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hersen
21/6/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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La personnification est très réussie. Car jusqu'à la fin, je me suis demandé qui était le narrateur et donc cela oblige à une lecture plus attentive puisqu'on cherche des éléments pour deviner. Cela rend le commentaire un peu délicat. En effet, dévoiler serait tuer dans l’œuf les efforts de l'auteur.
C'est donc volontairement que je ne vais pas approfondir. Le style est indéniablement agréable, il nous incite à suivre le narrateur et nous enveloppe de toutes ces bonnes choses. C'est une promesse. C'est idyllique, mais pourquoi pas, cela fait du bien de ne voir que le beau côté des choses, quelquefois. Et puis, être amoureux, n'est-ce pas cela ? Car c'est texte d'amoureux, c'est certain. |
Lulu
5/7/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ce que j'aime avant tout dans ce texte, c'est la douceur qui nous accompagne du début à la fin. On se promène dans le sud, sans savoir précisément en quels lieux, et l'on apprécie.
Plus que le dévoilement du nom de Provence, que l'on devine tout de même, c'est donc la douceur de ce texte qui me touche. Cela donne envie, en effet, de vagabonder au gré de l'été, voire au-delà, dans les saisons qui suivent... Cette douceur tient de l'écriture et de la tonalité de la narration. C'est une belle réussite. Je n'ai pas trouvé de maladresse. Je ne suis pas fan de la Méditerranée, préférant l'Atlantique..., mais vous avez suscité ma curiosité. Bravo, et bonne continuation. |
Alexa
7/7/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un texte très agréable, réussissant à aiguiser notre curiosité et à nous emmener avec légèreté. L'utilisation du "vous" est assez énigmatique au début, poussant le lecteur à chercher mentalement qui peut bien être ce "vous", tout en lisant.
Bravo! Vive la Provence! |
MariCe
12/7/2015
a aimé ce texte
Bien
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J'aime beaucoup l'écriture, empreinte de sérénité et de douceur.
Cette balade en terre provençale n'est pas pour me déplaire et jusqu'à la fin, je me demandais qui parlait. Un hommage bien chaleureux. |
Anonyme
15/7/2015
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Rien ne manque à ce tableau à la Daudet : les pins, les cigales, le mistral, les marchés (voici pour cent francs, du thym de la garrigue, un peu de safran... ), les senteurs, la mer, les pêcheurs. Tout juste si l'on ne s'attend pas à voir Manon dévaler les collines. Tout juste si l'on ne s'attend pas à entendre : "Tu me fends le cœur !" à une terrasse de café sous les platanes. Mais justement, à propos... et l'accent chantant de Pagnol ?
Merci pour cette jolie promenade. |
AlexC
17/7/2015
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Hello Arlet,
C’est une douce excursion que vous nous offrez là. On se laisse transporter volontiers. Je ne connais pas bien la Provence, je ne saurais dire s’il manque quelque chose. Mais le style se marrie bien avec le registre je trouve, quelques tournures sont un peu lourdes ou trop simples à mon goût, mais rien de bien grave. D’un point de vue complètement personnel, je ne suis pas un grand fan des descriptions, je n’ai donc pas été touché par votre récit, d’où l’appréciation. Mais j'en reconnais la qualité. Je tique : “Il faut que je vous dise, alors ces filles folles rient et dansent et perdent la tête.” “vous la verrez si bleue, si transparente que vous voudrez la goûter toute, mais attention, elle se fera enjôleuse quand elle viendra se lover sur vos pieds douce et caressante et lorsque vous pénétrez dans son eau vous serez ivre de joie." Je jubile : “c’est une farandole endiablée que l’on danse à cent sur la place publique, que l’on danse à deux derrière un bosquet.” Merci, en espérant vous lire bientôt. Alex |
carbona
4/9/2015
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Un joli texte, doux, léger et poétique.
Je ne suis pas adepte des descriptions mais je me suis laissée guidée en me demandant mais qui est ce narrateur : le vent, la météo, un arbre ? Découvrir la réponse à la fin est agréable. Je ne suis pas très fan non plus des adresses au lecteur, mais le tout est bien mené. Une promenade plaisante. Merci pour cette lecture. |