, en comprenant que sa voie est celle de l’amour, et non celle du devoir ; que l’amour est au-dessus de tout avec la liberté qui lui est inhérente. Son chemin ne la détourne pas de sa foi, mais au contraire il la ravive. Elle découvre dans la nature profane une absence d’opposition avec l’intérieur du lieu sacré de l’église : « Elle avait aimé ces arbres aux troncs immenses surmontés d’une voûte de feuillage. Ils lui rappelaient singulièrement les longs piliers de la nef de sa chère église ». Ainsi la nature, et l’église qui renvoie au ciel, méritent toutes deux soin et respect. Les rapports aux personnes qu’elle rencontre sont empreints de gaieté et non de tristesse et de froideur : « Ils avaient discuté gaiement… » Sa foi est dans la « joie, la jubilation de chaque instant », et non dans la rigueur austère, le silence, les pleurs et les lamentations. Elle découvre que Dieu est partout, dans une sorte de panthéisme, et que « l’Esprit saint se nichait dans les petits riens et les grands événements de la vie » La perte de la médaille pieuse est un épisode très symbolique de son cheminement. Elle la retrouve par l’intermédiaire du geste de charité à l’égard d’un mendiant. En retrouvant ainsi sa médaille, elle retrouve l’authenticité originelle des Carmélites, qui constituait un ordre ’’mendiant’’, comme les Franciscains, devant vivre d’aumône et de charité. Elle se retrouve elle-même, semblable à cet homme errant : « Elle se rappela la rencontre avec le vagabond et pensa qu’elle lui ressemblait » Ce mendiant lumineux, « Elle sut qu’il était beau », indique la voie, celle de l’errance et non de l’enfermement ; celle aussi de l’abandon : « Tous deux étaient pétris de ce même idéal d’abandon ». Son idéal est donc trouvé là, chez le vagabond magnifique, dans l’«abandon » Elle lutte sans cesse pourtant contre l’abandon, compris en particulier comme délaissement et manque de soin des lieux de culte, endommagés par la Grande Guerre : « Elle caressa du regard les objets sacrés, laissés à l’abandon depuis de nombreuses années.» Elle lutte contre l’abandon, consacre du temps au cours de son périple initiatique à remettre en bon état les lieux de culte, et, paradoxalement, trouve dans l’abandon son idéal. Il n’y a pourtant pas là de véritable paradoxe. L’abandon en tant qu’idéal se comprend comme détachement du monde et surtout de soi, dans « une âme qui se repousse de toutes choses » comme écrit Marguerite Porète, cette femme étonnante, hors du commun, rattachée au mouvement du Libre Esprit et des béguines, – et c’est bien vers un béguinage que sœur Pauline choisira de s’orienter ; féministe dès le Moyen Âge, victime de l’Inquisition, brûlée avec son livre en place de Grève, le 1er juin 1310, auteure de ce qui est désormais considéré par les spécialistes comme l’un des chefs d’œuvre de la littérature médiévale. Ce livre possède un titre très éloquent quant à son contenu : « Le miroir des âmes simples et anéanties et qui seulement demeurent en vouloir et désir d'amour » L’abandon, au sens que lui donne sœur Pauline, semble correspondre à ce que M. Porète nomme un anéantissement, par lequel l’âme s’annihile en Dieu. L’âme s’affranchit et se ''désencombre" d’elle-même dans le cheminement spirituel proposé. Elle ne veut plus qu’en Dieu, à son terme ; en Dieu qui est amour. L’anéantissement de l’âme prône moins l’abnégation que la substitution, librement consentie, du vouloir divin au vouloir de la créature. L’Amour annule et conserve à la fois le vouloir de la créature en abolissant toute limite comme toute sujétion. Dans l’élision de l’âme se trouve la liberté divine. Amour et liberté se trouvent liés. Une inspiration, peut-être trouvée chez Saint Augustin, qui avait formulé le fameux précepte : « Aime et fais ce que tu veux ». Marguerite Porète le répète : « Amour est Dieu et Dieu est Amour ». Et quand on aime d’un amour "divin", amour désintéressé, exempt de tout calcul, purifié de l’appât du gain, on est au-delà des règles, du devoir et de la morale. C’est cet amour que choisit Pauline, en s’abandonnant à Dieu, un amour extatique qui est aussi un amour pour la vie, pour autrui, et pour soi-même de façon non égoïste. Sœur Pauline choisit donc le béguinage, si différent des ordres religieux habituels, et choisit donc la liberté liée à l’amour. Un beau choix de vie. Et un beau personnage qui, sous couvert du langage de l’abandon, ne renonce à rien d’essentiel, et conserve sa puissance de vie et de joie. |
Anonyme
25/10/2021
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En acceptant d’entamer le récit du parcours de cette demoiselle, je ne m’attendais pas à suivre une histoire très rock’n roll. J’étais donc prévenu, mais j’ai été surpris tout de même. Je pensais que je serais récompensé d’une longue lecture ennuyeuse par quelque événement remarquable, ce qui ne fut pas le cas. Je n’ai rien trouvé non plus de littérairement significatif qui puisse créer un peu de relief dans une morne plaine.
Je pense avoir compris qu’il s’agit de montrer qu’une vie spirituelle, voire de dévotion, ne doit pas nécessairement s’inscrire dans une institution particulière. Ce texte établit donc clairement la distinction entre trois notions pouvant exister séparément (ou ne pas exister, donc) : foi, religion et église. Je pense même très courant que la foi ait été absente de membres de l’église. La foi peut exister sans religion ni église. La vie de cette jeune-femme sera faite de foi, ne sera pas faite d’église, et sera peut-être faite de religion, mais d’une religion libre. C’est ce que j’ai compris, ce que j’en retiendrai, mais, et j’en suis bien désolé, n’en retiendrai rien de littéraire. |
wancyrs
11/11/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Salut Annick !
Ce que j'aime dans votre texte c'est votre style, cette façon magique de raconter, de donner des détails. Je suis de l'avis de Pauline : les églises(édifices et doctrines développées par les théologies humaines) sont loin de Dieu, surtout l'église catholique et sa panoplie de saints. D'ailleurs je trouve un peu paradoxal le comportement de sœur Pauline, voulant se libérer des carcans de cette religion, mais s'attachant à ce qui la caractérise : l'idolâtrie. Je ne comprends pas cette envie de liberté dans la foi, mais se sentir déstabilisé lorsqu'il nous manque un objet fétiche ; ne peut-on sentir la présence de Dieu sans ces bidules ? L'image de la rencontre avec le mendiant est puissante, elle induit en moi cette notion d'inter action entre les humains et les êtres angéliques ; seulement, je n'aime pas la raison de son apparition, car son geste conforte cette idolâtrie que Dieu déteste. En conclusion, j'aime beaucoup la narration, les effets de styles, l'envie de sœur Pauline d'aimer Dieu loin des doctrines humaines, mais j'aime moins la tradition catholique que transpirent certains détails du texte. Merci pour le partage ! Wan. |